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crossroads
9943
Je poste, donc je suis
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Tout est dans le "un peu"...
Instrumental/Ambient/Post-Rock : https://dzeta.bandcamp.com/
Pictocube
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Ma vie est un thread...
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Djeeloo
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Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
Anonyme
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Bein je ne sais plus où j'avais entendu ça, mais ce mec serait un label, une marque, avec une armée de petit compositeur travaillant pour lui, rémunérés mais invisibles, ayant troqués leurs noms au générique contre l'assurance de pouvoir travailler dans le milieu du -son à l'image- de cinéma. Un peu à la manière des anciens ateliers de maître quoi.
Mythe ou réalité ?
Sans cette armée de petite mains comment pourrait-il composer 5 musique de film -souvent très longs- par année. D'autant plus que si je ne dis pas de connerie le délai de composition pour la musique à l'image est souvent très court. La musique, n'est-ce pas la dernière partie de la production ? On n'imagine alors les producteurs faisant la pression pour sortir le film au plus tôt...
La critique qu'on peut faire à HZ est qu'il produit une musique qui ne serait pas indépendante de l'image: en gros elle est fonctionnelle, et ne sert que les tensions du film sans pouvoir réellement donner du plaisir à sa seule écoute ( je me suis jamais autant fait chier qu'en écoutant les BO de HZ, à la différence de John Williams, où ce sont des véritables symphonies qui sont synchronisées aux rythmes des images sans être complètement absorbé et dépendant de ces dernières)
Au final le débat repose sur la valeur que l'on décide de donner à la musique de film: doit-elle seulement servir l'image ? ou faut-il aussi lui imaginer une existance indépendante?
A considérer le cinéma comme une oeuvre d'art totale, dans laquelle tout est fusionné, et n'ayant de sens que par les autres éléments, la première définition serait tout à fait acceptable.
Seulement moi, quand je vais au cinéma, j'aime bien aussi écouter seulement la musique, et l'espace d'un instant, oublier l'image.
Mythe ou réalité ?
Sans cette armée de petite mains comment pourrait-il composer 5 musique de film -souvent très longs- par année. D'autant plus que si je ne dis pas de connerie le délai de composition pour la musique à l'image est souvent très court. La musique, n'est-ce pas la dernière partie de la production ? On n'imagine alors les producteurs faisant la pression pour sortir le film au plus tôt...
La critique qu'on peut faire à HZ est qu'il produit une musique qui ne serait pas indépendante de l'image: en gros elle est fonctionnelle, et ne sert que les tensions du film sans pouvoir réellement donner du plaisir à sa seule écoute ( je me suis jamais autant fait chier qu'en écoutant les BO de HZ, à la différence de John Williams, où ce sont des véritables symphonies qui sont synchronisées aux rythmes des images sans être complètement absorbé et dépendant de ces dernières)
Au final le débat repose sur la valeur que l'on décide de donner à la musique de film: doit-elle seulement servir l'image ? ou faut-il aussi lui imaginer une existance indépendante?
A considérer le cinéma comme une oeuvre d'art totale, dans laquelle tout est fusionné, et n'ayant de sens que par les autres éléments, la première définition serait tout à fait acceptable.
Seulement moi, quand je vais au cinéma, j'aime bien aussi écouter seulement la musique, et l'espace d'un instant, oublier l'image.
le reverend
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