Le cerveau de Mozart.
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Anonyme
Citation : Le 11 avril 1770, le jeune Mozart, âgé de 14 ans, entend le célèbre miserere d'Allegri, dont la partition est tenue secrète. De retour chez lui, il en retranscrit, de mémoire, l'intégralité.
Comment est-ce possible de mémoriser une telle pièce? Que se passe t-il dans le tête de celui qui écrit, de celui qui écoute? Est-ce une aptitude technique? Emotionnelle? Peut-on expliquer le génie de Mozart? Et que sait-on aujourd'hui des enfants prodiges?
Citation de l'excellent ouvrage de Bernard LECHEVALIER, Professeur de neurologie et médecin des hôpitaux, spécialisé en neuro-psychologie et organiste.
Un excellent ouvrage...
Anonyme
Citation : et les italiens on bien inventé un mot pour dire "wolfgang est dans la place" :
(mozarrella) !...
putain!!! il me l'a piqué !!!! j'attendais mon heure, je me suis fait prendre de vitesse !!!!
Electro_Primate
Citation : (...)même quand tu t'appelle Beethoven il y a toujours deux trois merdes que tu ne maitrises pas.
J'aimerais bien savoir de quelles merdes il parle! Le petit pont? Le crawl?
BertiB
S.d.m
Electro_Primate
Trois posts identiques dont deux de la meme personne
Non, vu le contexte ils parlaient plutot de "technique" ;)
Mandolman
c'est p'tet pour ça apres tout, ce mec, avait le cerveau à l'envers.
Je pars de ce pas triturer mes VSTi en faisant le poirier !
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post 20 min + tard:
n'effaiyez fas la ftete à l'enfers fur une faise tournante, ça fait mal quand on ftombe....
Choc
Citation : Car aujourd'hui tous les styles musicaux populaires (et pas que POP ulaire) qui vont du R&B en passant par la musique électronique pour finir au rock, sont touchés en grande partie par ce phénomène de formatage commercial.
Justement, je conscois la POP au sens large...le rock sonne incroyablement POP, la musique electronique aussi (Prodigy, Chemical, Fatboy Slim), etc etc...
Site personnel: https://www.enib.fr/~choqueuse/
knarf_the_real
La bonne musique ne se définit pas pareil en fonction des sensibilités. Pierre va aimer ce qui flatte sa culture musicale (la musique dite "prévisible", rassurante dans sa progression et ses codes), Paul va le détester (par élitisme primaire, bien souvent... lui il n'écoute que du Jazz, pas de cette musique de m... qui passe à la télé), Jacques s'en fout car ce qu'il cherche, c'est avoir un écartement de doigts de pieds maximal lorsqu'il écoute Pascal Obispo, et son "besoin" est totalement couvert. Que demander de plus?
A cette époque fort reculée, Mozart répond au besoin du plus grand nombre, ce qui, en soi, n'est pas spécialement opportuniste ni "facile", si on se détache un peu de notre époque et de ce qi s'y passe au plan musical. Mozart n'a pas eu la chance de profiter de tout l'historique auquel nous avons accès, et qui modifie notre perception! On peut par exemple ne pas aimer Johnny Hallyday (mon cas) et admettre que c'est un artiste de talent qui laisse des traces dans PMI, le Paysage Musical International... (ok la comparaison est un peu foireuse... )
Il n'en reste pas moins que la "prouesse du miserere", quelle que soit la "complexité" de l'oeuvre, ou les standards de l'époque est le fait d'une capacité de mémorisation assez bluffante. Je serai tenté de dire ceci : n'y voyez là qu'une spécificité physiologique de Mozart, et non un "don" (c'est pareil, peut être... mais qui donne? Le terrain glisse tout à coup... ). Par exemple, moi je peux bouger mes oreilles de haut en bas. C'est une de mes spécificités physiologiques.
*et personne n'en parle ici* (zut alors...)
Je ne crois pas aux dons... mais au travail. Et le fait que de nombreuses personnes travaillent la musique comme des "malades" et ne deviennent pas Mozart ne veut pas dire qu'ils n'ont pas le "don" et que le travail n'y changera rien. C'est une question d'accoutumance à l'activité musicale, liée au milieu dans lequel évoluent les gens. Ce qui fait que tout le monde ne part pas du même point.
On peut rêver d'être Mozart (remplacer par Chick Corea, Bill Evans, Zappa ou autre) et avoir la totalité du chemin à parcourir pour y arriver. Si le milieu dans lequel on vit le favorise, on est de base plus près du but. En y travaillant assidument, on facilite la fin du voyage. Mozart a bossé. Beaucoup. Et son père l'a baigné dans le milieu musical, en le forçant à travailler de son plein gré ou non. Ceci explique peut-être cela. Ou peut-être pas, et peut-être que la Terre est plate.
Et au fait...
Citation : Pourquoi n'y a-t-il qu'un seul mozart?
Et pourquoi n'y a-t-il qu'un seul Pascal Obispo ?
Je sors.
zarbel
oui d'accord on peut trouver les mozard modern, je viens de decouvrir les compo du pere founasse, un peu son truc mozar ;) quoi que enfin ça reste a prouver
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