Sujet Le Pub de l'écologie
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Anonyme
521410
Sujet de la discussion Posté le 12/06/2006 à 09:55:45Le Pub de l'écologie
Hello les amis!
en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:
pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:
1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.
en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:
pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:
1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.
Anonyme
2685
20341 Posté le 22/10/2019 à 20:33:53
Citation de El :
Y a qu'à mettre des financiers à la technique, au moins eux ils sont motivés.
Ça paye pas la technique, du coup ça ne les motivera pas.
samy dread
17422
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
20342 Posté le 23/10/2019 à 10:40:02
https://reporterre.net/Secheresse-dans-la-foret-vosgienne-sapins-et-epiceas-n-arretent-plus-de-mourir
une bonne manifestation de la non linéarité des effets du changement de climat :
une bonne manifestation de la non linéarité des effets du changement de climat :
Citation :
Il y a encore quelques années, les arbres secs n’étaient qu’un souci de quelques semaines, réglé à la sortie de l’hiver. Les quelques sapins dont la sève ne remontait pas rougissaient au retour des beaux jours. Les bûcherons, qui les surnommaient les « coquelicots », les repéraient facilement au milieu des futaies. Ce grand ménage de printemps concernait quelque 500 m³, vite coupés, vite transformés.Mais, en 2016, le nombre de « coquelicots » a subitement grimpé, à 1.000 m³. Puis 1.500 m³ en 2017, 2.000 m³ en 2018. Depuis le mois de janvier, déjà 4.000 ou 5.000 m³ ont dû être abattus. Et cela pourrait atteindre les 8.000 m³ d’ici fin décembre, craint Jean-Charles Willaume
Non je ne mettrai pas de pull
samy dread
17422
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
20343 Posté le 23/10/2019 à 10:46:19
des nouvelles de la propagande de notre NRA à nous :
https://reporterre.net/L-agribashing-une-fable-qui-freine-l-indispensable-evolution-de-l-agriculture
https://reporterre.net/L-agribashing-une-fable-qui-freine-l-indispensable-evolution-de-l-agriculture
Non je ne mettrai pas de pull
Anonyme
65640
20344 Posté le 23/10/2019 à 10:50:34
En somme, et même en aveyron, l'agribashing, c'est un peu comme le racisme anti-blanc ?
samy dread
17422
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
20345 Posté le 23/10/2019 à 10:51:40
ou que les blancs sont menacés par la virilité des noirs et des arabes
Non je ne mettrai pas de pull
samy dread
17422
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 18 ans
20346 Posté le 23/10/2019 à 10:52:23
Citation :
D’ailleurs, la journaliste de L’Opinion Emmanuelle Ducros, peu suspecte d’agribashing car se considérant elle-même comme un « relais de parole du monde agricole », le reconnaît : « L’agribashing n’existe pas », a-t-elle déclaré lors d’un récent débat à la Maison de la chimie, à Paris. Et d’indiquer qu’il s’agit plus d’un problème de ressenti des agriculteurs face aux critiques dont le système agricole fait l’objet.
Non je ne mettrai pas de pull
Dr Pouet
52037
Membre d’honneur
Membre depuis 20 ans
20347 Posté le 23/10/2019 à 10:52:51
Citation de samy :
des nouvelles de la propagande de notre NRA à nous :
https://reporterre.net/L-agribashing-une-fable-qui-freine-l-indispensable-evolution-de-l-agriculture
Citation :
L’agribashing n’existe pas, défend l’auteur de cette tribune. Ce ne sont pas les agriculteurs mais le système agricole qui est critiqué. Et vouloir interdire une telle critique est dangereux, nous explique-t-il.
François Veillerette est directeur de l’association Générations futures.
« Agribashing ». C’est le terme à la mode depuis plusieurs mois dans le monde agricole français. Cet anglicisme, qu’on pourrait traduire par « dénigrement » ou « lynchage médiatique » dont serait victime l’agriculture, est sur les lèvres de tous les représentants de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA, majoritaire), sa présidente, Christiane Lambert, en tête.
(...)
Effectivement...
oryjen
17492
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20348 Posté le 23/10/2019 à 11:01:31
Ils sont en retard les agris. Y a pas longtemps j'ai vu au bord d'une rivière un tracteur en fin de vie se livrer à deux opérations inconsidérées:
-Il pompait de l'eau d'une rivière qui en manquait cruellement pour arroser chépakoi (sûrement une partie de la surproduction systématique et qualiteuse de bons produits du terroir).
-Il servait plus qu'à ça, était donc installé à demeure et servait juste de pompe (un vieux tracteur tout déglingué, ça suce! 5 ou 600 cv juste pour actionner une pompe, bravo (oui les véhicules agricoles ont le droit de tourner au rouge, ça fait encore pas trop cher)), tout à plat sur ses roues crevées depuis chaille. Dessous, à 2m du bord de ce qui restait d'eau donc, c'était noir de cambouis et de fuel perdu par cette mécanique bonne pour la casse.
Y z'en ont rien à foutre les paysans. On a toujours fait comme ça, alors...
-Il pompait de l'eau d'une rivière qui en manquait cruellement pour arroser chépakoi (sûrement une partie de la surproduction systématique et qualiteuse de bons produits du terroir).
-Il servait plus qu'à ça, était donc installé à demeure et servait juste de pompe (un vieux tracteur tout déglingué, ça suce! 5 ou 600 cv juste pour actionner une pompe, bravo (oui les véhicules agricoles ont le droit de tourner au rouge, ça fait encore pas trop cher)), tout à plat sur ses roues crevées depuis chaille. Dessous, à 2m du bord de ce qui restait d'eau donc, c'était noir de cambouis et de fuel perdu par cette mécanique bonne pour la casse.
Y z'en ont rien à foutre les paysans. On a toujours fait comme ça, alors...
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Anonyme
65640
20349 Posté le 23/10/2019 à 11:06:42
En tout cas, si un ingé son qui a un mauvais modèle économique (structurellement non viable, les dépenses étant tout simplement inférieures aux recettes, chose qu'on apprend globalement à éviter la 1ere heure du 1er jour d'un BEP comptabilité) et qui par surcroit pollue de partout en utilisant des micros non allemands mais ukrainiens, faisant de la lumière bleue par eux même et faisant tomber les dents et les cheveux des chanteurs, si cet ingé son demande des subventions pour continuer son activité, je pense qu'on l'emmenera en asile psychiatrique.
Quand c'est la FNSEA, le gouvernement comprend les inquiétudes, cherche des solutions, et n'hésite pas à aller les rencontrer sur le terrain.
Quand c'est la FNSEA, le gouvernement comprend les inquiétudes, cherche des solutions, et n'hésite pas à aller les rencontrer sur le terrain.
Anonyme
3602
20350 Posté le 23/10/2019 à 11:22:29
Citation :
https://reporterre.net/Secheresse-dans-la-foret-vosgienne-sapins-et-epiceas-n-arretent-plus-de-mourir
une bonne manifestation de la non linéarité des effets du changement de climat :
Citation :
Citation :Il y a encore quelques années, les arbres secs n’étaient qu’un souci de quelques semaines, réglé à la sortie de l’hiver. Les quelques sapins dont la sève ne remontait pas rougissaient au retour des beaux jours. Les bûcherons, qui les surnommaient les « coquelicots », les repéraient facilement au milieu des futaies. Ce grand ménage de printemps concernait quelque 500 m³, vite coupés, vite transformés.Mais, en 2016, le nombre de « coquelicots » a subitement grimpé, à 1.000 m³. Puis 1.500 m³ en 2017, 2.000 m³ en 2018. Depuis le mois de janvier, déjà 4.000 ou 5.000 m³ ont dû être abattus. Et cela pourrait atteindre les 8.000 m³ d’ici fin décembre, craint Jean-Charles Willaume
en même temps il est aussi précisé que :
Citation :
En remplaçant les hêtres par des épicéas, en favorisant les plantations serrées, en coupant des arbres à peine adultes, les sylviculteurs ont fragilisé l’écosystème forestier. « Les exploitants se moquaient que ces forêts soient plus sensibles aux aléas climatiques, puisqu’elles étaient rentables ! Maintenant, on se rend malheureusement compte que nous avions raison »,
A l'état naturelle l’épicéa pousse sur les versants froid, et demande des conditions bien spécifique, on a fait n'importe quoi en faisant pousser n'importe où et n'importe comment.
C'est un peu comme gueuler parce que le maïs ne pousse pas sans vider des lacs, des rivières et sans privé la population en eau pour les besoin de l'agriculture.
Bah, les épicéas c'est franchement pas le bon exemple, d'autant plus con car on étouffe le vrai sujet de toutes les autres essences qui sont actuellement malades, en fait il y a à peu près tout les arbres qui crèvent et la sylviculture ne fait qu’accélérer le processus : épicéa = épuisement des sols, manque de lumière, tapis acide d'aiguilles tombées des branches qui empêchent le développement d'autres espèces végétales, etc...
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