Sujet L'heure creuse -- 16h30 - 20h

aouf alors évidemment si c'est pour se moquer des autres, là j'en ai un pacson ! Lesquelles choisir ?

1. la gueule des mecs, quand j'étais môme, sur la plage de le Grau d'Agde, que je construisais des châteaux de sable et que des gros bâtards venaient me les détruire quand je les laissais trop longtemps sans surveillance, qu'à la fin je faisais esqueprès de foutre des grosses caillasses dans les tours de sable en guettant le premier con qui allait y foutre un coup de pied dedans... :alerte gros batard:

2. la gueule de mes potes, j'avais récupéré je ne sais où un ballon d'entraînement, je savais pas trop à quoi ça servait, ça avait la forme, la taille et la couleur d'un ballon de basket, sauf que ça pesait bien ses trois kilos, que je leur lançais à la figure en leur gueulent "Tête !"...

3. l'histoire du mec avec son cabriolet racontée par Xav, ça me rappelle ce mec quand j'étions étudiant à Montpellier, qui avait un v-max (moto yamaha), faisait le cacou devant le lycée Jean Monnet, broooooar, brooooar, gros démarrages, broooooarrrr, jusqu'au jour où comme d'hab on l'entend, broaaaar, broaaaar, broaaaaaaaaaa-PAN ! Un peu comme l'autre, il a pris une bagnole un peu trop fort...

4. ou l'histoire du pote qui avait laissé son vélo couché au bord de la route, pendant qu'on était dans la vigne en train de chouraver des raisins. A ce moment-là un tracteur passe et y roule sur la roue... marrant, les roues de vélo en forme de 8, mais pas super pratique pour rouler...

5. et mon pauvre Thierry avec son MT-X 50, s'amusait à freiner de la roue avant pour lever l'arrière, a fait ça au feu rouge, sauf que quand la roue arrière s'est reposée, elle s'est reposée sur le capot de la bagnole qui attendait aussi au feu, à côté... En est sorti un bon gros rugbyman des familles, le rougeaud de cent-kilos-chveux-ras-ticheurt-Ricard, voyez. Quand t'as 15 ans et que t'es taillé comme un flan aux pruneaux, tout de suite, t'as les yeux qui font "aïe" avant même que le mec ait fini de poser le pied par terre, et tu comprends que ça va être dur, là, très dur... c'est une des fois où je me souviens avoir vu un visage, celui de mon pote, se décomposer, littéralement, je l'ai vu ralenti, ça a commencé par les yeux, les joues, la bouche, tout s'est affaissé lentement au fur et à mesure que le type avançait vers lui... et nous bien sûr, comme des jeunes cons, morts de rire... super les potos !

C'est les premières qui me viennent, pas forcément les meilleures...

Citation :

2. la gueule de mes potes, j'avais récupéré je ne sais où un ballon d'entraînement, je savais pas trop à quoi ça servait, ça avait la forme, la taille et la couleur d'un ballon de basket, sauf que ça pesait bien ses trois kilos, que je leur lançais à la figure en leur gueulent "Tête !"..

Je crois que ce genre de ballon sont des poid, à jeter. Je m'en rappelle très bien aussi. Tout le monde essayait de les faire rebondir.

Citation :

 

C'est les premières qui me viennent, pas forcément les meilleures...

Bonne poilâde sur vos deux posts en tout cas

Hors sujet :

J'aime bien ce nouveau concept de titres amusants!

1 - vroom vrooooom, teuf teuf
Un gars qui attends au feu rouge dans un cabriolet avec la musique a donf et des gros coup d'accélérateur. Le feu au vert...et le moteur s'arrète (ce qui n'est pas cool, c'est que j'étais sur la banquette arrière)

2 - Serge, plus bas le froc!
Serge, célèbre clodo qui trainait à Montpellier il y a quelques années avait l'habitude de picoler plus que de raison. Un samedi soir, nous le croisons sur la place de la comédie dans un état assez lamentable. Pour dire, on lui a dit bonjour, comme toujours, et ils ne nous a même pas calculé. On le regarde partir, en se disant qu'il faudrait peut être faire quelque chose pour le malheureux, mais voilà qu'il s'arrête... Il baisse son froc à mi-cul, se courbe un peu, et commence à démouler son cake SUR la place de la comédie noire de monde. Cake qui ne vera pas les pavets, puisque le froc n'avait pas été assez baissé...

3 - La vilaine dragueuse.
Je me balade, toujours à Montpellier, avec un pôte. au loin je vois arriver une nana vraiment habillé comme un sac, genre Cindy Lauper dans les 80's. Au fur et à mesure qu'elle approche, je me rends compte qu'elle est en plus vraiment, vraiment vilaine et vulgaire...un fou rire me prend. Le croisement est proche, et arrivé à notre niveau la nana me fait un petit clin d'oeil avec un mouvement de lèvres qui me fait définitivement exploser de rire. Derrière moi, je l'entends qui balance un petit "sale pédé va" entre ses dents. On en a rit pendant des semaines.

4 - X, tu devrais changer de sous vetements
A une soirée déguisé, mon pôte X est déguisé en guerrier Ecossais. Une nana intyrigué et saoule arrive par derrière et lui tire son kilt. Le pauvre avait une espèce de slip immonde avec marqué Jazz au niveau de la teub...

5 - Roule à vélo
Un concert de village. Nous jouons avec mon groupe entre 22h00 et 23h00, puis viens le tour du groupe suivant, Nightmare () qui ne nous aimait pas beaucoup puisque j'avais viré le très mauvais gratteux 2 ans plus tôt d'un autre groupe où je venais d'arriver comme bassiste.
Nous faisions du rock prog, et donc en arrivant sur scène, le gratteux de l'autre groupe balance au micro un truc pas très fairplay: "bon, fini les violons maintenant, on va envoyer".
Le truc où t'as vraiment intéret d'envoyer grave de grave après si tu veux pas passer pour un blaireau.
Le gars reprends le micro et balance: "le premier morceau s'appelle "roule à vélo"
Eclats de rire général

6 - Roule à vélo part 2 (quand la vie s'acharne)
Nightmare ( ) commence donc son concert. Ils jouent une musique hard rock 80's digne de nos pires souvenirs d'adolescence. Le petit cousin du gratteux (que nous appelions "Mr machin") à l'air d'apprécier la performance, et il secoue frénétiquement la tête, en se tenant accroché à la barrière de sécurité ET, coup de boule sur la barrière, et Mr Machin part en arrière la tête en sang...uh uhppprfffffffrrrr

si on peut inverser les rôles, je vous en raconte une bien belle, où un groupe d'une bonne vingtaine s'est payé notre poire pendant au moins deux heures (voire trois...)

Des gars que je connaissais pas avaient organisé une teuf au chateau de Montferrier, des espèces de ruines en haut d'une crête qui surplombe la garrigue. Pour ceux qui connaissent, à cet endroit là y'a en fait deux chateaux, sur deux collines face à face, dont l'un est beaucoup plus difficile d'accès que l'autre, et plus en ruine aussi, bin c'était celui-là... je pense pas que ce soit le bon sur la photo mais ça vous donne une bonne idée:

http://www.decouvrir-l-herault.com/images/photos-pic-saint-loup/IMG_3452.jpg

Personnellement, je connaissais pas les organisateurs, mais j'y allais avec ma cousine, deux trois potes conviées, et ma copine de l'époque. Errrrm... ma copine, elle était un peu chochotte il faut le dire, et comme elle insistait pour pas partir trop tard, bin on a décidé de partir erm, juste quand la soirée commençait à battre son plein : /

Le truc c'est qu'il faisait nuit noire, et évidemment, on n'avait pas pris de lampe de poche. Qu'à cela ne tienne, nous nous lançâmes vaillamment dans la périeuse descente, dûment armés seulement de... deux bougies !

Ce qu'il faut savoir, c'est que pour accéder à ce con de château, il faut faire tout le tour par rapport à la colline, c'est-à dire qu'en partant il faut commencer à descendre sur un des flancs, contourner le château aux trois-quart pour atteindre l'autre flanc, au pied duquel se situaient ma caisse.

Forcément, avec nos bougies à la con, on n'y voyait que dalle. Je me rappelle éclairer ce que je croyais être là où le chemin continuer et m'apercevoir qu'en fait ça continuer dans le vide.

Accompagné de ma douce, dont le sens de l'orientation approximait celui d'une moule surgelé, on n'a pas assez contourné le château, et on a commencé à descendre sur le mauvais flanc, et s'enfoncer dans la forêt ^^

Le truc, c'est que les zozos qui faisaient la teuf dans le château, ils pouvaient nous repérer facilement, parce qu'il y avait deux loupiotes qui erraient aléatoirement dans la nature, et surtout, qui se barraient carrément dans la direction opposée !

bref ça a duré deux bonnes heures avant que je réalise notre erreur, surtout deux belles heures de grosses poilade pour les gars qui se pintaient au rosé, et qui ont surement pas regretté de nous avoir invités. Du haut de leur perchoir, ils ont pu se foutre notre poire à loisir en sirotant des bières, pendant que nous, on commençait à se demander si on allait pas devoir dormir dans les bois, avec ma chochotte de copine, vous auriez vu sa tronche...

Bref, on est bien passés pour des neuneux ce soir-là. Fort heureusement, j'ai jamais re-rencontré, par contre je suis sûr qu'ils se rappellent de nous.

'tain, ton chateau là, il est pas juste derrière un bled qui s'appelle Valflonès, ou Fontanès, derrière Montpellier ? j'ai vraiment l'impression de connaitre cet endroit, et d'y avoir fait une soirée une fois avec mon ancien groupe  

ouplà, déjà j'ai mis Montferrier, mais c'est Monferrand (enfin c'est comme ça qu'on l'appelait) et oui Valflaunès est à deux pas

me dis pas qu'y avait deux connards qui sont partis dans la nature avec des bougies à ta soirée !

Citation :

Valflaunès est à deux pas

sauf si on y va avec toi à pied visiblement

mais maintenant je connais le chemin, les animaux même me reconnaissent !

Valflaunès est à deux pas heures.

Pas facile comme sujet... Sans doute pas les meilleures mais celles qui reviennent :

1- des kaï arrivent à fond dans la cours de mon lycée en bagnole (une graaaannnnde cour avec du gravier) amorcent un gros frein à main puis s'arrêtent. Et oui si on appuie pas sur l'embrayage, on cale... On devait être à peu prêt 500 à faire "ooooûûûûûûhhhh"...

2- cet été, je suis sur un tournage avec un jeune stagiaire. Entre le bureau de prod et le plateau, environ 150-200m. Il faut amener un véhicule de location sur le plateau.

- stagiaire : je peux emmener la voiture

- moi : non, tu as pas le permis

-s : mais je sais conduire, je conduisais le camion régie de Secret Story... Et y'a que 200m...

- moi : je m'en cogne des conneries de Secret Story, ici c'est moi qui décide et si t'as pas le permis tu conduis pas.

-s : aller, et M. m'accompagne...

- moi : bon OK. Mais je te préviens, s'il arrive quoi que ce soit, tu vas morfler puissance 10.

-s: t'inquiètes...

10 minutes plus tard je me rend sur le plateau qui est un champ en contre bas de la route. Il y a un chemin de 10m en pente qui descend de la route au champ le long de ce dernier. Là je vois la bagnole en début de marche arrière avec une roue arrière au milieu du chemin et l'autre complètement dans le vide... A la limite de basculer dans le talus. Et mon stagiaire, au volant, qui n'ose pas descendre de peur que l'absence de son poids fasse basculer la bagnole. Son visage se décompose à l'instant ou il m'aperçoit et il commence à s'excuser de 1000 façons... Voyant que la voiture n'a rien, je prend mon talkie et demande à toute l'équipe de venir aider le stagiaire, histoire qu'il ait bien la mort et se fasse chambrer pendant tout le reste du temps...

3- Mon pote à une nana en or mais veut se taper d'autres gonzesses pour le fun et aussi un peu pour me montrer que lui aussi peut le faire... Il en trouve une, puis deux, puis une troisième dont il tombe amoureux. Là il se retrouve comme un con, amoureux de celle-ci mais ne voulant pas faire de mal à sa régulière... Il monte un plan fastueux et complexe destiné à lui permettre de faire rencontrer les deux pour les sauter en même temps, voir même démarrer un ménage à 3. En permanence il la ramèe me disant que je vais voir ce que je vais voir, que ceci cela... Je dois dire que ça a très bien marché, ça fait maintenant 4 ans que les 2 nanas sont ensemble, sans lui...

4- Tournage en hiver à Serre Che. Un des régisseurs est un type très chiant, désagréable avec tout le monde, etc. mais c'est un des "chefs" donc à peu près tout le monde s'écrase. Un des machino est là seulement en renfort, il a donc emmené avec lui sa planche de snow pour passer le temps. Le régisseur en question est très prétentieux, notamment sur ses exploits en snow... Un jour la lumière ne convient pas et on doit attendre une éclaircie. Je suggère au machino qu'il prête sa planche au régisseur qu'on voit ce qu'il a dans le ventre. Nous tournons au sommet des pistes, tout en haut, impossible donc de ne pas voir sa première descente pour l'ensemble de l'équipe. Le rigisseur fait le fier, chausse les boots, monte sur la planche, amorce sa descente et fait une faute de quart au premier virage et s'explose dans la neige, bataille, redescend et bim, deuxième gamelle dans la foulée. C'était bon, l'ambiance était revenue et les compteurs mis à zéro.

5- chai pas...