Triste monde, où les rapport humains deviennent numérisés, et où toute empathie tend à disparaitre.
Le coupable dans l'affaire, c'est pas le gamin qui tient le flingue factice, lui c'est qu'un puceau de combat et donc intrinséquement bête et stupide, c'est pas celui qui tient le smartphone, c'est, bah je sais même pas qui c'est, je sais juste que par nature, dans le passé, internet n'existant pas et les smartphones non plus, ça n'aurait pas pu arriver.
perso je persiste à croire qu'il y a un danger réel pour l'humanité avec internet, et qu'on est çà la croisée des chemins.
Ou de constater simplement que en ville les rapports entre les gens sont d'une violence assez dingue quand on y pense, car j'ai parlé des gosses, mais pareil, les gens en voiture en ville sont juste dingue, pas patient du tout, voir des gens pourrir dès éboueurs qui ramassent Leurs poubelles parcequ'ils sont pressé... c'est pas mal ça aussi, se faire insulté parque que l'on demande sont chemin à quelqu'un... voir une caissière se faire pourrir par des clients parce qu'elle a échangé deux mot avec une personne qu'elle connaît... bref la liste est longue sur la violence quotidienne en ville qui imprègne le cerveaux des enfants et qui pose une ambiance générale.
Pour revenir à ce gosse, les réponses à cela sont soit laxiste ou trop violente, j'entend dire que ce gamin risque 5 ans de prison, super, il risque d'en sortir tout sage et bienveillant...
Et je précise qu'il y a des inconvénients à la campagne également, mais sur le thème de la violence quotidienne, c'est pas comparable.
[ Dernière édition du message le 21/10/2018 à 16:23:18 ]
Anonyme
647
43516Posté le 21/10/2018 à 17:15:01
dsl, mais si je me basais sur ma toute petite expérience de la campagne, je dirais qu'elle est emplie de rustres toxicomanes bas-du-frontistes.
edit : d'un quartier à l'autre, une ville n'est pas la même...
Il y a 2 ou3 fois plus de schizophrènes en ville qu'à la campagne. En terme de dépressions la différence entre les 2 milieux est aussi flagrante , dans le même sens, mais je n'ai plus les chiffres.