Ben commence par retirer les heu au debuts de tes posts qui eux aussi laissent planer le doute quand a tes intentions. Ensuite je n'ai pas dis que tu avais poste dans cette optique mais que c'est le sentiment que ca m'a laisse. Sur ce bonne journee.
[ Dernière édition du message le 28/03/2013 à 13:30:48 ]
Anonyme
3532
113Posté le 28/03/2013 à 14:02:08
"Ah mais merde avec Pendragon ! Fallait pas lui parler comme ci, il aurait jamais accepté ça, quand on lui marchait sur le pied il vous crevait un oeil... Moi quand on me marche sur le pied, eh bah on me dit pardon, et puis j'réponds c'est pas grave ! J'suis pas une espèce de gros taré à qui on peut jamais rien dire ! Alors foutez-moi la paix avec ce con et finissez c'que vous avez dans votre assiette !"
Pour répondre, je pensais plus en effet à l'ensemble du boulot d'Astier que la vie de Bach. Mais c'est vrai qu'un tel taux de mortalité infantile, c'est absolument terrible et ça influence forcément la perception de la vie...
[ Dernière édition du message le 28/03/2013 à 16:53:00 ]
Anonyme
65640
116Posté le 28/03/2013 à 18:21:13
Y a un épisode dans le livre V où Astier discute avec une paysanne, qui lui parle précisemment de la mortalité infantile, que le roi semblait ignorer. C'est accentué par le fait que la paysanne parle de ses 9 enfants morts avant l'age de 10 ans avec une totale insouciance.
Bah la simple quête des éventuels enfants du roi est quand même assez émouvante. Le mieux (ou le pire, c'est selon), c'est quand il rencontre le père des "jumelles du pêcheur" qui attend son fils parti en mer. Qui s'inquiète car son fils ne rentre pas...