Charlie Hebdo 7 janvier 2015 - Paris 13 novembre 2015

Nach dem Terroranschlag in Berlin wird der Weihnachtsreiseverkehr in Deutschland schwer bewacht. An Flughäfen, Bahnhöfen und in einem 30 Kilometer breiten Streifen an den Grenzen Deutschlands sei die Bundespolizei stark präsent, teilte das Bundespolizeipräsidium in Potsdam mit. Auch nach dem Tod des mutmaßlichen Attentäters Anis Amri blieben die Sicherheitsvorkehrungen auf unverändert hohem Niveau, hieß es aus der Bundespolizeidirektion Berlin. Die Maßnahmen würden bis auf Weiteres aufrechterhalten. Die Bundespolizei hat bundesweit 41.000 Mitarbeiter, darunter sind etwa 31.000 ausgebildete Vollzugsbeamte.

Tu fais des supositions sur ce que je n' ais pas dis ni pensé.
J étais étonné que il ait fait 800 km en train à travers l Allemagne, passer la frontière, traverser une parti de la Franceet une parti de l Italie sans avoir été inquiété. Il a sûrement fait des changements dans des gares et il a passe 2 frontières. Connaissant la frontière franco allemande, je peu dire qu il y a beaucoup de contrôle.
Sans oublier qu il était à ce moment l homme le plus recherché en Europe.
Le mec était avant l attentat sous surveillance et écoute..... Il y a certainement eu une défaillance des services de renseignements. C était un dealer a Görlitz il aurait été facile de l arrêter.

L'affaire pourrait obliger Tiff Steffen à démissionner. A la tête du ministère de la Justice de la ville-Etat de Hambourg, il s'est opposé à la diffusion sur les réseaux sociaux des portrait de l'homme le plus recherché en Europe. Par idéologie.

A Hambourg, la police n'a pas pu utiliser les réseaux sociaux pour diffuser l'image d'Anis Amri, devenu suspect numéro un après la découverte de son porte-feuille. L'embargo imposé par le responsable politique a duré plus de 12 heures, autant de temps perdu pour mettre la main sur le tueur du marché de Noël de Breitscheidplatz, à Berlin.

Selon le quotidien allemand Die Welt, la raison en est que l'homme politique, membre du parti des Verts de Hambourg, craignait les «discours de haine» et la stigmatisation des musulmans.

Le 21 décembre 2016, la police fédérale allemande décidait de diffuser le plus largement possible, y compris sur les réseaux sociaux, l'avis de recherche allant jusqu'à promettre une récompense de 100 000 euros «pour toute information menant à la capture du suspect».