Le Pub de l'écologie
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Anonyme
en dégrossissant vulgairement la chose je me suis rendu compte que comme sur pas mal de sujets, on à pas tous les mêmes idées. et c'est ca qui est super :petitnicolas:
pour eviter de pourrir tous les sujets avec nos bio-conneries, je vous propose juste de nous dire si vous pensez:
1/ que la planète court un réel danger.
2/ que c'est pas si catastrophique que ca et qu'on à le temps de voir venir les choses sans paniquer.
boulooban
La Jacqueline c'est vin blanc, limonade, grenadine
samy dread
Non je ne mettrai pas de pull
Zyglrox
Et Valentine une peinture
"If you have a good set of earplugs, you can crank it up to 5 or 6 and it will crush small villages."
"Everything is context"
oryjen
40C a 60% d’humidité c’est une sensation bien différente. Dans un labo ou j’etais t’avais une salle incubateur (donc un incubateur dans lequel tu peux rentrer et marcher). 37C, 80% d’humidité, tu te sens très mal après quelques minutes.
Peuh, avoue donc que tu n'as pas aimé surtout parce que t'étais au boulot...
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Jackbrelle
Après un échange d'idées, chacun peut repartir avec la sienne.
Dr Pouet
El Migo
On sent que la saison chaude touche à sa fin. Là c'est à peu près idéal comme conditions. On supporte facilement pantalon+chaussettes anti-moustiques.
Au plus chaud (août,septembre) on est à 35°C et 85% et c'est relou surtout en cas de panne d'alizés, besoin de se rafraichir de temps en temps (douches, ventilos, clim)
En hiver (janvier, février) on se les gèle à 22 ou 23°C, la piscine devient hostile surtout quand l'alizé bien établi souffle dru à 30 noeuds.
Donc je dirais que +2°C ça diminuera la période de confort, +5°C un déménagement serait à envisager.
Jackbrelle
Bon, il a raison, il est vieux, seul avec un horrible chien... Doublement raison: ça va servir à rien de courir les bras en l'air en hurlant.
Au moins avec un incendie, on sait que faire: sortir les vivant du grill/trouver de l'eau! Ici par contre, ça parait moins simple...
Après un échange d'idées, chacun peut repartir avec la sienne.
#Houba
Au plus chaud (août,septembre) on est à 35°C et 85%
+5°C un déménagement serait à envisager.
A +5° et compte-tenu que l'humidité augmente avec la température, sans clim tu serais déjà cuit à point...
Ex-producteur retraité de la musique en 2016
Anonyme
El Migo
El Migo
Mais en milieu tropical maritime c'est plus probable en effet
Anonyme
Cuisson humide à basse température, idéale pour que la viande soit bien tendre et rosée à coeur.
et en plus en France (ou Italie) y aura même pas à rajouter de pinard, la bidoche étant naturellement imbibée !
Anonyme
Le projet de Noirmoutier a reçu fin octobre les premières autorisations par la préfecture de Vendée pour son parc de 62 éoliennes, un projet en développement depuis quatre ans qui se heurte à des opposants craignant pour la biodiversité. Le projet, développé notamment par Engie, devrait produire en moyenne 1 900 gigawattheures (GWh) d’électricité par an. Cela correspond à la consommation annuelle de 790 000 personnes, soit plus que le nombre d’habitants de la Vendée (674 000).
oryjen
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
Dr Pouet
Bon c’est pas vraiment une surprise, à part pour Tesla et sa batterie murale d’intérieur.
• Dans votre passage sur Europe 1 le 1er septembre 2018, vous affirmez que la quantité de batterie à installer ne pourrait jamais suffire pour un mix énergétique mondiale à 100% d’EnR-i, pouvez-vous nous expliquer ?
Au niveau mondial, la production électrique est de 23 000 TWh par an. Or, la totalité des réserves connues de lithium permettrait, selon Fabien Perdu, chercheur spécialiste de la question des batteries au CEA, de réaliser environ 250 TWh de stockage (une seule fois). Cela représente seulement 5 jours de consommation mondiale, et une batterie dure environ 10 ans. Ces valeurs ne sont pas suffisantes pour que l’on puisse envisager de faire du stockage inter-saisonnier sur batteries dans un réseau électrique qui dure un siècle. Il faudrait être en mesure d’accumuler au moins un mois de consommation pour garantir l’approvisionnement toute l’année, et par ailleurs il serait indispensable de pouvoir renouveler les batteries 10 fois, ce qui n’est pas possible aujourd’hui !
Il existe des personnes qui soutiennent qu’avec un grand parc installé en éolien et solaire, il y a toujours une partie du parc qui produit, ce qui permet de supprimer des capacités dans le parc initial. Je me suis intéressé précisément à la situation en Allemagne et en Espagne. Dans ces deux pays, l’éolien et le solaire ont certes vu leur production annelle augmenter, mais pour autant cela n’a pas permis de faire baisser de manière significative la puissance pilotable installée. La puissance pilotable regroupe tout ce qui produit à la demande, et non uniquement quand les conditions extérieures sont favorables. Cela regroupe le charbon, le gaz, le pétrole, le nucléaire, l’hydroélectricité.
L’Allemagne avait 100 GW de puissance pilotable installée en 2002, et elle a toujours 100 GW pilotables en 2017, bien que dans l’intervalle elle ait rajouté 100 autres GW d’éolien et de solaire. Par contre, le facteur de charge de ces 100 GW de pilotable est descendu de 20% dans l’intervalle ; c’est-à-dire que ces 100 GW ont produit 500 TWh pendant l’année 2002, et seulement 400 TWh en 2017. Concrètement donc, c’est le facteur de charge des capacités pilotables qui a baissé, mais ces capacités ont été intégralement conservées, tout simplement parce qu’il faut pouvoir garantir à tout moment la sécurité d’approvisionnement, et que la puissance maximale appelée n’a pas varié.
En effet, quand on regarde précisément la production horaire de ces 100 GW d’énergies intermittentes, on s’aperçoit qu’à certaines périodes de l’année, la puissance effective est de seulement 1 GW (la nuit, le solaire est à 0, et si il y a peu de vent, l’éolien peut descendre sous 1 GW, alors qu’il y a 55 GW d’éolien en Allemagne à fin 2017). Ce qui signifie que la puissance garantie à tout instant pour les unités intermittentes est de l’ordre du pourcent, ce qui est évidemment très faible. Et du coup, il faut conserver la puissance pilotable, qui elle est garantie à tout instant. Par contre, si on s’en sert moins, la rentabilité des capitaux investis dans ces outils de production baisse, et cela s’est constaté partout en Europe, pas « juste » en France avec les centrales nucléaires.
Anonyme
j ai été voir sur la page des détracteurs.
Leurs problèmes avec ce projet:
1 le forage de 270 trous de 15 cm de diamètre et de 30m á 50m de profondeur dans le granit du fond sous marins. pour ancrer les éoliennes. ( d après le lien qu ils donnent.
2 La faune
les pales des éoliennes produisent des infrasons qui créent une pollution acoustique à laquelle les mammifères marins sont sensibles.
Ah ok quelle fréquences
Les éoliennes émettent des infrasons : Oui, mais essentiellement sur des fréquences spécifiques entre 0,7 et 4,9 hertz (Hz) et à un niveau très comparable à celui des infrasons naturels avec lesquels la vie s’est développée sur terre ;
Un dauphin audition á partir de 9Hz. Baleine 15 20Hz... poisson rouge 20 Hz.
les chauves souris qui migrent par la.
La zone choisie pour l’implantation se trouve sur les trajets de migration de chiroptères (chauve-souris) comme la pipistrelle de Nathusius et du Puffin des Baléares, oiseau marin en danger d'extinction. Les laridés (mouettes, goélands, ...) sont aussi fortement sujets à des collisions avec les pâles des éoliennes.
La LPO estime la mortalité des oiseaux jusqu’à 18,3 individus tués par éolienne et par an.
Tant que ca...
Durant un an, la LPO a fait le nécessaire pour répondre à la question : elle a compilé et analysé 197 rapports de suivi, réalisés sur un total de 1.065 éoliennes réparties sur 142 parcs français.L’estimation varie selon les parcs de 0,3 à 18,3 oiseaux tués par éolienne et par an
ah ils prennent le maximum pour un parc en pleine mer.
3
On est allé visiter le parc éolien de Thanet, en Angleterre, et on a bien vu les dégâts provoqués par ces piliers de béton sur toute la zone poissonneuse. Les Anglais n'y pêchent plus !"
que dire... ?
4
De nombreuses substances toxiques seraient rejetées dans la mer pendant la construction de la centrale puis au cours de son fonctionnement.On imagine également la quantité de détergeant nécessaire pour entretenir ces 62 tours Montparnasse !
ah ben la Hague a peur...
5 les cables sur les fonds marins.
ensuite un dossier sur l impact visuel, l impact économique etc...
Moins cornélien du coup.
Anonyme
On parle sur place de centrales solaires thermodynamiques, qui ne demandent donc après leur construction, que très très peu d'entretien, et a une durée de vie gigantesque par la simplicté même de sa conception.
La plus grande centrale de ce type au monde est au Maroc, c'est celle là : https://www.magyad.com/%D8%A8%D8%B2%D8%B1%DA%AF%E2%80%8C%D8%AA%D8%B1%DB%8C%D9%86-%D9%86%DB%8C%D8%B1%D9%88%DA%AF%D8%A7%D9%87-%DA%AF%D8%B1%D9%85%D8%A7%DB%8C%DB%8C-%D8%AE%D9%88%D8%B1%D8%B4%DB%8C%D8%AF%DB%8C-%D8%AF%D9%86%DB%8C/
El Migo
Dr Pouet
Mais pour les pays qui peuvent, ça a effectivement l’air intéressant.
Anonyme
Sans compter la décote prévisible pour les résidences secondaires de l'île
Oui c était dans le dossier visuel économique....
#Houba
Ex-producteur retraité de la musique en 2016
El Migo
A un moment faudra lever le nez de se statistiques et études globales et regarder autour de soi.
Dr Pouet
Le problème souligné par EPE_be est certainement réel.
Anonyme
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