Tutoriel sur comment faire de bonnes balances
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-le rideau de fond de scène uniquement
-les bannières avec le nom du groupe (par exemple) qui sont généralement sur le rideau de fond derrière le batteur (et jamais à la bonne taille par rapport à la scène
)
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Anonyme
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Jimbass
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Drogué·e à l’AFéine
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Oui, enfin il ne faut pas oublier que je suis un newbie pour tout ce qui est sonorisation live ... 
On m'avait conseillé de ne pas utiliser des auxiliaires post-fader pour les retours, pour cause de corrections parfois contraires entre l'EQ de la tranche et celui du circuit de retour.
Sinon, les points qui peuvent être intéressants à aborder dans le tuto sur les balances (ou à renvoyer vers d'autres tutos si ca fait trop ; je me rends compte qu'il y a de quoi faire une série "Bien débuter les concerts" complémentaire de celle qui existe déjà) :
On m'avait conseillé de ne pas utiliser des auxiliaires post-fader pour les retours, pour cause de corrections parfois contraires entre l'EQ de la tranche et celui du circuit de retour.
Sinon, les points qui peuvent être intéressants à aborder dans le tuto sur les balances (ou à renvoyer vers d'autres tutos si ca fait trop ; je me rends compte qu'il y a de quoi faire une série "Bien débuter les concerts" complémentaire de celle qui existe déjà) :
- Expliquer le jargon des sondiers et des backliners. Pour un groupe débutant, quand on parle de jar/cour, face, gaff, barnier, schuko, modul' (pour un câble XLR), etc. c'est du chinois.
- Quelques notions d'acoustique : directivité des micros et des HP, le larsen, la sensation de volume sonore, etc. Pour comprendre pourquoi il ne faut pas pointer le micro vers le retour, ni mettre la main dessus (passage en directivité plus ou moins omni), pourquoi les basses sont partout, pourquoi le guitariste fait un son super agressif dans les aigus quand il écoute son ampli avec les mollets, toussa.
- Il est bon qu'un membre du groupe soit un peu versé dans la technique, et qu'il puisse servir "d'interprète" entre le sondier et le reste du groupe. Typiquement, l'AFien de la bande ... C'est vers lui qu'on se tourne pour la prise de contact avant le concert.
- Une bonne petite fiche technique, pas forcément complexe, est l'occasion de se poser les bonnes questions : placement, backline, besoins en micros, etc. Un très bon tuto : https://fr.audiofanzine.com/bien-debuter/pedago/tutoriels/editez-la-fiche-technique-de-votre-groupe-5933/
- Lister ce que fait le sondier, et pourquoi ca prend du temps. Par exemple, le fait qu'il y a souvent des subs, un compresseur et une gate à régler impose de cogner sur le kick pendant de longues minutes.
- Quelques conseils sur le bon usage des protections auditives. C'est bête de se flinguer les oreilles en assistant aux balances du groupe précédent. Mais sur scène comme lors de la balance, si on peut maintenir un volume modéré sur le plateau et se passer de protections, c'est quand même plus sympa.
Hors sujet :
Vous connaissez la devise des roadies ?
Musikmesser 2013 - Bullshit Gourous - Tocxic Instruments - festivals Foud'Rock, Metal Sphère et la Tour met les Watts
[ Dernière édition du message le 17/09/2014 à 23:15:13 ]
Anonyme
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Jimbass
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Will Zégal
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Djardin
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Citation :
Chez moi le backdrop c'est plus au choix:backdrop
-le rideau de fond de scène uniquement
-les bannières avec le nom du groupe (par exemple) qui sont généralement sur le rideau de fond derrière le batteur (et jamais à la bonne taille par rapport à la scène
)Anonyme
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Djardin
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Tonka
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AFicionado·a
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Très en amont :
1)que chacun sache gérer ses volumes (et en particulier les variation de volume d'un son à l'autre)... (preset pour les claviéristes ou les guitaristes jouant avec multi-effets, volume des canaux pour les guitaristes plus "roots", distance du micro pour les chanteurs, etc... Et ça, ça se règle en partie chez-soit, en partie en répèt, mais surtout... en résidence, c'est à dire en condition de concert mais avec tout le temps qu'on veut pour s'écouter et s'organiser.
2) Savoir sonner, avoir un son de plateau déjà musical à la base, c'est à dire penser collectif et pas "merde je m'entends pas bien"... c'est autant une question de disposition d'esprit que d'expérience... mais ça se bosse là aussi, particulièrement... en résidence
1)que chacun sache gérer ses volumes (et en particulier les variation de volume d'un son à l'autre)... (preset pour les claviéristes ou les guitaristes jouant avec multi-effets, volume des canaux pour les guitaristes plus "roots", distance du micro pour les chanteurs, etc... Et ça, ça se règle en partie chez-soit, en partie en répèt, mais surtout... en résidence, c'est à dire en condition de concert mais avec tout le temps qu'on veut pour s'écouter et s'organiser.
2) Savoir sonner, avoir un son de plateau déjà musical à la base, c'est à dire penser collectif et pas "merde je m'entends pas bien"... c'est autant une question de disposition d'esprit que d'expérience... mais ça se bosse là aussi, particulièrement... en résidence
Pretextat
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luciolis
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Anonyme
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Excellent sujet!
Une spéciale batteurs :
1) La composition du kit: Il est vrai qu'avoir un gros kit avec 2 kicks, 6 toms, 3 caisses claire, 3 charley et 18 cymbales est très flatteur et en impose face au public et aux batteurs des autres groupes du soir mais il faut savoir se poser les bonnes questions. Est-ce que vous avez réellement besoin de tout ca pour assurer un prestation décente? La réponse peut-être OUI, la mémoire musculaire toussa fait partie du jeu d'un batteur (surtout dans les styles techniques) mais dans de nombreux cas, le kit peut être réduit facilement sans entraver la qualité de la prestation (aux oreilles du public et des autres musiciens). J'ai TRES souvent vu des batteurs jouer avec 5 toms et n'utiliser le deuxième floor tom que 2 fois sur le show pour faire TOUM TOUM ---- TOUM TOUM sur un break à l'unisson avec les guitaristes... Idem pour le charley additionnel de 15 pouces sur pédale à câble qui va juste servir sur le refrain de la chanson 8... Il faut savoir peser le pour et le contre objectivement. Est-il vraiment nécessaire de s'encombrer d'éléments supplémentaires qui feront augmenter le temps de balance pour n'être utilisés que pendant 0.2% de la totalité de la prestation?
2) La disposition du kit : Lorsque vous êtes sur scène, le sondier va devoir capter votre kit avec plusieurs micros. Généralement, cela se passe comme suit :
- Deux micros "au dessus du kit" qui captent l'ensemble du kit et surtout les cymbales (la disposition de votre kit à très peu d'influence sur ces micros)
- Un ou deux micros sur la grosse caisse
- Un micro sur la face supérieure de la caisse claire
- un micro sur la face inférieure de la caisse claire
- Un micro pour chaque toms
- Un micro sur le Charley
- Parfois : un micro sur la ride ou toutes autres cymbales d'appuis rythmique
- Parfois : un micro par élément de percussion. (rototoms, stack, cowbell,...)
Lorsque vous disposez votre kit, pensez-y et gardez à l'esprit que l'ingé son va toujours essayer de placer le micro afin d'avoir le moins de repisse possible en provenance des autres éléments du kit.
Une "erreur" très souvent commise par les batteurs qui illustre bien le concept
Le placement des trois éléments : Charley / caisse claire / tom 1
Il n'est pas rare de voir le Charley placé à moins de 20cm de la caisse claire, elle même placée à 5 cm du tom 1(Alto). Il est clair que ce la facilite grandement votre jeu mais, dans des conditions de concerts, vous risquez de faire face à deux problèmes :
* Le micro caisse claire de l'ingé son va devoir être placé dans le seul espace disponible (le "coin" supérieur gauche de votre caisse claire) et risque de vous gêner durant vos roulement ou breaks
* La repisse du charley et du tom 1 dans le micro caisse claire va être difficilement gérable pour le sondier qui va donc avoir bcp plus de mal à placer votre caisse claire dans le mixage façade.
Le mieux est donc de penser votre disposition de kit (déjà bien avant le concert, lors des répétions) afin d'avoir de l'espace pour placer les micro facilement et tenter d'avoir le plus d'espace possible entre les différents éléments du kit. Ca parait insurmontable, mais quelques centimètres suffisent à faire une ENORME différence.
Dernier point important, et surtout concernant les toms, évitez que les toms ne se touchent les uns les autres car le contact entre deux futs induit plus de résonance sympathique (pas sympathique du tout)
3) L'accordage du kit: Oui, une batterie, ca s'accorde.
Dans le monde des batteurs, on juge souvent la qualité du sondier ou d'un mix facade de drums par la qualité du son du KICK. Et bien sachez messieurs les batteurs, que le son du kick dépend à 90% de vous. Un fut bien accordé va être bcp plus simple à sonoriser pour un sondier qui n'aura pas ou peu besoin de traitement pour s'intégrer dans le mix. Pour l'accordage de batterie, il existe des accessoires comme le tune-bot qui aident grandement
4) Peaux, muffl's, e-ring, moongel : Si en studio, on cherche souvent à avoir un son de batterie bien "plein" avec des futs qui offrent leur pleine résonance et richesse harmonique, la réalité peut-être totalement différentes sur scène. Tout ceci dépend, bien sur, du style pratiqué, mais dans le cas de rock, pop, Metal, il est souvent plus facile pour le sondier d'avoir un kit légèrement "atténué". Il faut biensur garder de la vie sur le kit mais la présence de moongel ou de E-ring sur les futs (ou de peaux avec un muffl intégrés comme l'aquarian superkick) permet de couper légèrement le decay et les harmoniques du fut et donc de moins "polluer" l'espace scénique et la captation du kit.
5) Les cympads : https://www.thomann.de/be/cympad_moderator_double_set90mm.htm. Les cymbales peuvent être un cauchemar à gérer pour les sondiers car celles-ci ont la fâcheuse tendance de repasser dans tous les autres micros, y compris ceux de vos chanteurs/chanteuses. Pour les gros frappeurs qui bashent leur cymbales sans modération, l'utilisation de cympad en lieu et place des mousses traditionnels de serrage permet de réduire de façon notable la projection des cymbales tout en gardant un son très naturel et un jeu totalement identique. Ils sont relativement peu couteux et apportent un PLUS non négligeable à la qualité de son de la façade et au confort de jeu de vos comparses. Un bon investissement
6) Les retours : De par la conception de notre instrument et la réalité de sa captation, l'enceinte de retour va influer sur le son de la captation du kit. En effet, l'enceinte de retour sera généralement placée à votre gauche (ou votre droite) et donc être captée par les micros de votre kit. Plus votre retour va "fort" et plus celui-ci contient d'autres instruments, plus le sondier va devoir faire face à la présence de cette repisse dans le mix de votre kit. Si vous avez besoin d'avoir du gros volume pour vous sentir "dans le concert", ne négligez pas la solution des in-ears. Notre placement statique sur scène nous donne l'avantage de pouvoir profiter de retours in-ears câblés ce qui veut dire que votre investissement va être réduit.
- une paire d'IE4 -> https://www.thomann.de/be/sennheiser_ie_4.htm
- Une allonge de cable symétrique -> https://www.thomann.de/be/cordial_klinke_maleklinke_female_10m.htm
- un adaptateur : https://www.thomann.de/be/the_tbone_headphone_adapter.htm
et pour moins de 100€ vous pouvez profiter d'un retour en in-ears stéréo propre et permettant ainsi d'éviter la pollution de votre retour dans votre kit.
Parlez-en au sondier à l'avance, mais dans la grosse majorité des cas, ca ne posera aucun soucis.
7) Les ukkos : A ne pas confondre avec des Trigggers!. https://www.thomann.de/be/bband_ukkok_kick_drum_contact_mikro.htm. Très peu connus, ces micros de contact se montent directement sur vos futs et permettent d'avoir une captation de ces derniers sans la moindre repisse. Loin d'être obligatoire, ils sont cependant hyper pratique à gérer et permettent dans le pire des cas, d'avoir une ligne d'entrée propre pour un sidechain vers le micro traditionnel. Personnellement, je les recommande chaudement sur les kicks.
Petite parenthèse pour les sondiers: Ces micros nécessitent du 48v et dans 95% des cas une gate (même au treshold très bas) car les basses fréquences en provenance de la facade ou des retours font généralement vibrer les futs et entrainent alors un larsen; un peu comme les timbres de caisse claire qui vibrent à cause du bassiste.
Voilà voilà
Une spéciale batteurs :
1) La composition du kit: Il est vrai qu'avoir un gros kit avec 2 kicks, 6 toms, 3 caisses claire, 3 charley et 18 cymbales est très flatteur et en impose face au public et aux batteurs des autres groupes du soir mais il faut savoir se poser les bonnes questions. Est-ce que vous avez réellement besoin de tout ca pour assurer un prestation décente? La réponse peut-être OUI, la mémoire musculaire toussa fait partie du jeu d'un batteur (surtout dans les styles techniques) mais dans de nombreux cas, le kit peut être réduit facilement sans entraver la qualité de la prestation (aux oreilles du public et des autres musiciens). J'ai TRES souvent vu des batteurs jouer avec 5 toms et n'utiliser le deuxième floor tom que 2 fois sur le show pour faire TOUM TOUM ---- TOUM TOUM sur un break à l'unisson avec les guitaristes... Idem pour le charley additionnel de 15 pouces sur pédale à câble qui va juste servir sur le refrain de la chanson 8... Il faut savoir peser le pour et le contre objectivement. Est-il vraiment nécessaire de s'encombrer d'éléments supplémentaires qui feront augmenter le temps de balance pour n'être utilisés que pendant 0.2% de la totalité de la prestation?
2) La disposition du kit : Lorsque vous êtes sur scène, le sondier va devoir capter votre kit avec plusieurs micros. Généralement, cela se passe comme suit :
- Deux micros "au dessus du kit" qui captent l'ensemble du kit et surtout les cymbales (la disposition de votre kit à très peu d'influence sur ces micros)
- Un ou deux micros sur la grosse caisse
- Un micro sur la face supérieure de la caisse claire
- un micro sur la face inférieure de la caisse claire
- Un micro pour chaque toms
- Un micro sur le Charley
- Parfois : un micro sur la ride ou toutes autres cymbales d'appuis rythmique
- Parfois : un micro par élément de percussion. (rototoms, stack, cowbell,...)
Lorsque vous disposez votre kit, pensez-y et gardez à l'esprit que l'ingé son va toujours essayer de placer le micro afin d'avoir le moins de repisse possible en provenance des autres éléments du kit.
Une "erreur" très souvent commise par les batteurs qui illustre bien le concept
Le placement des trois éléments : Charley / caisse claire / tom 1
Il n'est pas rare de voir le Charley placé à moins de 20cm de la caisse claire, elle même placée à 5 cm du tom 1(Alto). Il est clair que ce la facilite grandement votre jeu mais, dans des conditions de concerts, vous risquez de faire face à deux problèmes :
* Le micro caisse claire de l'ingé son va devoir être placé dans le seul espace disponible (le "coin" supérieur gauche de votre caisse claire) et risque de vous gêner durant vos roulement ou breaks
* La repisse du charley et du tom 1 dans le micro caisse claire va être difficilement gérable pour le sondier qui va donc avoir bcp plus de mal à placer votre caisse claire dans le mixage façade.
Le mieux est donc de penser votre disposition de kit (déjà bien avant le concert, lors des répétions) afin d'avoir de l'espace pour placer les micro facilement et tenter d'avoir le plus d'espace possible entre les différents éléments du kit. Ca parait insurmontable, mais quelques centimètres suffisent à faire une ENORME différence.
Dernier point important, et surtout concernant les toms, évitez que les toms ne se touchent les uns les autres car le contact entre deux futs induit plus de résonance sympathique (pas sympathique du tout)
3) L'accordage du kit: Oui, une batterie, ca s'accorde.
Dans le monde des batteurs, on juge souvent la qualité du sondier ou d'un mix facade de drums par la qualité du son du KICK. Et bien sachez messieurs les batteurs, que le son du kick dépend à 90% de vous. Un fut bien accordé va être bcp plus simple à sonoriser pour un sondier qui n'aura pas ou peu besoin de traitement pour s'intégrer dans le mix. Pour l'accordage de batterie, il existe des accessoires comme le tune-bot qui aident grandement4) Peaux, muffl's, e-ring, moongel : Si en studio, on cherche souvent à avoir un son de batterie bien "plein" avec des futs qui offrent leur pleine résonance et richesse harmonique, la réalité peut-être totalement différentes sur scène. Tout ceci dépend, bien sur, du style pratiqué, mais dans le cas de rock, pop, Metal, il est souvent plus facile pour le sondier d'avoir un kit légèrement "atténué". Il faut biensur garder de la vie sur le kit mais la présence de moongel ou de E-ring sur les futs (ou de peaux avec un muffl intégrés comme l'aquarian superkick) permet de couper légèrement le decay et les harmoniques du fut et donc de moins "polluer" l'espace scénique et la captation du kit.
5) Les cympads : https://www.thomann.de/be/cympad_moderator_double_set90mm.htm. Les cymbales peuvent être un cauchemar à gérer pour les sondiers car celles-ci ont la fâcheuse tendance de repasser dans tous les autres micros, y compris ceux de vos chanteurs/chanteuses. Pour les gros frappeurs qui bashent leur cymbales sans modération, l'utilisation de cympad en lieu et place des mousses traditionnels de serrage permet de réduire de façon notable la projection des cymbales tout en gardant un son très naturel et un jeu totalement identique. Ils sont relativement peu couteux et apportent un PLUS non négligeable à la qualité de son de la façade et au confort de jeu de vos comparses. Un bon investissement
6) Les retours : De par la conception de notre instrument et la réalité de sa captation, l'enceinte de retour va influer sur le son de la captation du kit. En effet, l'enceinte de retour sera généralement placée à votre gauche (ou votre droite) et donc être captée par les micros de votre kit. Plus votre retour va "fort" et plus celui-ci contient d'autres instruments, plus le sondier va devoir faire face à la présence de cette repisse dans le mix de votre kit. Si vous avez besoin d'avoir du gros volume pour vous sentir "dans le concert", ne négligez pas la solution des in-ears. Notre placement statique sur scène nous donne l'avantage de pouvoir profiter de retours in-ears câblés ce qui veut dire que votre investissement va être réduit.
- une paire d'IE4 -> https://www.thomann.de/be/sennheiser_ie_4.htm
- Une allonge de cable symétrique -> https://www.thomann.de/be/cordial_klinke_maleklinke_female_10m.htm
- un adaptateur : https://www.thomann.de/be/the_tbone_headphone_adapter.htm
et pour moins de 100€ vous pouvez profiter d'un retour en in-ears stéréo propre et permettant ainsi d'éviter la pollution de votre retour dans votre kit.
Parlez-en au sondier à l'avance, mais dans la grosse majorité des cas, ca ne posera aucun soucis.
7) Les ukkos : A ne pas confondre avec des Trigggers!. https://www.thomann.de/be/bband_ukkok_kick_drum_contact_mikro.htm. Très peu connus, ces micros de contact se montent directement sur vos futs et permettent d'avoir une captation de ces derniers sans la moindre repisse. Loin d'être obligatoire, ils sont cependant hyper pratique à gérer et permettent dans le pire des cas, d'avoir une ligne d'entrée propre pour un sidechain vers le micro traditionnel. Personnellement, je les recommande chaudement sur les kicks.
Petite parenthèse pour les sondiers: Ces micros nécessitent du 48v et dans 95% des cas une gate (même au treshold très bas) car les basses fréquences en provenance de la facade ou des retours font généralement vibrer les futs et entrainent alors un larsen; un peu comme les timbres de caisse claire qui vibrent à cause du bassiste.
Voilà voilà
[ Dernière édition du message le 20/09/2014 à 08:48:23 ]
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