Je ne pense pas que ce soit l'école de management des années 80, mais parfaitement actuel. Aujourd'hui vu la compétition qu'il y a entre les personnes sur le marché du travail, oublier les compliments mais ne fonctionner qu'au reproche devient la norme, c'est peut être dû au fait qu'il est de plus en plus dur de conserver un emploi, d'autant plus en montant les échelons; la théorie du panier de crabes, quoi. Ma douce est dans le public, elle me raconte souvent les mêmes choses que je vis dans le privé et vice versa.
C'est comme ça chez moi aussi, par contre c'est comique comme avec les américains ou les asiatiques le compliment est plus facile - mon chef est américain et j'ai beaucoup de collègues asiatiques que je connais bien.
Aujourd'hui l'autre Orchidoclaste, qui visiblement n'a pas apprécié que ma hiérarchie s'excuse de m'avoir incendié, pour mon absence suite au décès de ma chienne. Qui depuis fait tout pour me faire chier (enfin plus qu'avant), en a remis une couche... Putain pendant une seconde j'ai vu le moment où j'attrapais la pissette d'encre à estampille et ou je lui repeignais la tronche.
Va falloir qu'elle se calme très vite, si elle ne veut pas découvrir une autre facette de ma personnalité.
Pourquoi tu ne l'envoies pas chier bien comme il faut, une bonne fois pour toute?
Personnellement, les seuls cons qui m'ont poussé à bout, une fois que je leur ai montré que je pouvais m'énerver aussi, m'ont plus jamais emmerdé après.