Se connecter
Se connecter
Créer un compte

ou
Agrandir
Ajouter ce produit à
  • Mon ancien matos
  • Mon matos actuel
  • Mon futur matos
Orchestral Tools Symphonic Sphere
Photos
1/8

Test de l'Orchestral Tools Symphonic Sphere

Test écrit
5 réactions
Une sphère au carré

Après son excellente Orchestral String Runs, l’éditeur Orchestral Tools présente Symphonic Sphere. Quel nouvel «outil orchestral» est-il donc mis à disposition du compositeur ?

Face aux deux masto­dontes de la banque orches­trale géné­ra­liste que sont VSL et East­West, et malgré quelques outsi­ders plus ou moins connus (SONi­VOX ex Sonic Implants, Kirk Hunter, etc.), les éditeurs récem­ment arri­vés ne peuvent qu’avoir du mal à lutter sur le terrain des deux premiers. Les moyens ne sont en géné­ral pas les mêmes, ni tech­niques, ni du point de vue du marke­ting. Il faut donc, c’est le B.A.-BA du commerce (pour autant que je m’y connais­se…), cher­cher à occu­per un autre terrain, soit tech­no­lo­gique (comme la modé­li­sa­tion, comme Wallan­der ou Synful Orches­tra), soit par desti­na­tion ou approche (Garri­tan Orches­tra, conçu pour les petits budgets et un public amateur ou semi-pro). Ou envi­sa­ger des solu­tions regrou­pant ces deux solu­tions, plus d’autres (liste non exhaus­tive) : ainsi Project SAM, avec ses Sympho­bia et son récent Orches­tral Essen­tials (voir test ici), ou Audio­Bro et son LASS et son prin­cipe de divisi, fonda­men­tal en écri­ture pour ne pas se retrou­ver avec des phrases à deux voix jouées par 28 violons, ou USB et ses IRCAM Solo Instru­ments aux nombreuses arti­cu­la­tions ou encore Orches­tral Tools avec son Orches­tral Strings Run, éton­nante solu­tion de créa­tion de runs, traits aux cordes (test ici).

Bref, choi­sir une approche qui propose des sons rare­ment enten­dus, ou des solu­tions à des problé­ma­tiques d’écri­ture et de jeu. L’édi­teur Orches­tral Tools nous propose avec Sympho­nic Sphere sa deuxième produc­tion suivant cet axe, avec un accent mis sur les trilles, qui jusqu’à présent, sont souvent propo­sés de façon figée (tempo fixe, sans néces­sai­re­ment de varia­tions) et sur une tessi­ture limi­tée. Mais n’al­lons pas trop vite… 

Intro­du­cing Orches­tral Tools Sympho­nic Sphere

Machine de test

MacPro Xeon 3,2 GHz
OS 10.6.8
Kontakt 5.0.2
Logic Pro 9.1.6
Orches­tral Tools Sympho­nic Sphere 1.0

La biblio­thèque est au format Kontakt (à partir de la version 4.2.3, Kontakt Player inclus), est dispo­nible direc­te­ment sur le site de l’édi­teur pour la somme de 399 euros. La compa­ti­bi­lité plug-in/système est celle de Kontakt, c’est-à-dire plutôt vaste. On pourra donc ainsi l’uti­li­ser soit sous forme d’ap­pli­ca­tions auto­no­mée, soit sous forme de plug-in dans sa DAW préfé­rée.

L’édi­teur envoie le numéro de série ainsi qu’un lien vers la page de télé­char­ge­ment (proté­gée par iden­ti­fiant et mot de passe), d’où l’on télé­char­gera 16 fichiers .rar, l’un conte­nant les programmes, docu­men­ta­tion et fichiers info pour Kontakt, les 15 autres (2,15 Go chaque sauf le dernier, 1,49 Go) regrou­pant les 43 Go d’échan­tillons 24 bits/48 kHz (rame­nés à 29 Go grâce à la compres­sion non destruc­tive de Native Instru­ments). Il faut donc s’ar­mer de patience, mais avec une bonne connexion, les choses vont (rela­ti­ve­ment) vite.

Télé­char­ge­ment et instal­la­tion s’ef­fec­tuent sans problème, et suivant la procé­dure habi­tuelle de ce type de biblio­thèque. Il faudra l’au­to­ri­ser via l’on­glet Libra­ries de Kontakt et la fonc­tion Add Library, le Service Center, bref, la routine.

Sympho­nic Sphere est consti­tuée de sept dossiers, Violins, Violas, Celli, Basses, Wood­wind Ens, Harp et Percus­sion. Chacun offre de trois à 18 programmes, le dossier Percus­sion étant lui divisé en huit dossiers corres­pon­dant à un instru­ment  précis, conte­nant de un à trois programmes, pour un total de 80 instru­ments.

Arti­cu­la­tions parti­cu­lières

Orchestral Tools Symphonic Sphere

L’édi­teur a fait appel au même orchestre employé lors de la précé­dente biblio­thèque, que l’on suppose enre­gis­tré dans la même salle, et a repris le prin­cipe de prises de son multiples, à savoir en proxi­mité (Close), avec la réver­bé­ra­tion natu­relle de la salle (avec un arbre Decca) et en posi­tion moyenne (avec un couple ORTF). On retrouve donc trois rota­tifs sur chaque inter­face, ainsi que la plupart du temps un bouton Release Volume permet­tant de gérer le volume des échan­tillons de relâ­che­ment. 

Même si l’at­ten­tion a été portée aux arti­cu­la­tions plus rares, l’édi­teur nous offre quand même quelques programmes de base par instru­ments, afin de faci­li­ter l’in­té­gra­tion des arti­cu­la­tions entre elles, ainsi qu’avec d’autres biblio­thèques (on trou­vera la liste complète des arti­cu­la­tions ici). La précé­dente banque avait montré qu’elle pouvait être faci­le­ment mixée avec celles d’autres éditeurs, et Sympho­nic Sphere répond exac­te­ment de la même manière ; c’est un des premiers points forts du produit.

Voici un exemple des 16 Violins Sustain Xfade, l’édi­teur ayant inclus un réglage acces­sible de l’in­ter­face (Fade Vol.) et donc par contrô­leur Midi afin de passer d’un layer de vélo­cité à l’autre (trois pour ce programme), ce qui est parfois plus réaliste qu’une simple réponse à la vélo­cité. Parfois, car on peut vouloir main­te­nir une note jouée forte par exemple, et jouer une deuxième voix avec des notes mp. Avec le système de volume par fade, ce n’est pas possible, à moins d’ou­vrir un deuxième préset sur un autre canal Midi.

00:0000:00

Autre ajout que l’on retrou­vera sur de nombreux présets, des échan­tillons dits « loose », c’est-à-dire ne répon­dant pas norma­le­ment aux critères de qualité (mauvaise attaque, problème de justesse, de tenue, etc.), mais qui ont été inclus avec possi­bi­lité d’ajout (bouton Add Loose) ou de jeu seul (bouton Only Loose). Dans le cas d’un programme RR, pour Round Robin, le nombre d’échan­tillons dispo­nibles s’ajoute à celui du programme normal.

Exemple avec ces violons Stac­cato RR, d’abord sans Loose, puis avec, et Loose seul pour finir. 

00:0000:00
Orchestral Tools Symphonic Sphere

Dans le cas des 16 Violins Pizzi­cato RR, on passe ainsi de deux échan­tillons RR à quatre si l’on active Loose. Si l’on sait se servir de Kontakt autre­ment que comme un simple lecteur, on peut tout bidouiller pour choi­sir ses groupes, échan­tillons, etc.

À propos de Pizzi­cato, voyons l’une des premières arti­cu­la­tions plutôt rares, les Pizzi­cato Tremolo, quasi impos­sibles à program­mer correc­te­ment à partir de simples échan­tillons de Pizz. L’exemple suivant fait entendre les trois pupitres de cordes, les contre­basses ne dispo­sant pas de l’ar­ti­cu­la­tion.

00:0000:00

Autre arti­cu­la­tion inté­res­sante, les trémo­los sur le cheva­let (sul ponti, sul ponti­cello). Ici le même exemple, avec l’ajout des contre­basses et montée des fades sur les trois premiers pupitres (les 6 Basses en étant dépour­vues).

00:0000:00
Orchestral Tools Symphonic Sphere

On appré­cie le place­ment dans l’image stéréo dès l’ou­ver­ture d’un préset, ainsi que les volumes équi­li­brés, c’est un gain de temps certain, même si la main est lais­sée au compo­si­teur (un peu moins en ce qui concerne les pano­ra­miques, les enre­gis­tre­ments ayant été effec­tués selon la place habi­tuelle des pupitres). Les bouclages sont très propres, rien à redire.

On dispose aussi de trémo­los, de glis­sandi et de sustain pour les harmo­niques (Flageo­let, natu­relles et arti­fi­cielles).

Ici les violons.

00:0000:00

Selon les pupitres, on trouve aussi des trémo­los courts et longs, des trilles et trémo­los en cres­cen­dos/decres­cen­dos (nommés Sweeps), des trilles sul ponti, etc.

Script de génie ?

Orchestral Tools Symphonic Sphere

Trilles par ci, trilles par là, on en arrive au gros morceau de la biblio­thèque, celui mis en avant par l’édi­teur : le Trills Orches­tra­tor. Si l’on trouve cette arti­cu­la­tion, cet orne­ment, dans quasi toutes les banques orches­trales, c’est souvent dans des confi­gu­ra­tions au demi-ton et au ton, à un tempo figé. Ce que propose là Orches­tral Tools, c’est un outil faisant appel aux possi­bi­li­tés de script de Kontakt (dont on ne dira jamais assez l’ex­tra­or­di­naire poten­tiel), et qui va permettre au compo­si­teur non seule­ment d’ef­fec­tuer des trilles de façon clas­sique, par demi-ton et ton, mais aussi suivant tous les inter­valles par demi-tons jusqu’à la quinte. 

L’in­ter­face maison affiche les deux notes jouées. Il faut légè­re­ment arpé­ger l’ac­cord pour que le trille soit déclen­ché. 

Voici un exemple de chaque trille des 8 Celli, avec progres­sion par demi-tons.

00:0000:00

Quand on ouvre l’édi­teur, on s’aperçoit que chaque inter­valle a été enre­gis­tré, puis mappé sur le clavier en prenant comme root note (la note de base) la plus basse du trille. Ainsi, on voit bien nos sept échan­tillons super­po­sés. Le script appelle donc l’échan­tillon idoine après avoir reconnu l’in­ter­valle joué. Pas de réponse à la vélo­cité ou via un Fade, il faudra donc utili­ser l’ex­pres­sion ou le volume.

Orchestral Tools Symphonic Sphere

Là où l’édi­teur fait fort, c’est que ces trilles ne se limitent pas à deux notes, mais sont capables de repro­duire des accords trillés (chers à Messiaen ou Debussy, par exemple) et, en plus, selon deux modes (et ce jusqu’à 20 notes simul­ta­nées !).

Ainsi le premier, End-Tone=Start-Tone, permet d’ad­di­tion­ner les notes les unes aux autres, en fonc­tion de la dernière jouée, et ce deux par deux. Ainsi un Mi bFa sera trillé, puis quand on rajou­tera par exemple un La b, le Fa déjà présent aura aussi fonc­tion de note de départ. On enten­dra alors Mi b-Fa, et Fa-La b. Et ainsi de suite en prenant toujours la dernière note comme départ du trille.

Voilà ce que ça donne (avec plusieurs notes s’ad­di­tion­nant) sur le Wood­wind Ensemble (on trou­vera aussi dans cette famille un programme Stac­cato RR et un Sustain). 

00:0000:00

Le second mode, Start-Tone=Always New, permet de super­po­ser de façon indé­pen­dante des accords de deux notes : en repre­nant le premier exemple, on aura Mi b-Fa, puis si on joue le La b, il ne se passera rien d’autre que le trille Mib -Fa, tant qu’on n’aura pas rajouté une note au La b. Etc. Les notes fonc­tionnent deux par deux.

Voici le même exemple que précé­dem­ment. 

00:0000:00

Très belle réus­site que ce programme, pas de keys­witches, pas de raccour­cis ou de néces­sité de char­ger plusieurs programmes pour un seul type de phra­sé… On pourra tout juste dire qu’il y manque un ajus­te­ment au tempo de l’hôte. En l’état, rien n’em­pêche de faire un Bounce in place, et de trai­ter l’au­dio ainsi obtenu avec un plug ou un stan­da­lone de time-stretch (voir à ce sujet le compa­ra­tif qui se trouve ici).

Côté percus, et la surprise

Dans la famille percus­sions, on trouve de belles choses, comme cette Bass­drum dotée de trois programmes, dont Dyna­mics, qui propose trois roule­ments, long, moyen, court. Atten­tion les basses…

00:0000:00

Ou de beaux glis­san­dos de Chimes, de Rain­ma­ker, de Vibra­phone. Ou encore un beau TamTam Tremolo.

00:0000:00

Ou de très brillantes Finger Cymbals, des cloches ou divers roule­ments de cymbales effec­tués avec diverses mailloches.

00:0000:00

Très beau son pour l’en­semble, rien à redire (si, on en voudrait plus…). L’édi­teur aurait pu s’ar­rê­ter là, les arti­cu­la­tions, sons et scripts propo­sés étant déjà fort bien­ve­nus.

Orchestral Tools Symphonic Sphere

Mais non, il a souhaité inclure une harpe, mais dans une optique encore jamais propo­sée. Si l’on est toujours content de dispo­ser des notes sépa­rées d’une harpe, rien ne vaut, concer­nant glis­san­dos et bisbi­glian­dos réel­le­ment inter­pré­tés, notam­ment quand il s’agit pour les premiers de les faire dans des modes précis.

Orches­tral Tools nous offre donc un programme Glis­sandi, permet­tant de passer par Keys­witch d’une tona­lité à l’autre (touches roses), et par d’autres Keys­witches d’un mode à l’autre (touches vertes), les notes jouables (bleues) déclen­chant alors sur le clavier neuf glis­san­dos diffé­rents. Sur l’in­ter­face, deux champs indiquent la tona­lité en cours, et le mode, mineur, majeur, penta­to­nique ou par tons (Do et Do # seule­ment, bien sûr). En voici quelques exemples.

00:0000:00

Le programme Glis­sandi Beds propose quant à lui le même prin­cipe, mais avec des glis­san­dos d’une durée de 40 secon­des… On trouve ensuite une harpe dite normale, qui nous offre six octaves et une quarte d’échan­tillons très bien réali­sée, avec échan­tillons de relâ­che­ment et quatre layers de vélo­cité.

Orchestral Tools Symphonic Sphere

Jusque-là, pas vrai­ment de surprise, me direz-vous, on trouve plus ou moins ce genre de programme chez d’autres éditeurs. Certes. Mais alors, que dire du programme Harp Normal PEDAL (c’est l’édi­teur qui met des capi­ta­les…) ?

Eh bien, nous avons droit à une harpe virtuelle parfai­te­ment fonc­tion­nelle, à l’iden­tique d’une vraie harpe. C’est-à-dire offrant un jeu de pédales complet à double mouve­ment (trois notes chaque, , Do, Si, Mi, Fa, Sol, La), et ne dispo­sant que de sept cordes par octave (les alté­ra­tions étant donc possibles grâce aux pédales). L’in­té­res­sant étant alors la possi­bi­lité de créer des gammes parti­cu­lières grâce à l’in­ter­face de l’édi­teur, qui permet de stocker des préré­glages de pédales pouvant être rappe­lés à n’im­porte quel moment.

Partons ici d’une phrase diato­nique en Do, puis faisons-la jouer avec diffé­rents réglages de pédales.

00:0000:00

Un très bon outil donc, pour jouer d’abord des parties de harpe réalistes, mais aussi pour essayer des phra­sés diffé­rents.

Télé­char­gez les sons ici : wav.zip

Bilan

Que ce soit au niveau de la harpe ou des divers programmes des instru­ments à cordes, des vents et des percus­sions, l’édi­teur nous propose encore une biblio­thèque très bien enre­gis­trée, dans l’exacte conti­nuité d’Or­ches­tral String Runs, et tout aussi capable que cette dernière de s’in­té­grer aux produits d’autres éditeurs. La triple prise de son permet de sculp­ter préci­sé­ment une « acous­tique » en profi­tant du son d’une salle réelle, enre­gis­tré avec d’ex­cel­lents micros.

Le choix des arti­cu­la­tions répond encore à des problé­ma­tiques orches­trales souvent lais­sées de côté ou seule­ment acces­sibles dans le haut de gamme des concur­rents. Quant au script de trilles et celui de harpe, ils sont aussi effi­caces et perfor­mants que celui des Runs du précé­dent produit de l’édi­teur. 

Seul défaut constaté, l’ac­tion du pitch­bend qui fait certes varier les notes, mais les fait se dédou­bler : la note est main­te­nue, et l’on entend en même temps celle pitchée…

Cette banque n’est pas forcé­ment prévue pour tous les utili­sa­teurs et ne se prétend abso­lu­ment pas géné­ra­liste. Mais celui qui travaille à base de mock-ups orches­traux ou réalise des produc­tions défi­ni­tives avec des orchestres virtuels sera ravi de trou­ver autant d’ou­tils immé­diats, ergo­no­miques, résol­vant nombre de problé­ma­tiques et qui sonnent sous les doigts. Deuxième produit seule­ment, mais un éditeur à suivre, assu­ré­ment.

Points forts
  • Son
  • Continuité de gamme de produits
  • Concept
  • Triple prise de son
  • Ergonomie
  • Qualité de la programmation et de l’édition de samples
  • Nombreuses articulations rares
  • Trills Orchestrator
  • Harpe complète avec son jeu de pédales
Points faibles
  • Parfois un dédoublement du son avec le pitchbend
  • Il faut anticiper le déclenchement des trilles
  • Pas de suivi de tempo

Vous souhaitez réagir à cet article ?

Se connecter
Devenir membre
cookies
Nous utilisons les cookies !

Oui, Audiofanzine utilise des cookies. Et comme la dernière chose que nous voudrions serait de perturber votre alimentation avec des choses trop grasses ou trop sucrées, sachez que ces derniers sont fait maison avec des produits frais, bio, équitables et dans des justes proportions nutritives.
Ce que cela veut dire, c’est que les infos que nous y stockons ne visent qu’à simplifier votre usage du site comme à améliorer votre expérience sur nos pages et vous afficher des publicités personnalisées (en savoir plus).

Nous tenons à préciser qu’Audiofanzine n’a pas attendu qu’une loi nous y oblige pour respecter la vie privée de nos membres et visiteurs. Les cookies que nous utilisons ont en commun leur unique objectif qui est d’améliorer votre expérience utilisateur.

Tous nos cookies
Cookies non soumis à consentement
Il s'agit de cookies qui garantissent le bon fonctionnement du site Audiofanzine. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies. Exemples : cookies vous permettant de rester connecté de page en page ou de personnaliser votre utilisation du site (mode sombre ou filtres).
Analyse de l’audience (Google Analytics)
Nous utilisons Google Analytics afin de mieux comprendre l’utilisation que nos visiteurs font de notre site pour tenter de l’améliorer.
Publicités (Google Ads)
Ces informations nous permettent de vous afficher des publicités qui vous concernent grâce auxquelles Audiofanzine est financé. En décochant cette case vous aurez toujours des publicités mais elles risquent d’être moins intéressantes :) Nous utilisons Google Ad Manager pour diffuser une partie des publicités, des mécanismes intégrés à notre CMS pour le reste. Nous sommes susceptibles d’afficher des publicités provenant de notre propre plateforme, de Google Advertising Products ou encore de la régie Adform.
Marketing (Meta Pixel)

Sur nos sites web, nous utilisons le Meta Pixel. Le Meta Pixel est un pixel de remarketing mis en œuvre sur nos sites web qui nous permet de vous cibler directement via le Meta Network en diffusant des publicités aux visiteurs de nos sites web lorsqu’ils visitent les réseaux sociaux Facebook et Instagram. Les métapixels sont des extraits de code capables d’identifier votre type de navigateur via l’ID du navigateur - l’empreinte digitale individuelle de votre navigateur - et de reconnaître que vous avez visité nos sites web et ce que vous avez regardé exactement sur nos sites web. Lorsque vous visitez nos sites web, le pixel établit une connexion directe avec les serveurs de Meta. Meta est en mesure de vous identifier grâce à l’identifiant de votre navigateur, car celui-ci est lié à d’autres données vous concernant stockées par Meta sur votre compte d’utilisateur Facebook ou Instagram. Meta diffuse ensuite des publicités individualisées de notre part sur Facebook ou sur Instagram qui sont adaptées à vos besoins.

Nous ne sommes nous-mêmes pas en mesure de vous identifier personnellement via le pixel meta, car à part l’ID de votre navigateur, aucune autre donnée n’est stockée chez nous via le pixel.

Pour plus d’informations sur le Meta Pixel, les détails du traitement des données via ce service et la politique de confidentialité de Meta, veuillez consulter le site suivant Meta Privacy Policy - How Meta collects and uses user data pour Facebook et Meta Privacy Policy - How Meta collects and uses user data pour Instagram.

Meta Platforms Ireland Ltd. est une filiale de Meta Platforms, Inc. basée aux États-Unis. Il n’est pas exclu que vos données collectées par Facebook soient également transmises aux États-Unis.


Nous tenons à préciser qu’Audiofanzine n’a pas attendu qu’une loi nous y oblige pour respecter la vie privée de nos membres et visiteurs. Les cookies que nous utilisons ont en commun leur unique objectif qui est d’améliorer votre expérience utilisateur.

Tous nos cookies
Cookies non soumis à consentement

Il s’agit de cookies qui garantissent le bon fonctionnement du site Audiofanzine. Le site Web ne peut pas fonctionner correctement sans ces cookies. Exemples : cookies vous permettant de rester connecté de page en page ou de personnaliser votre utilisation du site (mode sombre ou filtres).

Analyse de l’audience (Google Analytics)

Nous utilisons Google Analytics afin de mieux comprendre l’utilisation que nos visiteurs font de notre site pour tenter de l’améliorer. Lorsque ce paramètre est activé, aucune information personnelle n’est envoyé à Google et les adresses IP sont anonymisées.

Publicités (Google Ads)

Ces informations nous permettent de vous afficher des publicités qui vous concernent grâce auxquelles Audiofanzine est financé. En décochant cette case vous aurez toujours des publicités mais elles risquent d’être moins intéressantes :) Nous utilisons Google Ad Manager pour diffuser une partie des publicités, des mécanismes intégrés à notre CMS pour le reste. Nous sommes susceptibles d’afficher des publicités provenant de notre propre plateforme, de Google Advertising Products ou encore de la régie Adform.

Marketing (Meta Pixel)

Sur nos sites web, nous utilisons le Meta Pixel. Le Meta Pixel est un pixel de remarketing mis en œuvre sur nos sites web qui nous permet de vous cibler directement via le Meta Network en diffusant des publicités aux visiteurs de nos sites web lorsqu’ils visitent les réseaux sociaux Facebook et Instagram. Les métapixels sont des extraits de code capables d’identifier votre type de navigateur via l’ID du navigateur - l’empreinte digitale individuelle de votre navigateur - et de reconnaître que vous avez visité nos sites web et ce que vous avez regardé exactement sur nos sites web. Lorsque vous visitez nos sites web, le pixel établit une connexion directe avec les serveurs de Meta. Meta est en mesure de vous identifier grâce à l’identifiant de votre navigateur, car celui-ci est lié à d’autres données vous concernant stockées par Meta sur votre compte d’utilisateur Facebook ou Instagram. Meta diffuse ensuite des publicités individualisées de notre part sur Facebook ou sur Instagram qui sont adaptées à vos besoins.

Nous ne sommes nous-mêmes pas en mesure de vous identifier personnellement via le pixel meta, car à part l’ID de votre navigateur, aucune autre donnée n’est stockée chez nous via le pixel.

Pour plus d’informations sur le Meta Pixel, les détails du traitement des données via ce service et la politique de confidentialité de Meta, veuillez consulter le site suivant Meta Privacy Policy - How Meta collects and uses user data pour Facebook et Meta Privacy Policy - How Meta collects and uses user data pour Instagram

Meta Platforms Ireland Ltd. est une filiale de Meta Platforms, Inc. basée aux États-Unis. Il n’est pas exclu que vos données collectées par Facebook soient également transmises aux États-Unis.


Vous pouvez trouver plus de détails sur la proctection des données dans la politique de confidentialité.
Vous trouverez également des informations sur la manière dont Google utilise les données à caractère personnel en suivant ce lien.