Sujet Qu'est-ce qui vous amuse automatiquement ?
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roth weiler
1240
AFicionado·a
Je dis savoir parler rosbeef un peu passe que ces modèles fonctionnent pour des raisons historiques de la même façon: y’a pas par exemple de traduction directe entre le français et le russe, c français -> anglais -> russe et toutes les autres, là c’est bof bof, ça marche bien si c’est ta langue-> rosbeef ou bien rosbeef-> ta langue de merde 
mais un peu moins, because l’histoire encore
mais un peu moins, because l’histoire encore
On the internets, nobody knows you are a dog
[ Dernière édition du message le 18/02/2024 à 20:44:02 ]
roth weiler
1240
AFicionado·a
Will Zégal
73837
Will Zégal
le reverend
33140
Vie après AF ?
Rahar
1401
AFicionado·a
Amuse auto. Ça débute pourtant par un navre... Je baguenaudais en voiture sur un anonyme chemin vicinal, curieuse de savoir où il menait... Il menait surtout à une zone boueuse dans laquelle le véhicule s'est trouvé enlisé.
Impossible de dégager la roue avant droite. J'étais seule (même pas un oiseau pour se fiche de moi), je n'avais pas de matériel en dehors d'un cric ; lequel cric s'enfonça dans la boue lorsque je tentai de l'utiliser. J'ai pris une vieille poêle trainant dans la voiture (destination déchetterie toujours pas atteinte depuis au moins 6 mois...) pour mettre sous le cric : la poêle s'est déformée et enfoncée aussi, mais la roue embourbée s'est soulevée d'un demi centimètre.
Las, point assez pour y glisser... Glisser quoi ? Je ne savais.
Je prends donc mon cher vieux smartphone pour appeler au secours. Sachant enfin qui appeler après un bref temps de réflexion, je m'apprête à procéder lorsqu' un message hélas trop connu s'affiche : "La batterie est vide, le portable va s'éteindre dans 30 secondes".
Me voilà donc seule au milieu des champs, dans un véhicule immobilisé et sans moyen de communication. Sous la pluie. Mais avec 2 parapluies cassés. Eux aussi sont sensés être en déchetterie depuis au moins 6 mois.
Je suis rentrée à pied chez moi, près d'une heure de marche, ça va encore. Pieds trempés dans mes petites tennis de toile, à force de marcher dans l'herbe du bas-côté.
Finalement, mon cher et tendre conjoint avec lequel je m'étais sévèrement pris la tête le matin (d'où ma promenade "relaxante") a interrompu sa journée de travail avec l'accord de son supérieur hiérarchique et nous avons tenté ensemble de dégager la voiture... Ce fut une réussite ! Elle a bougé de ses trous (oui, le pneu avant gauche aussi avait fini par creuser son emplacement).
Le véhicule se retrouve donc 50 cm plus loin... Toujours dans le bourbier. "Même joueur joue encore"... Rien à faire, coincée coincée.
J'appelle le dépanneur. Plus de 470€. J'ai mal au popotin d'entendre ça mais bon, c'est ça ou attendre que le sol sèche, soit probablement d'ici un mois ou deux vu le temps printanier de ma chère (ex-)région de la "Pluicardie".
Obligée de guider le dépanneur au téléphone (rechargé entre-temps) pour trouver le chemin sans nom.
Il arrive enfin avec son collègue dans leur petit camion-plateforme. Marche arrière dans le chemin, courage, vous avez 1km à faire comme ça. Le gros du chemin, c'est de la terre et du caillou, sauf à la fin comme le sait ma voiture.
Tout se passe bien jusqu'à 500m environ de la voiture.
...
La dépanneuse a dérapé et glissé sur le bas-côté... Sur le petit talus qui descend dans le champ... Et s'est coincée là.
Je ne connais pas encore la fin de l'histoire, mon conjoint est resté là-bas à regarder les dépanneurs tenter de se dépanner pour dépanner le voiture, et j'ai pris sa voiture pour aller chercher progéniture au centre aéré.
Edit : La suite ! Mon conjoint vient de rentrer.
Ils ont appelé des collègues avec une autre dépanneuse. La première a failli se renverser dans le champ. La deuxième a dérapé aussi mais ne s'est pas embourbée. Ils ont pu dégager la première. Qui s'est ré- enlisée quelques mètres plus loin... Ils l'ont re-dégagée. Aucune des dépanneuses n'a pu atteindre la voiture, trop risqué pour eux, le peu de vue à cet endroit suffisait à les faire dérapé avec le poids de leurs véhicules.
Au final, les 4 gars ont poussé la voiture pendant que mon conjoint appuyait sur l'accélérateur... À l'ancienne, quoi.
Tout ce bordel à cause d'une nana !
Impossible de dégager la roue avant droite. J'étais seule (même pas un oiseau pour se fiche de moi), je n'avais pas de matériel en dehors d'un cric ; lequel cric s'enfonça dans la boue lorsque je tentai de l'utiliser. J'ai pris une vieille poêle trainant dans la voiture (destination déchetterie toujours pas atteinte depuis au moins 6 mois...) pour mettre sous le cric : la poêle s'est déformée et enfoncée aussi, mais la roue embourbée s'est soulevée d'un demi centimètre.
Las, point assez pour y glisser... Glisser quoi ? Je ne savais.
Je prends donc mon cher vieux smartphone pour appeler au secours. Sachant enfin qui appeler après un bref temps de réflexion, je m'apprête à procéder lorsqu' un message hélas trop connu s'affiche : "La batterie est vide, le portable va s'éteindre dans 30 secondes".
Me voilà donc seule au milieu des champs, dans un véhicule immobilisé et sans moyen de communication. Sous la pluie. Mais avec 2 parapluies cassés. Eux aussi sont sensés être en déchetterie depuis au moins 6 mois.
Je suis rentrée à pied chez moi, près d'une heure de marche, ça va encore. Pieds trempés dans mes petites tennis de toile, à force de marcher dans l'herbe du bas-côté.
Finalement, mon cher et tendre conjoint avec lequel je m'étais sévèrement pris la tête le matin (d'où ma promenade "relaxante") a interrompu sa journée de travail avec l'accord de son supérieur hiérarchique et nous avons tenté ensemble de dégager la voiture... Ce fut une réussite ! Elle a bougé de ses trous (oui, le pneu avant gauche aussi avait fini par creuser son emplacement).
Le véhicule se retrouve donc 50 cm plus loin... Toujours dans le bourbier. "Même joueur joue encore"... Rien à faire, coincée coincée.
J'appelle le dépanneur. Plus de 470€. J'ai mal au popotin d'entendre ça mais bon, c'est ça ou attendre que le sol sèche, soit probablement d'ici un mois ou deux vu le temps printanier de ma chère (ex-)région de la "Pluicardie".
Obligée de guider le dépanneur au téléphone (rechargé entre-temps) pour trouver le chemin sans nom.
Il arrive enfin avec son collègue dans leur petit camion-plateforme. Marche arrière dans le chemin, courage, vous avez 1km à faire comme ça. Le gros du chemin, c'est de la terre et du caillou, sauf à la fin comme le sait ma voiture.
Tout se passe bien jusqu'à 500m environ de la voiture.
...
La dépanneuse a dérapé et glissé sur le bas-côté... Sur le petit talus qui descend dans le champ... Et s'est coincée là.
Je ne connais pas encore la fin de l'histoire, mon conjoint est resté là-bas à regarder les dépanneurs tenter de se dépanner pour dépanner le voiture, et j'ai pris sa voiture pour aller chercher progéniture au centre aéré.
Edit : La suite ! Mon conjoint vient de rentrer.
Ils ont appelé des collègues avec une autre dépanneuse. La première a failli se renverser dans le champ. La deuxième a dérapé aussi mais ne s'est pas embourbée. Ils ont pu dégager la première. Qui s'est ré- enlisée quelques mètres plus loin... Ils l'ont re-dégagée. Aucune des dépanneuses n'a pu atteindre la voiture, trop risqué pour eux, le peu de vue à cet endroit suffisait à les faire dérapé avec le poids de leurs véhicules.
Au final, les 4 gars ont poussé la voiture pendant que mon conjoint appuyait sur l'accélérateur... À l'ancienne, quoi.
Tout ce bordel à cause d'une nana !
"La musique existe pour ceux qui ne savent pas s'exprimer avec des mots."
[ Dernière édition du message le 05/03/2024 à 18:47:57 ]
sublime gate
7076
Je poste, donc je suis
Ouatisit
1924
AFicionado·a
Il y a longtemps, avec un pote, on a aidé une dame en manteau de fourrure qui avait un pneu coincé dans une sorte d’ornière boueuse, dans le bois de Boulogne ! Enfin… on a pensé que c’était une dame
[ Dernière édition du message le 05/03/2024 à 19:52:13 ]
ronanr
359
Posteur·euse AFfamé·e
Polaroil
13038
Drogué·e à l’AFéine
Polaroil
13038
Drogué·e à l’AFéine
Sur ma ligne de transports, une portion du trajet est couverte de tags géants qui s’étalent sur des centaines de mètres.
Entre les “Rosco”, “Scram”, “Niko”, etc…, un tagueur relax a étalé un curieux “POULET DOUCEMENT BRAISÉ “
Entre les “Rosco”, “Scram”, “Niko”, etc…, un tagueur relax a étalé un curieux “POULET DOUCEMENT BRAISÉ “
"And in the end, the love you take is equal to the love you make"
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