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Le Vietnam est sur AF

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Sujet de la discussion Le Vietnam est sur AF
Bonjour, c'est ici que vous pouvez etre recrutés pour embarquer au vietnam de la fin des 60's pour des riches partis de cache cache dans la jungle.






Allez les boys, go go go!

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ATS prennait autant de plaisr que moi à parachever le lavement de cerveau d'heldon.
L'éleve depassait presque le maitre, et je sentait un peu de jalousie de la part d'heldon. Voila un autre jeu qui s'offrait à moi.
Apres avoir validé sans aucune erreurs toute les batteries de tests psychologique, j'étais sur de la loyauté de Heldon. Il n'avait pas pu mentir, des réponses contradictoresd seraient apparues sur les quelques 3000 questions posées par la creme des psy militaire. Comme promis, je lui offrait un jeune soldat aux traits fin, qui tremblait de peur devant le monstre. Nous allâmes ensuite à l'hopital, devant le corps maintenu en vie de JR. Nous debrachames la morphine et le réanimère. Heldon pourrait s'amuser comme il le souhaitait. Je le laissait seul, bien que je l'observait depuis mon bureau grace aux cameras.

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C'est étrange je viens de rêver que j'étais en guerre...Whouaaaaa ! Bon je vais prendre mon p'tit déj', salut egorl, oh mais c'est toi qui fait ce bruit en pétant ?!!! :beurk:
Faut que je te changes tes couches encore !!!! Oh non...
Oh la vache ! Je viens de rêver que je vivais avec papy egorl !

.... Mais où suis-je ? Oh merde ! Sur le dos de Papy ! :8O:
A nouveau sur pattes, bien qu'il ne voulait pas me laisser descendre (je sais pas pourquoi), il ne veut pas me rendre mon arme, et me dit que je me suis pris une branche... Bon on me dit qu'on se dirige vers le nord, vers le point b17, mais je ne sais pas trop qui croire. Même mes compagnons n'ont pas l'air de s'apprécier entre eux.

Ah les pets de mon rêve devaient être les explosions de grenades, quoique la réalité du vieux ferait peur aux résistants français de l'époque...

Le jour s'est levé depuis quelques heures, quand ma mission secrète me revint à l'esprit...

http://www.youtube.com/headminerve

123
Vraiment pas un vif le head... je lui file un flingue, mais je me demerde pour marcher derriere lui: si il y a une mine, il sautera, et si il veut me flinguer, et ben sa caboche sautera aussi (et il pourra aller jouer du banjo a marie madeleine... pas si mal que ca).

allez, let's go. ouais, ca pue, et alors? t'as le nez trop pres de la bouche, c'est tout. maintenant avance. oh, s'il se bouge pas je le descend. mais il bouge. pas trop tot...

et evidemment quand il se decide enfin a bouger ca commence a canarder. il a quand meme le reflexe de se emttre a terre (ou alors il s'est cassé la gueule sur une racine, allez savoir). bon, ils ont pas l'air nombreux, et ces cons sont en groupe. et ces cons parlent anglais... qu'est-ce que c'est que ce bordel? heldon m'avait dit que son equipe avait un commando au cul chargé des les eliminer pour je ne sais plus trop quelle raison, encore de la politique. il devait y avoir un petit sarko dans l'etat major qui voulait se faire de la place. bon. ben tant pis pour leur commando special mega entraine et tout le saint tremblement, je balance la seule grenade qui me reste.

coup foireux... quels fils de pute a l'arsenal. bon ben tant pis. je fais signe a head qu'on file discretement, et sans quitter le sol. on n'est pas loin de la riviere, on avisera la bas, si par chance on trouve un truc echoue (si mon ange gardien m'ecoute, j'aimerais autant qe ca soit des renforts qu'on trouve. mais cet enfoire doit etre bourré, pour changer...).
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J'aurais pas dû ramasser ces champis avant de me faire arrêter, ils commencent à me faire de l'effet...J'ai jamais été fait pour la guerre après tout, et c'est pas aujourd'hui le sur-lendemain. Egorl se rend pas compte qu'il est lent ou quoi ? A son âge, sa grabatère-attitude le fait marmonner des choses incompréhensibles, le pauvre...Pu**** ça fuse !
Les balles m'évitent de peu, on est pas dans une posture à notre avantage, mais la fosse qu'on a trouvé nous permet de ne pas craindre les éclats de grenade, et de poser une stratégie. Egorl décide de grimper un arbre (en forme de guitare, strobô !)pour voir où se trouve le point P. Il est pas malin, mais il a au moins quelquechose du singe : il est agile. Malgré son âge avancé (il les fait pas pourtant), sa dextérité est aussi remarquable que son aigreur ! :aime2:

A notre poste (dans cette fosse ppleine de vase), egorl nous fait signe qu'il voit ceci :


Des sauveurs ! Ils se mettent à bombarder la zone à douze heures, et les fourrés vicieux qui se trouvaient devant nous se transformèrent soudain en vaste lande d'Adarkar...
Nous avons le chemin ouvert et des potes pour nous couvrir, mais pas indéfiniment...il nous faudra pénétrer furtivement l'avant poste de Quang Nam...

http://www.youtube.com/headminerve

125
<>
3 de nos avions ont déblayé quelques parties de la zone bien emcombrees de soldats dont on n'avait jamais vu le signe ailleurs que dans les affaires de Narbee, notre chef douteux.
Donc ça voulait dire nos ennemis.
Donc on éclaircie la situation. Une des caméras nous renvoie l'image de deux paumés qui ont l'air de ne pas être de ce camp, ils ont même l'air d'être terrorisés par ces hommes qu'ils ont agressés plusieurs fois à coup de grenades.
Faudra penser les ramasser en temps et en heure.

Pour l'instant, avec le retse du peloton, on avait une autre mission.

La vie, c'est comme un train de montagne

126
Je le hais.
je ne sais pas qui il est.
Il ose être devant moi.
Il ose être en vie.
Il va le payer.
Il est inconscient. Je vais le ranimer. Par la douleur. Par la douleur. Basi..Sp6...non, je ne sais pas. Je vais le massacrer.
Qui est-il ? Une occasion de tuer, de tuer, de tuer. Je déchire doucement la peau de ses tescicules avec mes ongles...ils sont très longs..quelle négligeance indigne de moi, de ma patrie, qu'importe pour l'instant ! Je le déchiquete. Je le hais. Je ne sais pas qui il est. Il ose être encore en vie. Je rêve d'une vie en Allemagne il y a quelques années. On rêve tous de cette vie, de faire ce que l'on veut, de ce que notre nature réelle et libérée des miasmes socio-bien fondés nous obligent à restreindre, à etouffer. Si j'avais pu être aux ordres de la Louft..il se réveille ! il va payer cette misérable impertinence. Pourquoi je fais ça ? Parce que. C'est tout ! C'est tout ce que je sais : parce que. La nature est ainsi, je le domine, jh'en profite, il doit payer son crime d'être faible et présenté à moi. Il porte un grade de capitaine. Avec des initiales. Je ne comprends pas ce que cela veut dire. Des sigles secrets ? Une grande colonne avec un chapeau, puis à droite, un grande cercle sur deux barres dont l'une est tordue. Un code ! C'est un code ! C'est un martien, un ennemi. Je vais le détruire, je vais le /...

Une voix s'élève derrière moi et je ressents une douleur abominable dans le coeur ! On plante une aiguille dans mon coeur ! On me souille ! et la voix me parle ! Un militaire habillé en noir entouré d'autres traitres de la patrie ! Encore des sigles sur son casques : Des barres qui se croisent, le même sigle que sur le capitaine que je torturais, puis un cercle et enfin des barres qui se rayent dans tous les sens. A peu de choses près ça donne..T R O N

"Bon retour parmi nous Heldon ! Dans quelques minutes, tu redeviendras humain"

La vie, c'est comme un train de montagne

127
<>
Mais euh...vous êtes certains que...?

Mes soldats n'étaient pas chauds pour enfiler la même tenue que moi. Toutes marquées à mon nom.
Mais il fallait se diviser en plusieurs camps. Le secteur était redevu presque calme, à l'exception de quelques unes de ces têtes brûlées nommées "les méduses".

Je décidais d'envoyer des hommes à l'Hôpital, voir s'il restait quelque chose d'Heldon qui m'avait envoyé LE signal, et une autre section cherchait après Barnee. Le camp était grand..ça allait être tout sauf facile.
Je restais dans mon F-02, embusqué, prêt à tout faire sauter s'il le fallait.
Je suivais l'évolution des hommes par radio.

Les premiers ont trouvé Heldon, les seconds cherchent encore.

La vie, c'est comme un train de montagne

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Helicos... helicos... helicos... la surprise me rend a moitié dingue. on est venu nous chercher? comment ont ils su? ils ont bougé tout ce beau monde pour un jazzman (certes de genie) et un gratteux fantasque? bof, m'en fout, ca fait plaisir quand meme.

on se fait treuiller. je ne sais pas ou on va. je m'en fiche. tant qu'on degage loin de ce trou, je veux bien aller a disneyland si ils veulent.
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... Sp6mn ... Sp6mn ... Sp6mn ...

Je n'entendais que ca ... Où j'étais ? ... Au paradis ? ... En enfer ? ...
Ce qui était sûr, c'est que j'étais mort au milieu du merdier, ça, je m'en rappellais très bien ... Mais alors ??? ... Pourquoi je voyais Heldon, debout devant moi en train de me regarder avec ce qui me semblait de la compassion ??? ... Je ne pouvais plus bouger ... Je respirais à peine, mon torse ne se levais même pas lors de mes inspirations ... Par quoi j'avais été touché ? ... C'était bien une balle puisque j'avais pissé le sang ... Je ne comprenais rien ... Y'a une vie après la mort ??? ... J'ai trop tués de viets innocents donc je suis condamné à rester dans ce corps mort pour l'éternité, tout en étant conscient ??? ... Je ne sais plus, je ne comprends rien, je suis las et je m'endors ...




Quelque chose me réveille, des voix, des bruits de pas. je me rends compte qu'on me transporte.

" - ils l'ont pas raté, du tranquilisant hb51, tu peux plus bouger pendant 48h.
- Et tout ce sang ca vient d'où ?
- Il avait une blessure à la jambe, lorsqu'il a recu le tranquillisant il s'est effondré et sa blessure s'est réouverte. Il a du inconsciemment y porter la main et s'est essuyé sur son treillis.
- Putain, c'est impressionnant, mais c'est qui ces mecs ???
- des commandos censés être super discrets et efficaces. Là ils ont raté leur coup, il est résistant le gars.
- On va le mettre avec l'autre qu'on a trouvé ce matin ?
- Basix ??? Ouais je pense, ils font partis de l'unité qui a disparu lors de l'attaque du camp il y a quatre jours.
- Putain, il survit à tout celui-là"

J'étais vivant, putain, vivant !!! Je n'arrivais pas à y croire. Mais je retrouverais les salauds qui avaient essayer de me canarder, je le jures, foi de sp6mn. Ils allaient payer !!!
Je reperdais connaissance quand nous sommes arrivés à une sorte de grotte aménagé en campement, un ancien qg vietcong, sans doute ...
Peace, Luv, Unity & Havin'Fun ...
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Je les hais, je les aime. Je ne sais pas qui c'est. Je les connais.
Qu'esy-ce qui se passait ? Impossible à décrire, impossible de se poser une question..alcool ? Folie ? Monde post-mortem..? Et si c'était cette piqure infligée pas ces mecs en noirs..ça me disait quelque chose, mais quelque chose que je connaissais pas.

Je voyais un soldat passer qui me rappelait quelques images : un arbre, des liens et lui qui coupe ces liens. Rien d'autre. Ca me fait une goutte de peine dans un océan d'indiférence.

Il y a toujours un restant de type devant moi qui gigote. Il semble se réveiller, et beaucoup souffrir. Plus vraiment de jambes, il tremble...tiendra t-il longtemps ? Il me regarde et bégaie "Pi pi...pit.."
-"Pipi?"
-"Pi..tié...tes produits, il il y en a un...qui donne des halluciiiin...des hallucinnn...ations..."
Un moment se passe. Malgré le vide que je ressens, les souvenirs absents, le manque total d'intérêt que j'éprouve pour les gars en noirs et ceux avec une méduse sur l'épaule qui se tirent dessus autour de moi, malgré tout cela...je comprends ce qu'il veut dire. Et ses délires aussi me reviennent d'un coup en tête.
-"Tu veux voir Wanda...C'est ça?"
-"Oui...une dernière fois..."
Je prenais la seringue adéquate. On pouvait croire au loin que les gens s'entretuaient autour de moi dans la pièce, mais qu'ils étaient au ralenti. Je prends son bras, et lui injecte ce qu'il lui fallait.
-"tu devrais en avoir pour 3 jours pleins de Wanda. Bon courage, et amusez-vous bien".
Il clignota des yeux pendant quelques secondes....
-"Mer...merci....Wanda ! Tu..."
Il les ferma pour mieux apprécier son rêve.







On dirait que personne ne veut me buter !? Et si les deux camps voualient me récupérer ?
A peine prononcé ces mots dans ma tête, qu'une brulure abominable se fait sentir dans mon dos.

La vie, c'est comme un train de montagne