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réactions au dossier Les bases du mastering pour musiciens

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Sujet de la discussion Les bases du mastering pour musiciens
Le titre de cet article va inciter certains ingénieurs de mastering professionnels à foncer sur différents forums pour se plaindre. « C'est ce qui cloche dans ce business : ces gars là ne savent pas masteriser, les professionnels sont incontournables, blablabla. »

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Ce thread a été créé automatiquement suite à la publication d'un article. N'hésitez pas à poster vos commentaires ici !
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226
Citation :
Vous demandez au client de réexporter en virant tous les étages de traitement dynamique, ou vous faites avec ce que vous avez?


si c'est somptueusement fait et qu'il reste de la marge dynamique donc un écart consistant (pas forcément énorme suivant le style musique) je me débrouille avec (c'est rare).
Sinon j'appelle pour dire oui mais non.....

Chaque ingé à sa démarche là dessus, un ingé mastering reste un être humain avec ses principes et ses réactions.
Certains n'écoutent même pas le fichier et le renvoi direct à l'expediteur avec quand ils ont le temps et l'envie un petit topo pédagogique pour expliquer le n'importe quoi de la démarche.
Certains font au cas par cas, des fois ça marche quand même, des fois non.
Certains notamment les grosses boites qui n'ont pas que ça à foutre de passer un temps fou à récupérer les conneries de leurs clients font quand même les masters. (je ne citerai pas d'exemple, ce sont d'ailleurs souvent d'excellents ingés, comme quoi).

Citation :
Si le mec trouve que ça sonne avec trouze mille tonnes de distorsion dûes à un plug codé avec les pieds, ben faut respecter son choix... Enfin c'est mon avis.


tout à fait d'accord, on fait de la musique avant tout. Même si une approche parait délirante elle est laissée à la libre interprétation de son concepteur.
Là ou je rentre "un peu" en conflit avec certains musiciens c'est lorsque l'approche est délirante en comparaison des exemples de résultats qu'ils me citent.
Par exemple: un groupe de punk rock qui sature tout avec un mix dégueulasse et qui me dit oui mais nous on aime ça, et bien même si moi ça me plait moins (pas toujours) , ok pas de soucis. Ca me va.
Par contre si ce même groupe me dit, tu peux nous faire un master pour sonner un peu Californien en mode rock surfing? ..... :furieux: là on discute et je leur dit en gros que soit ils font du punk et on s'en fou, soit on fait du rock pour minettes et ado et là ils ont fait de la merde parce que c'est pas du tout ça.


Citation :
il vaut mieux utiliser le gain staging : régler le gain au début de chaque piste (dans certains daw il faut rajouter un plug, genre Utility dans Live) pour arriver dans un niveau pas trop élevé

oui pourquoi pas, mais dans un soucis d'ergonomie je préfère pour le coup travailler directement au faders sans appliquer de trim (sauf cas particulier)

Citation :
vous croyez qu'il va faire quoi le DJ? Foutre un limiteur bien sur

et oui et c'est bien tout le problème justement, d'ou ma démarche du début. Mais bon... j'ai perdu d'avance là dessus.
Je m'explique pour un cas très fréquent dans lequel beaucoup se reconnaitront et qui est assez problématique.
Mettre un limiteur, je l'ai dit auparavant, pour vérifier à la fin avec un bon niveau, c'est pas top mais ça marche, pourquoi pas oui, ça donne un confort d'écoute + psycho acoustique qu'autre chose car on sonne aussi fort que machin ou bidule mais ok, je suis d'accord.
Là ou est le problème c'est que justement mon approche du pas de rouge et l'explication de Docks sur du rouge mais on baisse à la fin, n'est jamais appliquée.
Les mecs mettent des limiteurs assez tôt dans le processus de création et de mix.
Ils se retrouvent à tout faire avec le son d'un limiteur au cul, au début ça écrète de 1 ou 2dB, à la fin du processus de création et/ou de mix on a des fois un limiting de 9 ou 10dB voir beaucoup plus :oo: :fache::furieux:

et là on nous envoi ça au master.... coup de fil....
-heuuuu écoute, non là je peux rien faire c'est horrible il faut enlever tes plugs sur ton bus master.
-Bah oui mais j'ai tout fait avec donc ça va sonner chelou.
-Pas grave envoi quand même...

Et là on récupère le mix non écrété.... effectivement, c'est tout pourri, le mix ne se tient plus du tout. On ne fait plus alors du mastering mais une espèce de bouillie masterizo mixingo bidule pour avoir un volume que le client va prendre grand soin de comparer avec sa super version limitée mais ne va pas du tout retrouver la cohérence de son mix...

Ca c'est franchement insupportable, car en plus on se fait incendier derrière lorsqu'on rend quelque chose de vraiment pas top parce que.... on peut pas lutter.

résultat des courses,
-un master payant franchement pas terrible et frustrant pour l'artiste.
-une version limitée par le même artiste que lui même trouve pourrie (c'est pour ça qu'il voulait un master)
-un mix inexploitable.

Suivant la façon de jauger la personne et la démarche sur ce genre de projets maintenant je refuse carrément de le faire en expliquant pourquoi.
Tatayoyo
227

Hors sujet :

Dites, vous voulez pas synthétiser vos posts ? Parceque lire 100 lignes sur un écran d'ordi c'est super pénible ! 

 

228
x
Hors sujet :
Synthèse FM, additive, soustractive? :-D

Phonema (Prog metal sci-fi) !

229
baaah... si mais des fois, c'est dur de synthétiser...
Je vais mettre un limiteur de phrases pour faire plus court. :bave:
Tatayoyo
230
Ben au final ce qui en ressort c'est que :
- pour avoir un bon master, il faut un bon mix

Phonema (Prog metal sci-fi) !

231
OUI!!! par dessus tout! et pour un bon mix il faut de bonnes sources et une bonne compo. C'est une chaine.
Tatayoyo
232
et ce qui en ressort surtout, et qui me soulage, c'est que l'artiste doit fournir un mix agréable a l'écoute, et c'est normal pour un musicien, DJ, home studiste, expérimentateur, amateur, semi pro, n'importequoi-iste, de pas pouvoir faire un son aussi fort que les CD et ses copains doivent monter le volume de leur iphone/autoradio/pécé/chaine hifi pour écouter sa création. J'ai bon?
233
oui
Tatayoyo
234
pour de la bidouille, fais le test: un son qui "sonne" bien en mode mix et un en mode mastering à balle.
-le mix: s'écoute à fort volume pour "développer" le son et chopper les nuances fine, la vie quoi.
-le master (à balle): peut s'écouter sur l'autoroute à 160Km/h avec une 2 chevaux tout en appuyant sur le klaxon en continu et en hurlant, à très faible volume, tu entendra toutes les nuances. Bon courage pour l'écouter à très fort volume plus d'une demi chanson par contre.
Tatayoyo
235

après, pour fair écouter aux potes ou diffuser sur internet, rien ne t'empêche de coller un limiter ou maximiser pour booster un peu le truc.

Ce qu'il ne faut pas, c'est fournir un mix déjà trop compressé au studio de mastering.

236
ça marche. Je comprends mieux. Merci les mecs. ça devient plus clair et plus simple aussi.
237

si tu dois convertir en mp3, garde toi une petite marge sur le master par contre (genre 2/3dB) parce que la conversion génêre souvent des pic de niveau, idem pour un changement de FE.

238

@docks :

pour ma part, je laisse toujours une marge de 3 dB sur le master ;

est-ce que cela peut poser problème, ensuite, pour le mastering, à ton avis ?

 

 

Laptop i7, Sonar X2 Producer, UA101 (2), Quadmic, Solo6 Be, set micros

 

[ Dernière édition du message le 17/01/2013 à 18:44:53 ]

239
non, tant que ça clip pas c'est good.
Tatayoyo

[ Dernière édition du message le 17/01/2013 à 19:04:57 ]

240
Si le mastering doit être réalisé en analogique, il est préférable d'avoir des crêtes entre -6 et -3dB.

Car si tu tapes à 0, les étages d'entrées du matèriel analogique vont saturer.
De plus comment ajouter le moindre dB à telle ou telle fréquence (même avec un Massive Passive) si on est déjà à 0 ?

Quand je reçois des fichiers qui tapent à 0, la 1ère chose que je suis obligé de faire est d'appliquer un gain négatif pour pouvoir commencer à travailler et donc de créer une 2ème génération du fichier.

C'est du temps perdu inutilement, surtout lorsqu'il faut faire la même opération sur tous les fichiers d'un même futur CD.
241
Citation :
Quand je reçois des fichiers qui tapent à 0, la 1ère chose que je suis obligé de faire est d'appliquer un gain négatif pour pouvoir commencer à travailler et donc de créer une 2ème génération du fichier.


effectivement, mais comme tu le dis, on applique un trim, c'est un peu contraignant mais je préfère recevoir ça qu'un fichier slammé.
De toute manière même si le master était réalisé en numérique il faudra aussi des crêtes en moyenne autour de -5 au cas ou les plugs in utilisés ne supporteraient pas le clipping numérique (plugs émulant la réponse de headroom de l'analogique par exemple)
Tatayoyo
242
Citation de antaiss :
Citation :
Quand je reçois des fichiers qui tapent à 0, la 1ère chose que je suis obligé de faire est d'appliquer un gain négatif pour pouvoir commencer à travailler et donc de créer une 2ème génération du fichier.


effectivement, mais comme tu le dis, on applique un trim, c'est un peu contraignant mais je préfère recevoir ça qu'un fichier slammé.
De toute manière même si le master était réalisé en numérique il faudra aussi des crêtes en moyenne autour de -5 au cas ou les plugs in utilisés ne supporteraient pas le clipping numérique (plugs émulant la réponse de headroom de l'analogique par exemple)


Est-ce qu'une liste de ces plugs existe (avec leur niveau de calibration) ? Ca pourrait se mesurer facilement à votre avis ? Genre on envoie une sin à -2dBFS dans un plug, puis un à -18 dbFS (enfin dans ces eaux là) et on regarde là ou ça sonne le mieux ? là ou ça clippe le moins le signal ? Mais quid des plugs qui sont déjà sensés saturer le son ?

Phonema (Prog metal sci-fi) !

243
justement, ce genre de plug in est soit censé saturer le son, en gros ajouter de la distorsion harmonique, ce qui est une première chose, soit (et/ou) réagir plus ou moins comme le ferait une machine analogique lorsque l'on dépasse son headroom (valeur dBU).

Pour ceux qui émulent la distorsion... aucune histoire de niveau là dedans, c'est une part artistique du processus, on aime, on aime pas, on l'utilise bien on fait n'importe quoi, quel que soit le niveau (surtout le niveau d'entrée + que le niveau de sortie) ça augmente ou non le taux de distorsion, il faut le considérer comme.... une distorsion et là on sort du sujet.

Pour ceux qui émulent la réaction du headroom... c'est très simple, dès que la LED de clip s'allume en rouge en entrée ou en sortie du plug, ça sature... et c'est pas beau. (terme subjectif).

La liste des plugs qui font ça? j'en sais rien, y en a des tonnes.
Mais en même temps quel intéret de les connaitre? Tu monte le son, tu écoute, si ça tord tu es allé trop loin et voilà tout.
En analogique c'est la même chose, la distorsion du dépassement de headroom de la machine (je ne devrais pas employer ce terme pour parler de ça mais bon...) est des fois moche, des fois agréable suivant les machines utilisées... on se fie à ce qu'on entend.

Pour ton exemple, que tu envoi une sin à -80dbfs, -30 ou -0,00001, ça ne changera rien car tu ne clip pas dans le plug in.

EDIT: je crois que j'ai mal interprété ton post.
Ces plugs en question saturent quand on dépasse leur valeur comme les machines analogiques.
Mais le dBU en numérique, ça n'existe pas.
Considère donc que le headroom dBU d'une machine est représenté sur ces plugs par le 0dBFS. Tout simplement.

Il ne faut également pas se fier à la forme d'onde sur ces plugs, car c'est l'émulation qui créé la distorsion et non pas la limite physique du plugin qui comme tout les autres est quasi infinie car tournant en 32 float.
On peut donc très bien rebaisser son master fader après ces plugs-in et se retrouver avec un signal non écrété, ce qui est visuellement rassurant mais le son lui sature bel et bien.
Tout comme en analogique, si je slamme ma console, ça peut tordre au bout d'un moment mais quand je réimporte mon signal en numérique, si je ne clip pas mon convertisseur, la forme d'onde est complète. Abimée (en mal ou en bien) mais complète.
Tatayoyo

[ Dernière édition du message le 18/01/2013 à 00:29:08 ]

244
en gros pour résumer et inclure ce que disait LM dans son post:
Si tu fournis un mix qui tape à -0,1dBfs de crête max tu aura:
-Autant de marge que tu veux si ton master se fait avec des plug in tournant en 32 float au moins de manière standard.
-Aucune marge d'augmentation de signal en utilisant des plugs in simulant le headroom d'une machine donc dès que tu dépassera le 0dBfs tu clippera (pour de faux).
-et cas particulier pour l'analogique celà dépend du calibrage de ton convertisseur.

Pour l'analogique:
Si ton convertisseur à un headroom I/O de 18dBu par exemple et tes machines de mastering des headroom de 26dBU.
Tu aura beaucoup de marge pour faire travailler ton hardware analogique car à -0,1dbfs tu enverra 18dBu (en gros) en sortie de ton convertisseur.
Il te restera 8dBU de headroom pour driver tes machines.
Mais le problème est que quand tu rerentre dans ton converto, tu aura très probablement le même headroom en entrée de convertisseur qu'en sortie. C'est à dire 18dBU.
Donc tu va faire clipper ton convertisseur en entrée si tu a augmenté ton gain avec tes machines.
Ce qui revient à la version courte qu'a faite LM: on est obligé d'appliquer un TRIM négatif pour sortir moins fort en analogique (sauf cas et calibrations spécifiques mais bon... ça devient plus complexe là)
Tatayoyo

[ Dernière édition du message le 18/01/2013 à 00:30:30 ]

245

je ne m'y connais pas beaucoup en plug, mais j'ai l'impression que ceux dont tu parles n'existent pas, en tout cas pas sous cette forme (modélisation du dépassement d'un niveau max analogique ramené au 0dBfs).

Ce qui me semble plus courant (mais ça court pas encore les rues à priori), ce sont des plugs qui vont modéliser le comportement non linéaire d'un rack en fonction du niveau.

Et d'un point de vue sémantique, je fait une distinction entre saturation et distorsion.

Pour moi la saturation est le dépassement des limites d'un système (qu'il soit analogique ou numérique) alors que la distorsion peut avoir des causes différentes, et il y en a déjà de base sur tout système (en analo mais aussi en numérique puisque le bruit de quantification, comme son nom ne l'indique pas, est une distorsion)

246
Ben y'a quand même une certaine correspondance entre dbFS et dbU : https://en.wikipedia.org/wiki/DBFS#Analog_levels

Ca veut dire qu'on peut très bien faire un plug "calibré" à une certaine norme, par exemple on fixe le 0dbVU (si y'a un vu mètre sur le plug) à -20 dBFS puis on fixe un pseudo-headroom à +8dBVU.

Après, l'ont-il fait, et selon quelle norme, telle est la question ! Ca serait bien qu'on ait des fiches techniques pour les plugs comme pour le matos analo!

Phonema (Prog metal sci-fi) !

247
Citation :
Et d'un point de vue sémantique, je fait une distinction entre saturation et distorsion.


tu fais bien de préciser, je parle de saturation.
En gros le crrr crrr à chaque coup de kick ou de basse ou de voix qui s'envole lorsque la led s'allume en rouge ou que l'aiguille du plug colle sur zéro.
Là pour le coup beaucoup de plugs font ça.
Je parle donc bien de saturation pour être plus précis.
un exemple: les plugs waves NLS qui émulent la sommation d'une console (LOOOOOL merci le marketing, émuler et sommation sont 2 mots qui devraient être interdits d'association dans un DAW), si le plug crête, il sature.
Comme le ferait une console, sauf que le plug le fait horriblement mal et la console... bah je vous le dirai quand j'aurai bossé 1 mois avec une vraie chandler.
Tatayoyo
248

Citation :

Ben y'a quand même une certaine correspondance entre dbFS et dbU :

 non, y'a des usages d'alignement, mais y'a aucune correspondance entre un niveau dBu (électrique) et un niveau dBfs (numérique).

Ce qui fixe l'alignement, c'est le convertisseur, et tous n'ont pas le même alignement.

Et pour compliquer le tout, il me semble que la norme sur les flottants (IEEE-754) n'impose aucune valeur pour le 0, donc l'éditeur peut choisir sa correspondance (en entier elle est définie par contre, c'est quand tous les bits de la mantisse sont à 1).

C'est ce qui se passe pour les DAW, ou la marge qu'on a grâce à l'exposant n'est pas répartie également entre les haut et bas niveaux.

Pour cubase par exemple, à -200dBfs, y'a plus rien, c'est le seuil bas, donc le seuil haut est très très élevé, si on considère une échelle de 1500dB en 32 bit flottant, ça laisse présumer d'une marge haute de l'ordre de 1300dB (je me suis arrêté à +450dB pour mes tests, mais à l'occaz j'éssaierais de voir où se situe la marge haute)

Citation :

un exemple: les plugs waves NLS qui émulent la sommation d'une console (LOOOOOL merci le marketing, émuler et sommation sont 2 mots qui devraient être interdits d'association dans un DAW), si le plug crête, il sature.

 je referais quelques tests à l'occaz, mais je n'ai pas remarqué ça, par contre le taux de distorsion augmente avec le niveau (jusqu'à à avoir une immonde bouillasse), ça oui, mais pas d'écrêtage en cas de dépassement du 0. noidea.gif

 

[ Dernière édition du message le 18/01/2013 à 10:39:33 ]

249
Citation :
Ben y'a quand même une certaine correspondance entre dbFS et dbU


oui et non, ce sont des normes.
Il y a bien une correspondance mais elle est déterminé par la capacité des machines.
Il n'y a pas de loi pour le hardware de studio que l'on utilise, chaque appareil à un headroom différent.
Donc pour faire simple et c'est logique, les plugs en question ont un seuil de saturation fixé à 0 dBFS, un peu comme si toutes les machines du monde avaient le même headroom dBU.

Heureusement d'ailleurs car sinon ce serait n'importe quoi on entendrait les plugs saturer alors que la piste ne va même pas jusqu'au 0, ce serait inutilisable.

Il y a par contre un rapport fixe entre dBV et dBU mais là n'est pas la question.
http://www.sengpielaudio.com/calculator-db-volt.htm
Tatayoyo
250
Citation :
non, y'a des usages d'alignement, mais y'a aucune correspondance entre un niveau dBu (électrique) et un niveau dBfs (numérique).


doublon, désolé. :oops:
Tatayoyo