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Sujet Les potins mondains

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Sujet de la discussion Les potins mondains
Fans de la rubrique People de Yahoo, ce thread est fait pour vous (non non ne me remerciez pas) 

Ils nous font rire, pleurer, envie (voire envie de vomir ça marche aussi) : les PEOPLEs.

Alors postez et débattez des dernières hot news sur cette race supérieure qui nous donne à nous pauvres laborieux exploités de quoi alimenter nos conversations au coin de la machine à café au taf.

Et je commence avec cette news étonnante :

Jessica Simpson : elle lance un sort à Tony Romo !

Citation :

Tony Romo qui l'a larguée cet été.

D?après le National Enquirer, la chanteuse vient de lui jeter un sort, et un sort pas très gentil qui doit l'empêcher de retrouver le grand amour ! Un proche confie : "Jessica est une fille très gentille en temps normal. Mais elle n?arrive toujours pas à croire que Tony l?ait larguée. Elle a trouvé une femme en Californie qui l?a invitée chez elle pour y allumer des bougies et brûler de l?encens en récitant des incantations. Romo ne devrait jamais retrouver l'amour !"

L'avenir le dira...



 

C'est incroyable.  Mais vrai !! 

One Breath III : Find out the end of the story, piece by piece : WBBTMR - One Breath III

I'm an alligator, I'm a mama-papa comin' for you

[ Dernière édition du message le 24/08/2009 à 19:56:34 ]

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1121
Il y a quand même Ron Thal Dans Guns roses maintenant et tout de même. D'ailleurs ça m'agace ça.
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.

 

 
1122
Ben plus maintenant en fait.
1123
Hors sujet :
Ah ouais ?
Dans le doute, le mieux ça serait quand même une ligne inox.

 

 
1124
Ah ben j'ai cherché, en fait si. At the time for me
1125
Citation de Le Monde.fr :

L'hommage à Pierre Boulez s'est transformé en un concert "cauchemar"

LEMONDE | 29.05.10 | 14h58  •  Mis à jour le 29.05.10 | 17h03


A l'entracte de l'interminable second concert de l'hommage rendu par l'Orchestre de Paris et l'Ensemble intercontemporain, les 27 et 28 mai, Salle Pleyel, à Pierre Boulez pour son 85e anniversaire, on s'est surpris à grommeler : "Quel cauchemar..." Au cours d'un second entracte (qui faisait suite à d'autres longues interruptions dues aux changements de plateau incessants), on a entendu le compositeur et chef français, interrogé publiquement par Jean-Pierre Derrien, de France Musique, dire lui aussi que ce concert était "un cauchemar". On ne pensait pas trouver un tel allié - mais force est de dire que, si le diagnostic est le même, les symptômes relevés ne le sont pas.

Un peu inélégamment, Boulez a profité de ce programme inhabituel, constitué d'extraits de ses oeuvres fétiches du XXe siècle, pour fustiger l'inadaptation des salles de concert actuelles et redire combien la construction d'un grand auditorium, porte de Pantin, prévue pour 2012, était indispensable au développement de la musique de demain. Afin de pouvoir enchaîner plus rapidement des pièces d'effectifs différents (on passait parfois du grand orchestre au quatuor), il a réclamé un "plateau tournant".

 

Il a regretté que la Salle Pleyel soit impraticable aux effectifs "spatialisés" de la composition Concertate il suono (2000), de Marc-André Dalbavie (né en 1961), l'un de ses "chouchous" notoires. Pierre Boulez a beau assurer que la place du chef d'orchestre est la moins bonne acoustiquement (sic !) pour contrôler la mise en place et les équilibres sonores d'un tel dispositif, qui répartit des groupes aux quatre coins de la salle, il croit dur comme fer à la spatialisation et voudrait faire admettre que c'est l'avenir musical auquel nul ne saurait échapper. Oublie-t-il que Saint-Marc de Venise a déjà répondu à de telles exigences musicales ? A moins que les compositeurs du XVIe et du XVIIe siècle aient eu le pragmatisme d'écrire en fonction du lieu plutôt que d'attendre qu'on leur construise l'espace rêvé...

Malgré tout le respect qu'on porte à Dalbavie, on se dit que construire une salle symphonique qui rompe avec des modèles qui fonctionnent depuis des siècles au bénéfice d'une oeuvre aussi cosmétique et creuse (mais habilement tricotée) que Concertate il suono tiendrait de l'absurde et du scandale. Répons, le chef-d'oeuvre "spatialisé" de Boulez, serait-il le bijou qui justifie sans conteste un tel écrin ? Mais Répons se joue rarement et peut, en raison de l'amplification prescrite, l'être parfaitement dans des espaces non destinés à la musique (c'est ce qui se fait en général).

Quel grand musicien tiendrait aujourd'hui la "spatialisation" comme une vertu cardinale de la musique de l'avenir et oserait affirmer que cette dimension oblige à repenser totalement le plan des salles de musique classique ? On ne connaît que Boulez pour tenir avec autant d'opiniâtreté ce discours.

 

"Un certain parcours", titre de l'hommage, promettait sur le papier. A l'épreuve du concert, on déchantait. Si les enchaînements du premier programme n'ont pas posé de problème, ceux du second étaient insupportables en raison des déménagements incessants du plateau. De surcroît, l'ordre de cette "suite" d'extraits aurait gagné à enchaîner la toccata rythmique qu'est Tema (1981) de Franco Donatoni (1927-2000) à la Notation II (1980) de Boulez pour que la chose ait du sens et éclaire leur commune frénésie rythmique. Mais c'était impossible : la première convoque douze musiciens, la seconde un énorme orchestre. D'ailleurs, on ne sait pourquoi, Stockhausen, Ligeti et Kurtag les séparaient.

 

Après avoir sillonné les chemins de son XXe siècle (qui, il va sans dire, ne comprend, pour la partie la plus récente, ni musique consonante, ni minimaliste, ni spectrale - ne parlons pas du jazz, qu'il déteste), Pierre Boulez a créé deux oeuvres de jeunes compositeurs peu connus, Jean-Baptiste Robin (né en 1976) et Helen Grime (née en 1981). C'est courageux. Mais ces pièces étaient conventionnellement ancrées dans une sinistre esthétique d'avant-garde "fin de siècle".

 

Dans un hommage biographique et musical piquant, donné à la fin du premier concert (mais qui n'a guère fait sourire Boulez, le visage aussi fermé que pendant le concert), les musiciens de l'Orchestre de Paris ont eu l'audace de traiter l'octogénaire de "papy". Mais si l'ancien jeune loup de la modernité musicale est un "papy", c'est, à n'en point douter, un papy qui fait de la résistance.


1126
J' ai lu ça l' autre jour...
Citation :
Quel grand musicien tiendrait aujourd'hui la "spatialisation" comme une vertu cardinale de la musique de l'avenir et oserait affirmer que cette dimension oblige à repenser totalement le plan des salles de musique classique ?

et pourtant...
1127
c'est pas ici que ça se passe mais sur le thread "alerte boulez" facepalm

une vielle et alors ...??

1128
pitin, personne m'avait prévenu:

Citation :
Bernard Henri Levy se sépare après plus de 29 ans de relation avec Arielle Dombasle.


Citation :

Il entretiendrait une relation avec Daphne Guinness.

le beau gosse a déjà emmener sa nouvelle dulcinée dans sa villa de Marrakech et a été aperçu à Nice en sa compagnie, elle, rêne du shooping.

Fille de l’Irlandais héritier des brasseries Guinness, Lord Moyne, et de la Français Suzanne Lisney ancien mannequin et petite-fille de Diana Mitford, l’aristocrate célèbre dont le second mari fut le fasciste britannique

Vous comprenez donc que la pauvre Arielle Dombasle ne faisait pas le poids devant cette héritière qui, elle, ne compte pas vraiment sur le porte-monnaie du richissime Botul et elle serait probablement plus riche avec la société Guinness.


en soi, on peut pas vraiment le blamer... la pauvre Arielle ressemble plus qu'à un vieux sac plastic, en plus il va pouvoir picoler gratos icon_aime.gificon_aime.gificon_aime.gif

http://www.planetepeople.com/images/stories/news/2010-a/Arielle_Dombasle_et_Bernard_Henri_Levy_cest_fini_.jpg


La musique adoucit les meurtres...

1129
On reconnait bien la patte caractéristique des canards de potins. Y a 15 fautes en à peine 4 phrases. Par contre, je trouve que ça manque de points d'exclamations.

D'habitude c'est plus : "Incroyable!!!!! Regardez!!!! Belmondo et son chien!!!!"

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1130
a.k.a, tu tiens le coup?