Sujet Qu'est ce qui vous agace automatiquement?

Citation : N'empêche, je viens de réaliser un truc là... Sarkozy veut faire passer une loi pour désinscrire de l'ANPE ceux qui refusent deux emplois consécutifs qu'on leur propose... Soit ils trouvent quelque chose qui leur convienne (mais pas grâce à cette loi débile, ça change rien à ce niveau là), soit ils se prennent un boulot de merde (forcément)... Soit ils ne peuvent pas accepter n'importe quoi, et se trouvent radiés de l'ANPE : conclusion, ils ne rentrent plus dans les statistiques de demandeurs d'emplois... Et donc, quoi qu'il arrive, les chiffres du chômage vont baisser ! Putain la logique de merde

Citation : Reprendre des études lorsqu’on travaille, c’est avant tout une question de volonté et de calcul. Vous devez, en premier lieu, choisir une formule que vous pouvez assumer financièrement, car certaines formations supposent de mettre sa vie professionnelle entre parenthèses. D’autres, au contraire, autorisent le cumul emploi-formation... Tout dépend du niveau acquis et du niveau souhaité. C’est pourquoi faire le point grâce à un bilan de compétences est un bon préliminaire. Dans tous les cas, il vaut mieux choisir des enseignements « diplômants » et reconnus.

Le salarié dispose d’un large choix de formations professionnelles. Il peut par exemple bénéficier d’un plan de formation à l’initiative de l’employeur, ou d’un congé individuel de formation (CIF), qui s’adresse aux salariés en CDI, en CDD ou en intérim, sous certaines conditions d’ancienneté. Sachez que votre stage peut être sans aucun rapport avec votre activité ou celle de l’entreprise, si vous souhaitez changer de métier ou perfectionner vos connaissances en matière culturelle.

Vous pouvez aussi négocier un accord avec son employeur dans le cadre du droit individuel à la formation (DIF). Ce dernier est issu d’une réforme récente et se veut plus simple et plus rapide que le CIF. En clair, le salarié bénéficie d’un crédit individuel de 20 heures de formation par an cumulables pendant six ans.

De nombreux organismes de formation
Se former durant ses loisirs, avec des cours du soir, est également possible. Des organismes, souvent publics, sont en mesure de vous renseigner sur les programmes les plus conformes à vos attentes. Il existe des centaines de formations, dispensées par le Cnam (Conservatoire national des arts et métiers), le Cned (Centre national d’enseignement à distance), ou d’autres instituts spécialisés.

Les GRETA (Groupement d’établissements pour la formation continue) organisent des actions de formation continue pour les adultes. Accessibles à tous, ces formations, de niveau CAP à BTS, recouvrent un très grand nombre de métiers. Le financement se fait par le biais de l’entreprise, de la collectivité régionale (ou de l’État) ou à titre individuel.

Vous pouvez aussi décider de gravir les marches de l’université et des IUT, comme 20 % des adultes actifs. Il faut pour cela soit avoir arrêté ses études depuis deux ans, soit être âgé de 20 ans et justifier de deux années d’activité professionnelle, soit être âgé d’au moins 24 ans. Sans le bac, il faut disposer d’un DAEU (diplôme d’accès aux études universitaires).

Enfin, si retourner sur les bancs de l’école vous effraie, n’oubliez pas que la loi sur la VAE (validation des acquis par l’expérience) vous permet de faire reconnaître votre expérience par un diplôme.

Citation : Genre, une amie qui a été traitée de feignate car elle a refusé un poste dans son domaine, mais à mi-temps (15h par semaine) et situé à 1 heure de chez elle, qui n'a pas de voiture.

Citation : J'y ai droit, mais si ils découvrent que je reprends malgré leur désaccord des études qui ne leur plaisent pas, ben, ils me les sucrent automatiquement.

Citation : une loi pour désinscrire de l'ANPE ceux qui refusent deux emplois consécutifs qu'on leur propose...