Vos rèves chelous
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Hamilton
3909
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 21 ans
Dernierment j'ai fait un reve ou Urk était interviewé par un journaliste, il avait les cheveux devant son visage, ensuite il s'élançait dans un escalier, mais en arrière, il avait un bodrier et était encordé, il faisait mine de descendre en rappel puis s'amuser a glisser sur la rembarde pour amuser la gallerie... 
Wolfen
13887
Rédacteur·trice
Membre depuis 22 ans
Cette nuit je rêvais que j'allais au festival AF, qui ressemblait étrangement à la boite de nuit dont je suis revenu à 4h du matin, et que je tapais la discut' avec Zap et avec Marie. Je me suis toujours dit que le jour où je commencerais à rêver d'AF, je serai foutu, il faudrait que j'aille direct en cure de désintox'. Ben je crois que je vais prendre rendez-vous la semaine prochaine 
Développeur de Musical Entropy | Nouveau plug-in freeware, The Great Escape | Soundcloud
Sir Kouni
7722
Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
Je suis dans la position où je suis en ce moment, à savoir dans mon lit, allongé sur le dos, le bras de ma chéwite derrière mon cou, sa main sur mon dos. D’ailleurs elle est aussi là, à côté, dans mon rêve. Sauf que là, il fait jour. On est dans un endroit indéterminé, du type d’un video blog de youtube.
Elle commence à me raconter l’histoire de son grand-père quand il était prisonnier de guerre (visiblement les 2-3 témoignages que certains ont postés m’ont marqué).
Zoom/Cut, on rentre dans l’histoire.
On se retrouve avec la 7ème compagnie (celle qu’on a perdue, oui) dans un camp militaire à la con. Je suis observateur extérieur, je sais pas ce qui se passe mais j’ai pas peur, je fais confiance au chef (Pierre Tornade lui-même) qui a un plan, je le sais.
Première tentative d’évasion, de jour. Tout le monde se fait rattraper. Fondu au noir, on rejoue la même scène que précédemment. C’est hautement comique cette répétition.
Mise en œuvre du plan B, qui n’est en fait pas un plan de rechange parce que le chef nous dit qu’il avait tout prévu: à la tombée de la nuit, le chef siffle les deux gardes qui font le planton à 100m de la clôture du camp, braille quelque chose qui est censé être de l’allemand, même si c’est loin d’en être dans mon rêve.
Les deux soldats semblent vachement hésiter, ils se demandent s’ils ont raison de nous laisser sortir comme l'a demandé le chef. Ils savent pas trop, ils préfèrent assurer le coup, ils ouvrent les grilles du camp.
Le chef fait semblant de s’affairer, tout le monde fait semblant qu’on est en train de préparer une opération militaire de la plus haute importance, on me demande si j'ai bien fermé le radar, je dis "oui chef" en fermant une vieille boîte en métal, y’a des parasols qui s'ouvrent, bref on y croit à mort. Et c’est très rigolo. Si si.
Je vois la scène en plan fixe, de derrière. Les membres de la joyeuse compagnie sortent du camp en jeep, ils traînent derrière eux une plateforme. Une très grosse. Sur la plateforme, la navette Cap Canaveral (c’est son nom, j’y peux rien si je suis dans une parodie TF1 style, désolé), taille plus que réelle, elle est immense.
Une fois qu'elle est rentrée dans le champ de la caméra, les brûleurs s’embrasent, tout le monde s’envole, et moi je sens que ça y est, ils ont réussi et que tout va changer maintenant.
Retour sur la scène du début, la chambre. La personne qui a un bras autour de mon coup est une blondasse on s’en fout, elle finit de me raconter son histoire, par contre c'est en anglais (je vais faire les sous-titres):
« and you see, that’s how it happened. Because that was the genius of this man, to go there and come back a hero so that everybody would love them. Whenever they wanted, nine women would sacrifice at any time for any one of them. »*
Là, je comprends que les types sont revenus de leur trip dans l’espace différents, avec une nette tendance au vampirisme et au cannibalisme. C’est pas très plaisant. « And you know that’s why you're here. That’s why they’re all coming here. For the stories. For us. » **
La caméra change d’angle, on voit ma réaction (mais j’ai la tête de quelqu’un d’autre, genre jeune américain coolos de film à la con), je suis pas sûr de comprendre, j’hésite à me marrer, je ris jaune. Elle, elle a toujours son bras autour de mon cou. Je sens sa main sur mon dos commencer à me pincer, très fort, ça fait hyper mal.
Elle m’entoure avec ses bras et commence à vouloir me bouffer le visage, je résiste mais elle est super balèze, j’arrive pas à m'écarter. Elle me choppe la main et me dit « but I’m gonna do it, you know, I'm gonna eat you »***, le tout avec un petit sourire en coin. Et elle me croque le pouce de la main droite. Je le sens, ça fait mal, elle coupe pas le truc d'un coup sec, elle en profite, elle y va doucement.
Je me réveille. Toujours dans la même position, je me sens un peu crispé. Sauf qu’elle est toujours là. Toujours sa main dans mon dos qui recommence à me pincer, encore plus fort.
Je me réveille encore. Toujours dans la même position, je me sens toujours crispé. Et elle est toujours là. Toujours sa main dans mon dos qui recommence à me pincer, encore plus fort. Ce coup ci, elle me soulève rien qu’en me pinçant la peau entre ses deux ongles, ça fait mal.
J’arrive pas à me réveiller, je suffoque à moitié, je grogne.
Je me réveille. Pour de vrai. Dans la même position, mais là c’est bien la main de Kouniette qui est dans mon dos. Je suis tétanisé, je me décrispe doucement. Retour à la vie réelle.
*et tu vois, c'est comme ça que ça s'est passé. Parce que c'était le génie du type, il est parti et il est revenu en héros, comme ça tout le monde allait les aimer. Et il y aurait toujours neuf femmes prêtes à se sacrifier pour eux.
**Et tu sais bien que c'est pour ça que tu es là. C'est pour ça qu'ils viennent tous. Pour les histoires. Pour nous.
***mais je vais le faire, tu sais, je vais te manger.
Elle commence à me raconter l’histoire de son grand-père quand il était prisonnier de guerre (visiblement les 2-3 témoignages que certains ont postés m’ont marqué).
Zoom/Cut, on rentre dans l’histoire.
On se retrouve avec la 7ème compagnie (celle qu’on a perdue, oui) dans un camp militaire à la con. Je suis observateur extérieur, je sais pas ce qui se passe mais j’ai pas peur, je fais confiance au chef (Pierre Tornade lui-même) qui a un plan, je le sais.
Première tentative d’évasion, de jour. Tout le monde se fait rattraper. Fondu au noir, on rejoue la même scène que précédemment. C’est hautement comique cette répétition.
Mise en œuvre du plan B, qui n’est en fait pas un plan de rechange parce que le chef nous dit qu’il avait tout prévu: à la tombée de la nuit, le chef siffle les deux gardes qui font le planton à 100m de la clôture du camp, braille quelque chose qui est censé être de l’allemand, même si c’est loin d’en être dans mon rêve.
Les deux soldats semblent vachement hésiter, ils se demandent s’ils ont raison de nous laisser sortir comme l'a demandé le chef. Ils savent pas trop, ils préfèrent assurer le coup, ils ouvrent les grilles du camp.
Le chef fait semblant de s’affairer, tout le monde fait semblant qu’on est en train de préparer une opération militaire de la plus haute importance, on me demande si j'ai bien fermé le radar, je dis "oui chef" en fermant une vieille boîte en métal, y’a des parasols qui s'ouvrent, bref on y croit à mort. Et c’est très rigolo. Si si.
Je vois la scène en plan fixe, de derrière. Les membres de la joyeuse compagnie sortent du camp en jeep, ils traînent derrière eux une plateforme. Une très grosse. Sur la plateforme, la navette Cap Canaveral (c’est son nom, j’y peux rien si je suis dans une parodie TF1 style, désolé), taille plus que réelle, elle est immense.
Une fois qu'elle est rentrée dans le champ de la caméra, les brûleurs s’embrasent, tout le monde s’envole, et moi je sens que ça y est, ils ont réussi et que tout va changer maintenant.
Retour sur la scène du début, la chambre. La personne qui a un bras autour de mon coup est une blondasse on s’en fout, elle finit de me raconter son histoire, par contre c'est en anglais (je vais faire les sous-titres):
« and you see, that’s how it happened. Because that was the genius of this man, to go there and come back a hero so that everybody would love them. Whenever they wanted, nine women would sacrifice at any time for any one of them. »*
Là, je comprends que les types sont revenus de leur trip dans l’espace différents, avec une nette tendance au vampirisme et au cannibalisme. C’est pas très plaisant. « And you know that’s why you're here. That’s why they’re all coming here. For the stories. For us. » **
La caméra change d’angle, on voit ma réaction (mais j’ai la tête de quelqu’un d’autre, genre jeune américain coolos de film à la con), je suis pas sûr de comprendre, j’hésite à me marrer, je ris jaune. Elle, elle a toujours son bras autour de mon cou. Je sens sa main sur mon dos commencer à me pincer, très fort, ça fait hyper mal.
Elle m’entoure avec ses bras et commence à vouloir me bouffer le visage, je résiste mais elle est super balèze, j’arrive pas à m'écarter. Elle me choppe la main et me dit « but I’m gonna do it, you know, I'm gonna eat you »***, le tout avec un petit sourire en coin. Et elle me croque le pouce de la main droite. Je le sens, ça fait mal, elle coupe pas le truc d'un coup sec, elle en profite, elle y va doucement.
Je me réveille. Toujours dans la même position, je me sens un peu crispé. Sauf qu’elle est toujours là. Toujours sa main dans mon dos qui recommence à me pincer, encore plus fort.
Je me réveille encore. Toujours dans la même position, je me sens toujours crispé. Et elle est toujours là. Toujours sa main dans mon dos qui recommence à me pincer, encore plus fort. Ce coup ci, elle me soulève rien qu’en me pinçant la peau entre ses deux ongles, ça fait mal.
J’arrive pas à me réveiller, je suffoque à moitié, je grogne.
Je me réveille. Pour de vrai. Dans la même position, mais là c’est bien la main de Kouniette qui est dans mon dos. Je suis tétanisé, je me décrispe doucement. Retour à la vie réelle.
*et tu vois, c'est comme ça que ça s'est passé. Parce que c'était le génie du type, il est parti et il est revenu en héros, comme ça tout le monde allait les aimer. Et il y aurait toujours neuf femmes prêtes à se sacrifier pour eux.
**Et tu sais bien que c'est pour ça que tu es là. C'est pour ça qu'ils viennent tous. Pour les histoires. Pour nous.
***mais je vais le faire, tu sais, je vais te manger.
Time flies like an arrow, fruit flies like a banana.
D-Djoul
1331
AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
Heldon jazzyTron
7595
Je poste, donc je suis
Membre depuis 18 ans
Bon..; pour une fois je me contente pas d'un 
.
Vous voyez l'heure... si j'en suis venu à me lever pour écrire celui de cette nuit, c'est que... c'téait bizarre et me suis couché vers 4h, comme d'hab.
Ca commence en voiture la nuit à l'intérieur d'un grand espace délimité par une cloture électrique. une espèce de hangar trone en plein milieu, ambiance : la pochette du Propellerhead (celui avec Bang On), voire Pink Floyd Wish You Were Here.. autant désert , mais la nuit.
Je dois sortir de cette voiture pour effectuer je ne sais quelle mission tout seul. La voiture tourne au loin.. et une bande de d'jeunes des cités arrive peu à peu. Je m'accroche à quelques metres de hauteur à une des clotures, et les écrase avec mon boulet. Il ne s'agit pas de quelconque newbie sur AF, mais d'une des armes que possède Link dans le dernier Zelda.
Une fois terminé.. la voiture revient, et deux personnes d'un studio de mix local, dans lequel j'ai bossé il y a à peine une semaine, en sortent. On regarde un futur projet ensemble, mais ce projet est un classeur avec pochettes en plastique contenant des photos de nanas à poils.
Pour la route :
Les photos sont un peu inquietantes, car la madame semble égorger le monsieur sur toutes les photos,e t son sper... coule comme si c'était son sang.
Le décor change, et devient.. un mix entre :
- Vanillia Sky, lorsque Tom Cruise revoit Cameron Diaz dans un décor d'automne, suite à son accident,
- Le fond de Mario 64, quand on doit aller affronter Bowser par trois fois dans le jeu.
Et delà.. les deux modèles photos prennent vie, et deviennent réalité. la nana, nue, égorge son "soumis".. et dans le rêve je sais qu'elle est l'antéchrist. Le simple souffle d'air devient un hurlement de femme en train de crier, et je dois me boucher les oreilles en me disant "puta.. de rêve à la c...".
Elle finie par saigner son gars, et en gardant une beauté euh... "troublante", elle ressemble de plus en plus au surfer d'argent.
Elle s'approche de moi, je me mets en garde (reflexe idiot je sais), et elle va pour passer son chemin mais.. elle en profite pour m'écocher la main avec son couteau. Je tiens la pose en serrant les dents et en me redisant "non mais alors qu'el put.. de rêve..la vache".
Dans le rêve j'ai la voix et les intonations de Jean Yanne.
Pendant ce temps là, son "boy" est en train de se vider, debout, la tête en bas, contre un garage, dans la posture avec laquelle Johnny Deep retrouve son ami au début de "la 9e porte".
Elle se met à sourire.. fière de m'avoir eu tout en continuant de me couper la main dans tous les sens.. et part lentement vers "la fin des temps" : le fond du décor est violet douteux avec des reflets d'apocalypse, ça tourne, et sans dire mot, je comprends qu'elle reviendra.
Je me dis "si c'est pour la fin des temps, ça m'en laisse un peu avant de la revoir celle-là".
J'ai la main qui laisse couler tout mon sang, je me sers de l'autre main valide pour continuer de me boucher le plus possible les oreilles de ce p.. de bruit abominable.. ça hurle, il y a des coups de grosse caisse qui semblent exploser mes tympans et le réveil est assez... angoissant.
j'ai mis ça sur le compte des médicaments de la veille.
.Vous voyez l'heure... si j'en suis venu à me lever pour écrire celui de cette nuit, c'est que... c'téait bizarre et me suis couché vers 4h, comme d'hab.
Ca commence en voiture la nuit à l'intérieur d'un grand espace délimité par une cloture électrique. une espèce de hangar trone en plein milieu, ambiance : la pochette du Propellerhead (celui avec Bang On), voire Pink Floyd Wish You Were Here.. autant désert , mais la nuit.
Je dois sortir de cette voiture pour effectuer je ne sais quelle mission tout seul. La voiture tourne au loin.. et une bande de d'jeunes des cités arrive peu à peu. Je m'accroche à quelques metres de hauteur à une des clotures, et les écrase avec mon boulet. Il ne s'agit pas de quelconque newbie sur AF, mais d'une des armes que possède Link dans le dernier Zelda.
Une fois terminé.. la voiture revient, et deux personnes d'un studio de mix local, dans lequel j'ai bossé il y a à peine une semaine, en sortent. On regarde un futur projet ensemble, mais ce projet est un classeur avec pochettes en plastique contenant des photos de nanas à poils.
Pour la route :
Les photos sont un peu inquietantes, car la madame semble égorger le monsieur sur toutes les photos,e t son sper... coule comme si c'était son sang.
Le décor change, et devient.. un mix entre :
- Vanillia Sky, lorsque Tom Cruise revoit Cameron Diaz dans un décor d'automne, suite à son accident,
- Le fond de Mario 64, quand on doit aller affronter Bowser par trois fois dans le jeu.
Et delà.. les deux modèles photos prennent vie, et deviennent réalité. la nana, nue, égorge son "soumis".. et dans le rêve je sais qu'elle est l'antéchrist. Le simple souffle d'air devient un hurlement de femme en train de crier, et je dois me boucher les oreilles en me disant "puta.. de rêve à la c...".
Elle finie par saigner son gars, et en gardant une beauté euh... "troublante", elle ressemble de plus en plus au surfer d'argent.
Elle s'approche de moi, je me mets en garde (reflexe idiot je sais), et elle va pour passer son chemin mais.. elle en profite pour m'écocher la main avec son couteau. Je tiens la pose en serrant les dents et en me redisant "non mais alors qu'el put.. de rêve..la vache".
Dans le rêve j'ai la voix et les intonations de Jean Yanne.
Pendant ce temps là, son "boy" est en train de se vider, debout, la tête en bas, contre un garage, dans la posture avec laquelle Johnny Deep retrouve son ami au début de "la 9e porte".
Elle se met à sourire.. fière de m'avoir eu tout en continuant de me couper la main dans tous les sens.. et part lentement vers "la fin des temps" : le fond du décor est violet douteux avec des reflets d'apocalypse, ça tourne, et sans dire mot, je comprends qu'elle reviendra.
Je me dis "si c'est pour la fin des temps, ça m'en laisse un peu avant de la revoir celle-là".
J'ai la main qui laisse couler tout mon sang, je me sers de l'autre main valide pour continuer de me boucher le plus possible les oreilles de ce p.. de bruit abominable.. ça hurle, il y a des coups de grosse caisse qui semblent exploser mes tympans et le réveil est assez... angoissant.
j'ai mis ça sur le compte des médicaments de la veille.
La vie, c'est comme un train de montagne
Jr0001
5527
Je poste, donc je suis
Membre depuis 19 ans
Anonyme
3027
Jofree
10420
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
Le réveil a sonné pour que t'ailles à l'école.
"To boldly go where no man has gone before."
Anonyme
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