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fairbec
Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...
Anonyme
Arf, ce film, je me souviens être revenu en arrière vers le milieu, je croyais avoit fait une grosse avance rapide sans faire gaffe. C'est clair que le scénario est complètement incohérent, c'est assez affligeant, à croire que personne ne l'a lu ou n'a revu le film.
cyar
Anonyme
[ Dernière édition du message le 31/12/2013 à 13:37:01 ]
Anonyme
Toujours autant de plaisir à voir ce beau flime qui pour moi est de loin son meilleur, malgres la présence parfois excessive de pommade
cyar
W-Addict
Après seulement 2 minutes de visionnage, réaction de ma blonde : "c'est chanté tout le long?"
Allez hop on stoppe, c'est ignoble, malgré un casting plus qu'alléchant.
gromeul
Polaroil
End of Watch
une sorte de buddy movie, mais pas drôle. Aucune intrigue particulière ou originalité, juste une tentative d'émouvoir avec des grosses ficelles. c'est "les petits mouchoirs" version flic à LA. dispensable
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
Javier Guante Hermoso
Chaque jour à Bombay, près de 200 000 gamelles (dabba) préparées à la maison sont livrées par les dabbawallahs sur leur lieu de travail aux employés de bureau. Une erreur de livraison met en contact Ila Singh, une jeune femme au foyer de la classe moyenne hindoue conservatrice, avec Saajan Fernandes, un employé vieillissant, solitaire et chrétien. S'inventant un soupirant, Ila continue à confectionner des repas pour Saajan qui attend avec de plus en plus d'impatience les déjeuners cuisinés par cette femme mystérieuse. Ils échafaudent une liaison au travers de petits mots cachés dans les dabbas mais progressivement cette vie fantasmée menace d'empiéter sur leur vie réelle.
En 18 mois, je suis allé 3 fois au ciné. Et quand je tombe sur ce genre de film, je suis plutôt content. Un reflet de la société indienne au travers de la présentation d'un système de livraison archaïque mais d'une précision ahurissante, une historiette légère entre deux êtres au coeur triste, qui ne se rencontrent pas, mais qui retrouvent le sourire ensemble, deux personnages autour d'eux qui apportent du rythme.
Absolument pas misérabiliste, absolument pas moraliste, juste un film qui donne la banane. Et faim. En sortant j'ai été prendre un nan au fromage à emporter.
[ Dernière édition du message le 02/01/2014 à 11:14:31 ]
le reverend
Lincoln, de Spielberg
bon, il n'y a pas de sabres laser, ça c'est fait.
Sinon, c'est très verbeux, et franchement, si on ne connait pas un peu l'histoire US un minimum, on passe à coté de plein de chsoes (ce qui a été mon cas)
Super prestation de Daniel Day-Lewis, comme d'hab, et gros casting par ailleurs
J'ai pas été emballé plus que ça.
Sur le dvd j'ai un peu regardé les bonus : c'est quasiment que de l'inter-cirage de pompes entre acteurs, scénaristes, producteurs et réal. Nase.
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
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