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Vos rèves chelous

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Sujet de la discussion Vos rèves chelous
Postez ici vos rèves vraiment bizarres.

Citation : Ptain j'ai revé de sarkozy cette nuit. Il faisait le l'aerobic en pleine rue

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Citation : 2) j'ai rien contre le jambon de bayonne si il n'est pas trop epais ni trop salé



Je sais pas pourquoi mais cette phrase m'a fait rigoler .
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Je t'imagine bien en train de loler tout seul chez toi a cause d'une vieille remarque sur le jambon de bayonne. :mdr:
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Apres seulement trois jours à noter mes reves, je trouve deja l'experience tres perturbente. Je me rend compte que je suis pleins d'angoisses; elles ressortent toutes les nuits et je n'évacue la journée grace à l'oubli par le simple fait de les oucher sur papier le matin. Je ne sais pas si je vais poursuivre l'exprience tres longtemps, je craind pour mon équilibre mental :o:

Je ne sais pas si certains d'entres vous ont déja fait ça, mais je trouve le resultat tres glauque. Je ne m'étais jamais rendu compte à quel point tout ça était oppressant. Peut etre que certains d'entre vous ont vécu une situation similaire?

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Citation : Apres seulement trois jours à noter mes reves, je trouve deja l'experience tres perturbente. Je me rend compte que je suis pleins d'angoisses; elles ressortent toutes les nuits




T'inquiète c'est justement le rôle du rêve que de déguiser tes frustration pour quelles puissent franchir la censure de ton subconscient.
C'est ce qui nous évitent de devenir fou...

Moi perso c'est rare que je me rappel des mes rêves...Mais il est vrai que la plus part de ceux dont je me rappel finissent ici... :mdr:
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Je suis avec mon pere face à un magnifique chateau cathare à moitié en ruine, composé de belles voutes romanes et de dependances magnifiques.

Nous sommes en fait sur un chemin sacré et continuons notres route sur les cretes des pyrénées. Un peu plus loin, ma carte m'indique que la pointe de l'inde est face à moi, direction plein sud. Je scrute en face l'ocean, regarde en bas, une sorte de pente vertignineuse plongeant dans l'ocean. Je tombe, mais je réussi à me rattraper et remonter. Nous décidons alors de faire le tour du monde à pied en suivant le cercle polaire. Nous continouons notre route sur les cretes ennéigées. Nous passons en amérique, ou le paysage tout plat contraste avec celui montagneux ou nous étions. Nous marchons jusqu'au détroit de béring. Nous tentons de le traverser, mais nous avons une couille.

Nous sommes dans l'eau et appelons à l'aide des pinguins sur un radeau pneumatique. Ils nous aident et tentent de nous faire passer en asie, ou nous voyons se redresser les immenses montagnes. Mais il y a une sorte de palier, un piege a franchir assez difficile pour mettre pied a terre. Je saute, et je rate, tombant dans l'eau. J'arrive à remonter un peu plus loin. Quand je reviens, je vois mon pere qui hurle, il a le bras gauche sectionné net au niveau de l'épaule. J'apelle l'ambassade de france en secours depuis une cabine téléphonique et nous partons en alaska avec les pinguins. Ils nous acceuillent avec des inuits.

Mon pere devient tyranique avec les pinguins. Il s'est confectionné une sorte de siège en plastique avec une bassine, et la toujours collé au fesses, meme debout. Il y sequestre dessous un pinguins et va jouer au poker en buvant du whiski avec les inuits. Il est devenu tres amer. Un jour, un gros cargo se pose, ce sont les secours. Je me precipite vers eux, et il font style de parler en quebecois pour nous faire une blague. Il sont toute une troupe sympatique, mais mon pere refuse de repartir avec eux et veux aller en argentine.

Nous prenons une voiture direction le sud et nos roulons des jours et des jours. A un moment, les paneau sont en espagnols et salvador se met a chanter dans toutes les radios. Je me dis que nous sommes bientot arrivés.

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Petit reve de cete nuit:
J'etait employer dans une immence maison et mon job etait de virer les demons, fantomes et autres choses dans la genre.
Le tout filmer comme les thriller un peu pourris: des couleurs fades, des plans inutiles, des dialogue pesants etc...
je bosse pour un type (qui dans la realite existe, une celebritee mais je sais plus dans quel domaine) la commence l'histoire avec des meubles qui bougent des coup frappes etc, assez space.

le gas nous retrouve apres et nous enferme dans sa maison, pas moyens de sortir et je continue de "combatre" les demons, fin reveil pour aller au lycée...
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Je suis avec des gens qui fetent la victoire de nicolas sarkozy. Je suis avec mon pere et mon frere, et des gens venus de toute la planete acourent.

Nous voilà à clermont ferrand en train de visiter la vieille ville. Ce sont des sortes d'amas de vieilles fermes en bois pourris sur plusieurs étages, tres raprochées les unes des autres, dans des ruelles étroites. Toutes les portes et fenêtres sont fermés et cachés par des centimetres de couches de vieilles affiches electorales et de concert. Ainsi, des murs recouverts sortent parfois des gens par ces ouvertures cachés.
Nous sommes ensuites dans une clairiere en pente, toute boueuse. Il y a des gens partout et d'un coup je me met a perdre l'équilibre et je dévale la pente en courant sans pouvoir m'arreter. J'essaie d'éviter les flaques de boue et les vélos qui remontent, les trous et à la fin je vois un atroupement de gens. Je saute par dessus eux et arrive en bas de la pente ou je m'arrete enfin. Cet attroupement est réunis autour du frère de duch qui met à jour des fouilles archéologiques ou se dérobent de vieux objets celtiques. Il explique leur origine à tout le monde.

Le reste des fans de sarkozy me ratrape et me fait remonter. Nous sommes dans dans une sorte d'aeroport avec beaucoup de petits fours et de champagne et nous décollons.

Je suis en angleterre avec mon frere (et un troisieme laron indéfinissable qui ne fait qu'acte de présence), sous la surveillance d'un vieux et gros bonhomme dont les traits font penser à un cochon. Il a deux acolytes avec lui. Nous nous promnenons dans les rues d'une bourgade anglaise et moi et mon frere essayons de le semer. Nous nous retrouvons tous les deux (et le bonhomme indéfini) et nous arrivons dans une sorte d'école primaire: des parents attendent leurs enfant pour le spectacle de fin d'année. Nous attendons avec eux et soudain des hauts parleurs crachent de la drum and bass. Nous sommes content et une petite fille de 5 ans se met a chanter/rapper sur cette musique, sous le regard admiratif de ses parents. Le morceau terminé, elle entame un jolie grime. Nous trouvons ça rigolo. Mais le mec à tete de porc réaparait en courant et nous emmene ailleurs.
Nous sommes dans une librairie et il achette quelques bédés (pour sarkozi je crois). Je lui fait acheter un comic à 25 euros (pour ma lecture personelle) et je vois dans son regard une sorte de haine immense qui me met mal à l'aise. Malgres tout je persiste pour le comic.

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J'ai rêvé que je prenais le tram vers minuit, j devais aller voir un pote au terminus (alors qu'il n'habie pas du tout dans la même ville), mais il n'y a plus de tram après une heure ( :montpellier: :| ) donc je devais tracer. Une fois dans le tram, je regarde dans mes poches, j'ai plus de portable, et plus de portefeuille.
Je m'énerve, desecend du tram, me retrouve dans une cité U, plus précisément dans une petite pièce donnant sur deux chambres : une d'un gars que je connais IRL (très sympa d'ailleurs), l'autre d'un type que je connais pas. Je sais pas pourquoi, je suis convaincu que ça vient d'un des deux, alors je me mets à les torturer... Je commence par le type que je connais, je l'étale par terre, je le frappe, lui écrase les couilles avec mes pompes, il dit que c'est pas lui, c'est l'autre.
Bon, très bien, je vais voir l'autre, je le menace de lui faire ce qu'il m'a vu faire à son pote, il jure que c'est pas lui, je sais pas si je l'ai tué ou non. Je retourne voir le premier gars, qui se fout complètement de plus avoir de balloches, voire à qui ça fait plaisir, et qui a un regard comme ça :

avec un rictus de maniaque... Il me casse la gueule, puis je prends le dessus, il est couché par terre, je suis debout sur lui, je prends un katana et je le plante dans le ventre. Je fais sonner mon portable avec son tél, puis je repars...
J'ai oublié mon portefeuille, je vous dirais si je retourne le chercher :ange:

L'appétit vient en mangeant ; la réforme, c'est pas sorcier ; le campement léger en plein air, non. Cupidon

1299
Je suis a nimes avec mon père. nous discutons de thèorie musicale, tout en marchant. a ce rythme nous arrivons devant le zénith de nimes(?!!). alors qu'on y rentre, je m'aperçois que le rez de chaussée de la salle est en fait la fnac.
une femme arrive avec un revolver, et de décide de m'en éloigner en m'approchant des caisses, meme elle menace le caissier, lui vole 4 jeux video, l'embrasse et s'en va.
...
je me retrouve dans le loges avec mes compères de groupe, pret a grimper sur scène car c'est moi qui joue ce soir, en fait.mais je m'aperçois que j'ai oublié mon ampli!je demande aux autres d'y aller avant moi et d'occuper le public pendant que je cherche un ampli. sur le chemin de la scène, je croise mon ex-prof de philo qui me dit en riant "alors, on va te voir jouer"
...
mon groupe commence a jouer "american idiot" de green day. je grimpe sur une echelle et tape sur une caisse claire dans le rythme pour avoir l'impression de servir a quelque chose. je redescend de l'echelle et me dirige vers des amplis. je trouve un rivera a modelisation(:???: ), me branche, teste les sons, et demande a mon collègue guitariste d'aller prevenir le batteur que j'arrive. je me dirige vers la scène, pret a attaquer ce concert, et me réveille...
Tout ne serait qu'humain? trop humain?
1300

Citation : mon groupe commence a jouer "american idiot" de green day.

oue un veritable cauchemard quoi...