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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
greggreg
Citation :
Tout est dans le jeu des acteurs qui parviennent à rendre toute la complexité des personnages
et dans les paysage filmés magnifiquement qui donnent une ambiance incroyable
J'ai aussi adoré ce film...
greggreg
Le fanfaron : de Dino Risi. avec Vittorio Gassman et Jean-Louis Trintignant. 1962
Au scénario on retrouve aussi Ettore Scola (affreux, sale et méchant).
Je vous cite wikipédia : "Ce film constitue l'une des fresques les plus représentatives de l’Italie du bien-être et du miracle économique de cette époque."
Un joyeux road movie, des dialogues à 200 à l'heure, des acteurs au top. C'est convivial comme un repas de famille napolitain et chaleureux comme una mama.
Bref c'est un peu la cure de vitamine C-inématographique.
Et une dernière citation :
"Il y a les films d’auteur et les films d’équipe. Moi, je fais des films d’équipe." Dino Risi
J'aime bien.
VO obligatoire sur ce coup.
Anonyme
Grand film, Gassman et Trintignant sont fabuleux.
Mais tu ne trouves pas qu'on en sort , sans en dire plus, avec une sacrée dose d'amertume ?
greggreg
Amer, oui. Et sacrément impitoyable. Je serais presque tenté de faire l'autruche...
Je suppose que tu as vu "parfum de femme"...bigrement bon aussi. En fait c'est un de mes films préférés...
Je vais me faire une série "film italien" je crois, en commençant par "une journée particulière" d'Ettore Scola, qu'on m'a conseillé.
[ Dernière édition du message le 03/07/2011 à 10:26:44 ]
Djardin
Vu dernièrement "le nom des gens".
avant de le voir, j'avais peur, très peur : film français, l'histoire se passe de nos jours, à Paris. un homme plutôt coincé et avec une vie ennuyeuse en costard rencontre une jeune femme très charmante, issue de l'immigration, et de gôche.
Mais en fait c'est très drôle, pas mal de 2nd degré. Puis plus réfléchis qu'il en à l'air. Un bon flim à voir.
(puis l'actrice réussie très bien à être le saloperie de bobo qui sait tout sur tout dans son rôle. Puis on la voit à poil pas mal de fois) (un flim sans nichon n'est pas un bon flim)
Référence en matière de bon gout capillaire et vestimentaire.
homme à tête de zizi.
Pere Founasse
Provocateur d'extrême droite
KoalaMan
Ce soir, c'était Barton Fink et Raising Arizona.
1) Barton Fink : j'adore vraiment, dans les années 40 un auteur intello doit écrire un film de catch pour Hollywood. L'idée, comme souvent chez les frères Coen, est vraiment simple (enfin sauf pour Burn After Reading, v'la le bordel à expliquer en une phrase), mais le traitement fait que ça passe tout seul.
On peut le voir au premier degré, comme une sorte de comédie malsaine un peu noire, ou alors partir dans l'interprétation et le symbolisme (le fascisme contre le socialisme en gros).
Vraiment un chouette film, on ne voit pas le temps passer, et les références à Kubrick et à d'autres sont assez bien fichues.
2) Raising Arizona : un couple de paumés stériles décide de s'approprier un enfant issue d'une fratrie de quintuplés. Évidemment, ça ne se passe pas comme prévu.
Le début était assez funky, bien rythmé, et, avec le temps, je trouve que ça s'effrite un peu. La fin n'en finit pas de larmoyer US style. C'est tellement gros que je ne suis même pas certain que cela soit de la parodie.
Vu qu'en plus je sortais de l'intégrale des six saisons de Kaamelott, faut pas me parler gamins pendant un bon moment, là.
Les personnages sont évidemment stéréotypés, on se croirait presque dans du Tarantino ou dans les vieux films de série Z. C'est rigolo cinq minutes, mais, honnêtement, j'ai commencé à chercher mon coupe-ongle au bout d'un moment.
Je ne trouve pas que ce soit le film le plus intéressant de leur filmographie, sauf pour les fans (dont je fais partie), histoire de voir comment ils traitaient les paysages, les clichés et autres personnages stupides, avant leurs fabuleuses réalisations plus récentes.
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.
[ Dernière édition du message le 03/07/2011 à 23:55:34 ]
le reverend
Pour moi, Raising Arizona est un des meilleurs Coen. Comme quoi, il en faut pour tous les gouts...
Et certainement un des meilleurs rôles de Nicolas Cage, avant que la célébrité ne l'oriente vers les mauvais scénarios et les directeurs ne sachant pas le diriger.
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
KoalaMan
Mais j'ai du louper un truc pour l'apprécier, il doit me manquer une clé, vu que d'ordinaire, je suis plutôt fan de ce qu'ils font, et là, bah... flop.
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.
gromeul
"Otages", oui bon ... "Le chat du Rabbin", très bon !
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