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réactions au dossier Comprendre la mécanique de frustration / récompense dans un mix

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Sujet de la discussion Comprendre la mécanique de frustration / récompense dans un mix
4647.jpg
Los Teignos a deux minutes pour vous expliquer comment jouer de la mécanique d'attente et de récompense dans un mix sur les plans du spectre, du volume ou de la largeur stéréo. C'est parti avec Katy !


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Ce thread a été créé automatiquement suite à la publication d'un article. N'hésitez pas à poster vos commentaires ici !

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Le GIEC chiffre à 3,3 milliards le nombre de victimes du réchauffement climatique. On en parle ?

 

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211
Mon œil !
212
C'est Peter Brook qui disait que, si une mise en scène était évidemment établie pour être reprise à chaque représentation, en elle :

"du jour où elle est fixée, quelque chose d'invisible commence à mourir".

Moi, je l'entends ici parler de la musique, aussi.
(Et de bien d'autres choses qui se rencontrent sur les 'sentiers de la création'.)

"Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout... "  (Montaigne / Essais I / chap L)

http://patrickg75.blogspot.fr/

https://patrickg.bandcamp.com/

 

213
pour revenir au sujet, on peu dire tranquilement que cet exemple de mécanique de frustration / récompense est celui de la décennie ?



Pourtant j'aime pas ce son, mais elle a réussit à faire ressusciter le rock à elle toute seule pour les millenials... :8O:
214
Citation de WildHomeNetwork :
pour revenir au sujet...


C'est la réflexion de Peter Brook que tu penses hors de notre sujet ?
:clin:

"Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout... "  (Montaigne / Essais I / chap L)

http://patrickg75.blogspot.fr/

https://patrickg.bandcamp.com/

 

215
Je ne trouve pas que Happier than ever par Billie Eilish soit un très bon exemple du mécanisme en question. On est plutôt dans un autre schéma classique du morceau qui part doucement, joue sur l'intimité et l'émotion et finit en apothéose et gros délire sonore.
216
Citation de patrick_g75 :
Citation de WildHomeNetwork :
pour revenir au sujet...


C'est la réflexion de Peter Brook que tu penses hors de notre sujet ?
:clin:


Pas du tout, ça fait 18pages que c'est HS :mrg:

Citation de Will :
Je ne trouve pas que Happier than ever par Billie Eilish soit un très bon exemple du mécanisme en question. On est plutôt dans un autre schéma classique du morceau qui part doucement, joue sur l'intimité et l'émotion et finit en apothéose et gros délire sonore.


C'est certes vrais, mais les astuces sont toutes la : mono très resserré frequentiellement, très doux, pour ensuite exploser sur tout les plans : stéréo énorme, plage de fréquence complète, satu, rythme... Etc.
L'effet n'est plus gros que parce qu'avant c'est tout petit.
217
Alors on est plutôt dans le travail de contraste que de frustration / récompense.

A mon avis en tous cas. Parce que si c'est l'effet recherché, tenter plus de 2 mn de "frustration" avant une "récompense", dans le contexte actuel et la cible de cette artiste, ça serait passablement osé :mrg:

(en clair, 99% de chance pour que les auditeurs intéressés par la récompense abandonnent l'écoute bien avant d'y être arrivés).
218
Citation de WildHomeNetwork :
Citation de patrick_g75 :
Citation de WildHomeNetwork :
pour revenir au sujet...


C'est la réflexion de Peter Brook que tu penses hors de notre sujet ?
:clin:


Pas du tout, ça fait 18pages que c'est HS :mrg:

Me voilà rassuré. Ouf... Parce que, pour moi, cette réflexion était complètement dans notre sujet...
:mdr::bravo:

"Le jugement est un outil à tous sujets, et se mêle partout... "  (Montaigne / Essais I / chap L)

http://patrickg75.blogspot.fr/

https://patrickg.bandcamp.com/

 

219
Mouais, en tant qu’audiophile plus que d’instrumentiste, peu importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse. Je ne dis pas qu’il n’y a pas de formule qui marche mais franchement un bon vieux son mono des années 50 avec limite de la saturation dans la prise de son me fait autant plaisir qu’une musique plus contemporaine.

Peut-être je suis un viel imbécile, mais quand j’entends quelqu’un qui me dis "j’aime la prod de cet album", ça me fait toujours quelquechose. Personnelement, j’aurai dis "j’adore la voix de la chanteuse, la melodie, l’accompagnement genial du bassiste, la transition musicale, etc..." une question de génération?

J’écris cela en écoutant musical communion des skatalites, enregistré en 54, une bonne prise de son et des musiciens au top, y a t il vraiment besoin d’une production envahissante?

De mon point de vue, comme le maquillage, la prod doit être subtile, voire invisible. J’ai l’impression qu’une musique trop post-produite finit par devenir daté très rapidement (hard rock des années 80s, autotune à outrance actuel, etc...) qu’en pensez-vous?
220
J'en pense Guy Stevens ou Phil Spector, mais Robert Johnson quand-même...