Les filles d'AF
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Anonyme
propaprika
Bah voila, Marion, Kapam, Kamam, Marion ... Félicitation, t'as rameuté sur ton topic un des personnage les plus emblématique d'AF
Anonyme
'connaissait même pas...Il a fait un tour sur quel autre topic ?
propaprika
Oh, surtout sur des forums où ça parlais de compression.
Anonyme
pour justifier son comportement, je dirais qu'il a du coucher avec une fille des Plastitruc. Et qu'elle était vachement bonne !
propaprika
Possible (qu'elle ai été vachement bonne )
Anonyme
vous êtes vraiments meuchants avec Kapam moi je l'aime bien, et le bougre sait parfaitement faire du son, y a pas de doute à ce sujet
Anonyme
Citation :
Je dis juste que beaucoup d'instrumentistes n'ont absolument rien à leur envier
c'est pas forcement leur son que j'aime bien mais leur caractere et soif de réussir, le talent pour regrouper autant de fan, et tout ça à 19ans
ok y'a des bon instrumentiste même ici, sur plein de thread, je te dis pas le contraire, mais la différence c'est qu'elle ne sont pas dans l'ombre
dire que c'est simple, c'est trop facile de dire ça...
et la mention spécial elle couche pour réussir, faut arréter, genre un DA il va investir des milles et des cents juste pour partouzer avec...
tu sais combien ça coute une callgirl ?: 1/1000ème de l'investissement théorique...
will_bru
ah ptain, spa faux
One Breath III : Find out the end of the story, piece by piece : WBBTMR - One Breath III
Je vous en prie, allongez vous dans les plantes vertes.
Anonyme
... je demande comment elles ont pu se faire signer aussi rapidement... elles font deux morceaux en 2006 sur une compil et sont signés chez VIRGIN la même année... le matos qu'elles ont sur scène ...
Anonyme
Citation :
Premiers concerts, premières représentations, les quatre ugly girls parviennent à imposer deux de leurs titres(« Shake » et « Rake ») sur la compilation « Paris Calling », un recueil dédié à la nouvelle scène rock francilienne aux côtés de The Parisians, The Rolls ou Second Sex. Repérées par le producteur Maxime Schmitt (qui n’est pas tout à fait un étranger pour certaines des membres du quatuor), ancien coach de Taxi Girl, les filles se font rôder sur de grandes scènes en première partie d’Indochine avant d’entamer l’écriture et la composition d’un premier album en 2004. Look néo-punk made in XVIe arrondissement, poses de sales gamines et jupettes colorées, les Plastiscines constituent un groupe visuel autant que musical, à l’apparence post-sixties immédiatement reconnaissable. LP1, sorti début 2007, présente l’originalité de ne durer que vingt-six minutes pour pas moins de treize titres. Deux minutes en moyenne, la critique estime que les filles se contentent du minimum syndical, d’autres préfèrent dire que l’expérience est « conceptuelle ». Pur hommage aux anciens combos féminins des années 1970 et 1980, LP1 est soutenu à bout de bras par le magazine musical Rock & Folk, au sein duquel quelques membres du groupe disposent de contacts privilégiés. Pistonnées, les Plastiscines ? Elles ne le nient pas vraiment et ont au moins le cran d’assumer leur carnet d’adresses. Mais leur côté « filles à papa rebelles » fait aussi partie du marketing et de la démarche artistique des Plastiscines, qui captent un public à la fois en marge de la jeunesse NAP (pour Neuilly-Auteuil-Passy) lassée ne n’avoir le choix qu’entre les chanteurs à textes néo-réalistes à la Bénabar, les vieux de la vieille façon Noir Désir ou Indochine, le Hip-hop de faux rebelles ou la Tektonik, fatigante à danser et qui laisse des auréoles sous les bras. Il existe donc une audience pour un groupe de filles, aux paroles faussement candides, parfois un peu crues, toujours teintées d’un féminisme peu revendicatif mais affirmé (« Loser ») ou d’un romantisme post-punk assez échevelé
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