** THE MAMAS & THE PAPAS ** (Le coin des Papas et des Mamans Afiens)
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Bon j’ai lu l’article. Déjà ce serait intéressant qu’ils décrivent comment ils prétendent mesurer la créativité. Qui plus est à des âges où on est bien différents : 5, 10 et 15 ans.
Globalement il y a peu de faits, pas mal de phrases assez engagées mais un peu bateau et qui gagneraient beaucoup à être étayées par des faits (décrits et pas seulement évoqués), et des arguments concrets.
Exemples :
En trollant un peu on pourrait dire que cette dernière citation nous invite à libérer le Kapam qui est en nous.
Bref, je pense qu’il y a de meilleurs arguments que ceux de cet article pour défendre l’augmentation de la part à laisser à la créativité et à la curiosité dans la scolarité.
will_bru
24386
Vie après AF ?
Membre depuis 16 ans
Dr Pouet
52037
Membre d’honneur
Membre depuis 20 ans
Citation de Will :
https://ideapod.com/born-creative-geniuses-education-system-dumbs-us-according-nasa-scientists/
Bim !
Bon j’ai lu l’article. Déjà ce serait intéressant qu’ils décrivent comment ils prétendent mesurer la créativité. Qui plus est à des âges où on est bien différents : 5, 10 et 15 ans.
Globalement il y a peu de faits, pas mal de phrases assez engagées mais un peu bateau et qui gagneraient beaucoup à être étayées par des faits (décrits et pas seulement évoqués), et des arguments concrets.
Exemples :
Citation :
We are born creative geniuses and the education system dumbs us down
(...)
that the school system, our education, robs us of our creative genius.
“The reasoning for this is not too difficult to apprehend; school, as we plainly call it, is an institution that has historically been put in place to ultimately serve the wants of the ruling class, not the common people.
“In order for the so-called elite to maintain their lavish life styles of overt luxury — where they contribute the least but enjoy the most — they understand that children must be dumbed down and brainwashed to accept (and even serve) their rapacious system of artificial scarcity, unending exploitation, and incessant war,” writes Nascimento.
(...)
When someone asks you to come up with new ideas, as you come up with them what you mostly learn at school is to immediately look and see: “We tried that before”, “That’s dumb idea”, “It won’t work” and so forth.
En trollant un peu on pourrait dire que cette dernière citation nous invite à libérer le Kapam qui est en nous.
Bref, je pense qu’il y a de meilleurs arguments que ceux de cet article pour défendre l’augmentation de la part à laisser à la créativité et à la curiosité dans la scolarité.
[ Dernière édition du message le 24/02/2018 à 14:45:00 ]
Anonyme
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Will Zégal
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Ma seconde belle-fille semble s'être plantée en allant en bac pro cuisine. Elle kiffe les TP, mais se fait toujours autant chier dans les cours généraux.
Elle veut faire un CAP en apprentissage, mais nous, ça nous fait chier qu'elle commence à bosser à 16 ans. Parce qu'un CAP en apprentissage, c'est ça : 3 semaines en entreprise, une au bahut, le statut de salarié, 5 semaines de congés.
Et puis surtout, si on l'a poussée vers le bac pro, c'est qu'on sait qu'elle ne resterait pas cuisinière toute sa vie. Elle n'a pas le caractère à s'épanouir dans une cuisine. Il lui faut du contact, des rencontres et probablement des occasions de briller. Un bac lui permettrait plus facilement d'évoluer plus tard, de reprendre une formation ou des études, d'aller vers d'autres postes dans l’hôtellerie / restauration ou de changer de branche.
D'ailleurs, elle n'est même pas sure de ce qu'elle veut faire. Pas de restauration finalement : elle ne veut pas bosser le soir. Elle parle de traiteur, de pâtisserie (alors qu'elle ne voulait pas en entendre parler, voulant faire de la patisserie, mais en restaurant)... Bref, c'est n'imp, elle navigue à vue et semble partie pour gâcher ses talents qui sont plutôt artistiques (ses profs d'arts plastique et de musique ne tarissent pas d'éloges) et en sociabilité (dans un jeu de rôle, son personnage aurait 98/100 en sociabilité et 95/100 en charisme
)
Bref, comme elle parlait de "se prendre une année sympathique" (
) après son bac pour partir à l'étranger ou ce genre de choses et disait en plaisant à moitié qu'elle voulait même la prendre tout de suite, on se dit qu'on va lui proposer le deal. Si elle nous propose et monte un projet qui tienne la route, elle pourra se prendre une année sabbatique.
Cela devrait lui permettre d'élargir ses horizons, de mûrir un peu (je la soupçonne d'être précoce sur certains points, et, comme souvent dans ce cas, plutôt bébé par ailleurs, ce qui n'est d'ailleurs pas sans poser quelques problèmes) et, on espère, de découvrir sa véritable voie.
On va bien voir ce qu'elle dit de la proposition.
Elle veut faire un CAP en apprentissage, mais nous, ça nous fait chier qu'elle commence à bosser à 16 ans. Parce qu'un CAP en apprentissage, c'est ça : 3 semaines en entreprise, une au bahut, le statut de salarié, 5 semaines de congés.
Et puis surtout, si on l'a poussée vers le bac pro, c'est qu'on sait qu'elle ne resterait pas cuisinière toute sa vie. Elle n'a pas le caractère à s'épanouir dans une cuisine. Il lui faut du contact, des rencontres et probablement des occasions de briller. Un bac lui permettrait plus facilement d'évoluer plus tard, de reprendre une formation ou des études, d'aller vers d'autres postes dans l’hôtellerie / restauration ou de changer de branche.
D'ailleurs, elle n'est même pas sure de ce qu'elle veut faire. Pas de restauration finalement : elle ne veut pas bosser le soir. Elle parle de traiteur, de pâtisserie (alors qu'elle ne voulait pas en entendre parler, voulant faire de la patisserie, mais en restaurant)... Bref, c'est n'imp, elle navigue à vue et semble partie pour gâcher ses talents qui sont plutôt artistiques (ses profs d'arts plastique et de musique ne tarissent pas d'éloges) et en sociabilité (dans un jeu de rôle, son personnage aurait 98/100 en sociabilité et 95/100 en charisme
)Bref, comme elle parlait de "se prendre une année sympathique" (
) après son bac pour partir à l'étranger ou ce genre de choses et disait en plaisant à moitié qu'elle voulait même la prendre tout de suite, on se dit qu'on va lui proposer le deal. Si elle nous propose et monte un projet qui tienne la route, elle pourra se prendre une année sabbatique. Cela devrait lui permettre d'élargir ses horizons, de mûrir un peu (je la soupçonne d'être précoce sur certains points, et, comme souvent dans ce cas, plutôt bébé par ailleurs, ce qui n'est d'ailleurs pas sans poser quelques problèmes) et, on espère, de découvrir sa véritable voie.
On va bien voir ce qu'elle dit de la proposition.
[ Dernière édition du message le 24/02/2018 à 19:34:54 ]
KoalaMan
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