Boaf, je fais mon malin mais à BXL, y a des trams des bus des métro, je me fais conduire, je puis lire, parler aux gens, rencontrer des dames, rouler mon boulon, faut juste que je surveille l’arrêt... La nuit est une autre affaire... Du coup, la campagne, laiiissse tooombeeeer!!
Moi je roule en 125, et vos histoires de bouchons, ralentissements voire arrêts, gens qui grugent des places, stress au volant, temps perdu, toussa, j'ai jamais vu et je sais même pas de quoi vous parlez. Il n'y a que les feux rouges qui m'arrêtent, et j'ai jamais personne devant moi au redémarrage (si, des fois, un gros cube, qui en général m'enfume méchamment, mais je fais celui qui n'a rien vu rien entendu).
Non, sans déc, depuis que je l'ai (décembre 2000) j'ai mangé deux fois le goudron. Une fois à cause d'une connasse, une autre à cause d'un merdeux en scoot. Je reconnais que les deux fois, j'aurais eu une vraie meule, il ne me serait rien arrivé car j'aurais freiné à temps et dans de bonnes conditions de tenue de route. Là, tu parles, avec un machin en plastique monté sur châssis en beurre (normal, je précise, donc pas salé) et des boyaux de vélo de course, le premier freinage a tiré droit, mais un poil long, et s'est terminé dans la portière de la voiture. Quant au second, la moto a donné du cul, à droite, gauche, droite, gauche, puis comme décidément elle a pas su où le foutre, son putain de cul, ben elle s'est foutu au tapis, et moi avec. Le jeune au scoot, il m'a tranquillement regardé arriver, freiner, partir en vrille, et finir par m'étaler piteusement quasiment à ses pieds, alors que lui n'avait finalement rien fait que franchir la ligne stop et s'arrêter un ou deux mètres derrière, tranquilou, un pied au sol et l'autre sur son scooter. Cela dit, ça passait, c'était beau.