Sujet Stress, pression, culpabilité, perdition : pas facile de faire avec... Et vous ?
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Anonyme
9049
Putain ça y est je stresse pour mon entretien tout à l'heure là..... 
tihouss
26592
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
Pour ton gars c'est pire, il est en réparation 
L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon
Anonyme
9049
sqoqo
7111
Je poste, donc je suis
Membre depuis 16 ans
Pour Amsterdam, souvenir ambivalent pour ma part...
Ville très agréable, cafés sympas, ambiance détendue sur plein de points...mais j'y étais pour aller sortir un pote de zonzon
résident régulier en france, marié à une français, mais carte de séjour non prête en préfecture (donc on lui a filé un récipissé..)
Bossait dans le déménagement. Arrêté vers Maastricht : "ach, on connaît pas ce papir...on l'embarque."
Je suis parti avec sa femme dans la nuit. Au petit matin, on se présente au commissariat (elle, avec le livret de famille etc...)
"Oui, oui, mais le problème...c'est qu'on doit attendre que la France dise Ok pour son statut.
Donc, on ne peut pas le libérer.
Le soir même, était envoyé en centre de rétention, dans une centrale (privée...), dont l'adresse ne pouvait pas nous être tout de suite communiquée.
Un avocat commis d'office, injoignable...
on apprend qu'il était vers Amsterdam. On y monte, consulat de France (qui s'en fout : ah ben, avec le nouveau ministère de l'identité nationale : ben, les Pays-bas saisissent la France, le ministère de l'identité traite le truc, après file le bébé à l'intérieur (préfecture) qui organise alors le retour de la personne.
Votre cas, pas de problème. Il sera libéré. Mais ça va prendre deux, trois mois...
Femme du pote s'effondre. Je trouve ça fort de café : deux mois de taule pour un gars honnête et en règle, qui ne faisait que bosser. Mais comme il a un nom exotique, bah, spa la fin du monde , un peu de carcéral...ils sont habitués ma bonne dame.
Le gars du consulat me file quand même le contact d'un avocat : un pénaliste, traitant plus des cas de tueurs à gages serbes (véridique
) que ces histoires de rétention.
Je vous passe les détails mais l'avocat, après avoir fait raquer direct le patron du pote, a obtenu la libération du pote en une semaine. (en identifiant le flic ad hoc : ces prisons privées sont quand même sous la houlette d'un fonctionnaire. Il fallait le trouver, et le convaincre. Il l'a fait.
J'ai appris que ce flic avait eu ensuite des problèmes avec sa hiérarchie pour cette décision. )
Ville très agréable, cafés sympas, ambiance détendue sur plein de points...mais j'y étais pour aller sortir un pote de zonzon
résident régulier en france, marié à une français, mais carte de séjour non prête en préfecture (donc on lui a filé un récipissé..)
Bossait dans le déménagement. Arrêté vers Maastricht : "ach, on connaît pas ce papir...on l'embarque."
Je suis parti avec sa femme dans la nuit. Au petit matin, on se présente au commissariat (elle, avec le livret de famille etc...)
"Oui, oui, mais le problème...c'est qu'on doit attendre que la France dise Ok pour son statut.
Donc, on ne peut pas le libérer.
Le soir même, était envoyé en centre de rétention, dans une centrale (privée...), dont l'adresse ne pouvait pas nous être tout de suite communiquée.
Un avocat commis d'office, injoignable...
on apprend qu'il était vers Amsterdam. On y monte, consulat de France (qui s'en fout : ah ben, avec le nouveau ministère de l'identité nationale : ben, les Pays-bas saisissent la France, le ministère de l'identité traite le truc, après file le bébé à l'intérieur (préfecture) qui organise alors le retour de la personne.
Votre cas, pas de problème. Il sera libéré. Mais ça va prendre deux, trois mois...
Femme du pote s'effondre. Je trouve ça fort de café : deux mois de taule pour un gars honnête et en règle, qui ne faisait que bosser. Mais comme il a un nom exotique, bah, spa la fin du monde , un peu de carcéral...ils sont habitués ma bonne dame.
Le gars du consulat me file quand même le contact d'un avocat : un pénaliste, traitant plus des cas de tueurs à gages serbes (véridique
) que ces histoires de rétention.Je vous passe les détails mais l'avocat, après avoir fait raquer direct le patron du pote, a obtenu la libération du pote en une semaine. (en identifiant le flic ad hoc : ces prisons privées sont quand même sous la houlette d'un fonctionnaire. Il fallait le trouver, et le convaincre. Il l'a fait.
J'ai appris que ce flic avait eu ensuite des problèmes avec sa hiérarchie pour cette décision. )
Anonyme
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Une semaine ça fait quand même long pour une histoire de formulaire. 
Anonyme
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