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fairbec

Le permier est tout simplement exceptionnel : une richesse de dialogues exceptionnelle et une construction à l'americaine. marque de fabrique canadienne?
Le second aurait pu etre tres bon s'il etait sorti avant Amélie...

Point-virgule


Alors que celui de 1982

« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

n3m3s1s

a ne pas confondre avec Condorman


Il vaut mieux se perdre dans sa passion que perdre sa passion

Point-virgule


« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

Alx33

c'est décousu de partout, Al Pacino est à la ramasse, on a l'impression que pour chaque scène il se demande comment jouer.
J'ai regardé jusqu'au bout pour connaitre le meutrier et même là c'est merdique.
Quand je conduis pas j'ai peur.

Pictocube

Au revoir là haut.
Impec pour moi
Blablabla déjà dit.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

Vince_


Dr Pouet


Javier Guante Hermoso

En une seule image:



Pictocube

Vince -> oui, y'a beaucoup de choses, de toutes façon Dupontel aime se faire plaisir à la réalisation...
A noter l'emploi de focale assez courte, qui donne des perspectives très grandes, assez effficace, limite dérangeant parfois (une scène). Les cadrages du début (les tranchées) sont supers efficaces (genre celui sur son oeil). Chaque personnage est filmé un peu différemment pour appuyer son identité et ça marche, c'est soigné. Beaucoup de contre plongée en effet dans cet exercice, notamment en fonction des classes sociales, mais de façon complexe. Le premier dialogue entre Arestrup et son gendre par exemple, il y a les classes, mais aussi la santé et la stratégie des protagonistes, dans le cadrage oui, oui... Le diner chez Arestrup est très bien cadré : Arestrup grand et seul dans l'image, parfaitement intégré à son milieu fastueux, Dupontel écrasé par lui, sa femme entre deux, très soigné. Le diner qui suit, pareil, les chandelier font barrière de classe, jusqu'au moment ou Dupontel décline sa profession, moderne, et bascule dans une autre dimension, leurs différences sont maintenues mais un équilibre se créé, très joli/stylé comme moment. Tout est cadré avec beaucoup de sens.
Y'a quelques plans séquences qu'on ne vois pas souvent, notamment un réalisé avec un drône plutôt habilement. Pas mal de plan transitoire sympas aussi. D'une manière générale c'est très habile.
L'époque est très bien rendue aussi.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier

Neurophage


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