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Personnellement je n’ai pas dit qu’il est un gros nul, mais tous les films que j’ai vus de lui m’ont parus très « lisses » ; comme si la volonté de plaire à tout le monde avait raboté toute personnalité, toute audace.
C’est pour ça que pour moi il n’est pas « un grand metteur en scène ». Un excellent artisan, ok, un bon metteur en scène, pourquoi pas, mais pas un grand. Pour moi un grand metteur en scène c’est quelqu’un qui a fait plusieurs films exceptionnels. Le seul de Spielberg que je mettrais dans cette catégorie est « Duel ». Coppola est un grand rien qu’avec Apocalypse Now + Le Parrain. Dans la gaudriole, OSS 117 est exceptionnel ; et Hazanavicius en a réussi d’autres. Pour moi Spielberg c’est du « commercial bien fait, mais quand même trop commercial, un peu incolore et inodore ». Autrement dit pas nul, mais loin d’être excellent.
Bref : je ne sais pas si quelqu’un avait dit que c’est gros nul, en tout cas ce n’est pas ce que j’ai voulu dire.
Après, s’il y en a qui aiment les films incolores et inodores, libre à eux.
Polaroil
13224
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 16 ans
Anonyme
17065
Anonyme
17065
Anonyme
3431
Les chemins de la liberté
de Peter weir
pitch:
En 1940, une petite troupe de prisonniers décide de s’évader d’un camp de travail sibérien.
Pour ces hommes venus de tous les horizons, s’échapper de cet enfer ne sera que le début de l’aventure…
Ensemble, ils vont parcourir plus de 10 000 kilomètres, à travers la toundra sibérienne glacée, traversant les plaines de Mongolie, les fournaises du désert de Gobi puis les sommets de l’Himalaya pour franchir la Grande Muraille de Chine.
Certains s’arrêteront en chemin, d’autres ne survivront pas aux épreuves. L’Inde - alors sous contrôle anglais - est le but ultime.
Mais la route est longue, les rencontres risquées, les conditions physiques épouvantables, et chacun a ses secrets…
J'ai trouvé ça plaisant, belles images, très peu de sang, un road movie à plusieurs, en enduro à pied.
ça a filé rapidement, il est pourtant assez long....
je recommande.
de Peter weir
pitch:
En 1940, une petite troupe de prisonniers décide de s’évader d’un camp de travail sibérien.
Pour ces hommes venus de tous les horizons, s’échapper de cet enfer ne sera que le début de l’aventure…
Ensemble, ils vont parcourir plus de 10 000 kilomètres, à travers la toundra sibérienne glacée, traversant les plaines de Mongolie, les fournaises du désert de Gobi puis les sommets de l’Himalaya pour franchir la Grande Muraille de Chine.
Certains s’arrêteront en chemin, d’autres ne survivront pas aux épreuves. L’Inde - alors sous contrôle anglais - est le but ultime.
Mais la route est longue, les rencontres risquées, les conditions physiques épouvantables, et chacun a ses secrets…
J'ai trouvé ça plaisant, belles images, très peu de sang, un road movie à plusieurs, en enduro à pied.
ça a filé rapidement, il est pourtant assez long....
je recommande.
Dr Pouet
52037
Membre d’honneur
Membre depuis 20 ans
Citation :
Sinon sur le thread en question, (LSV) c'était rigolo de lire que Spielberg était un gros nul, dans le sens où c'est aussi couillon que de dire que Mark Knopfler est un gros nul de la gratte : ça prouve qu'on y connait rien et/ou qu'on confond.
Personnellement je n’ai pas dit qu’il est un gros nul, mais tous les films que j’ai vus de lui m’ont parus très « lisses » ; comme si la volonté de plaire à tout le monde avait raboté toute personnalité, toute audace.
C’est pour ça que pour moi il n’est pas « un grand metteur en scène ». Un excellent artisan, ok, un bon metteur en scène, pourquoi pas, mais pas un grand. Pour moi un grand metteur en scène c’est quelqu’un qui a fait plusieurs films exceptionnels. Le seul de Spielberg que je mettrais dans cette catégorie est « Duel ». Coppola est un grand rien qu’avec Apocalypse Now + Le Parrain. Dans la gaudriole, OSS 117 est exceptionnel ; et Hazanavicius en a réussi d’autres. Pour moi Spielberg c’est du « commercial bien fait, mais quand même trop commercial, un peu incolore et inodore ». Autrement dit pas nul, mais loin d’être excellent.
Bref : je ne sais pas si quelqu’un avait dit que c’est gros nul, en tout cas ce n’est pas ce que j’ai voulu dire.
Après, s’il y en a qui aiment les films incolores et inodores, libre à eux.
[ Dernière édition du message le 20/11/2017 à 20:12:40 ]
KoalaMan
19513
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
Hors sujet :
Puisque je sais que ça intéresse les foules, je viens de recevoir une lettre de mon opérateur internet me disant qu'ils ont été contraints de donner le nom et l'adresse relatives à mon adresse IP à un cabinet d'avocats défendant les producteurs de film.
Visiblement, ma connexion a été utilisée pour télécharger un ou plusieurs films.
J'attends la lettre avec impatience. La loi ici, si j'ai bien compris, dit en substance "il est coupable si vous pouvez prouver que c'est bien lui qui a téléchargé les flimes. Ah pis aussi, vous avez pas le droit de lui demander son ordinateur ou tablette. Ah pis tant qu'on y est, allez vous faire foutre."
On ne voit bien qu'avec les yeux. Le cœur est invisible pour l'essentiel.
Anonyme
2235
Comparer Spielberg à Hazanavicius, faut quand même oser, merci Pouet 
On peut sourire à OSS, à condition de ne jamais avoir vu l'Homme de Rio, The Artist est absolument navrant, comme Dujardin l'emoticone, qui n'a que trois expressions faciales (soucieux, neutre ou sourire forcé), et le Redoutable est à peine sauvé grâce à Garrell.
On peut sourire à OSS, à condition de ne jamais avoir vu l'Homme de Rio, The Artist est absolument navrant, comme Dujardin l'emoticone, qui n'a que trois expressions faciales (soucieux, neutre ou sourire forcé), et le Redoutable est à peine sauvé grâce à Garrell.
[ Dernière édition du message le 20/11/2017 à 20:48:34 ]
Dr Pouet
52037
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Membre depuis 20 ans
Anonyme
2235
pontchartrain
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