Se connecter
Se connecter

ou
Créer un compte

ou
Test écrit
162 réactions

Test du plug-in Nx Virtual Mix Room de Waves - Port du casque obligatoire

9/10
Award Innovation 2016
2016
Innovation
Award

Les casques, c'est bien pour vérifier certains détails, mais de là à s'appuyer exclusivement dessus pour réaliser l'intégralité d'un mixage, on entre dans le domaine du véritable défi. Enfin, ça, c'était avant : Grâce à Nx Virtual Mix Room, un plug-in révolutionnaire pour Mac et PC signé Waves, il est désormais possible de mixer dans un espace de contrôle virtuel disposant d'une acoustique parfaite, où que vous soyez, et ceci à l'aide de votre casque. En plus, Nx offre aussi la possibilité de mixer en surround, le tout avec un simple casque stéréo !

Nx Virtual Mix Room est fourni avec l’ap­pli­ca­tion Wave­sHead­Tra­cker, qui se lance au démar­rage du plug-in. En utili­sant votre webcam (ou un détec­teur de mouve­ments dédié que Waves s’ap­prête à commer­cia­li­ser), le logi­ciel suit les mouve­ments de votre tête via une fonc­tion de « head tracking » et opère les ajus­te­ments néces­saires pour compen­ser l’acous­tique virtuelle en fonc­tion de ceux-ci.

Le plus incroyable est peut-être encore son prix de $99. La première fois que j’ai assisté à une démons­tra­tion du Nx au NAMM, j’étais persuadé qu’il faudrait comp­ter dans les $500 et j’ai été stupé­fait (dans le bon sens du terme) en appre­nant son prix.

Détails, détails

Waves NX stereo component
L’in­ter­face du module stéréo de Nx.

Comme tous les autres plug-ins de la marque, Nx s’ins­talle via le programme Waves Central. Il n’est possible d’en auto­ri­ser l’uti­li­sa­tion que sur un seul support, mais celui-ci peut aussi bien être votre ordi­na­teur qu’un disque externe (y compris une clé USB). Et si vous trou­vez pratique de pouvoir chan­ger d’or­di­na­teur à l’oc­ca­sion, mais êtes réti­cent à l’uti­li­sa­tion d’un disque externe pour cet usage, Waves Central permet de chan­ger l’af­fec­ta­tion de la licence assez faci­le­ment.

Nx est exclu­si­ve­ment destiné au moni­to­ring. Mettez-le sur le bus de master pendant que vous mixez, puis n’ou­bliez pas de le désac­ti­ver avant le bounce. À l’in­verse d’un simu­la­teur de baffle tel que le VRM Box de Focus­rite, Nx ne cherche pas à imiter un type parti­cu­lier de système d’écoute. Au lieu de cela, il met en œuvre des tech­niques psychoa­cous­tiques pour simu­ler une pièce trai­tée dédiée au mixage et dépour­vue de la moindre anoma­lie sur le plan acous­tique, l’idée étant qu’en théo­rie un tel envi­ron­ne­ment doit vous permettre de faire les choix les plus éclai­rés au moment de mixer. La réponse en fréquences que Nx vous procu­rera dépen­dra toute­fois très direc­te­ment du casque que vous utili­se­rez, donc plus il est précis et neutre, mieux ce sera.

Nx peut être utilisé en mono-vers-stéréo, en stéréo, et en surround (5.1 ou 5.0). Il y a toute­fois toutes les chances pour que les versions stéréo et 5.1 soient celles que vous utili­se­rez le plus souvent dans votre STAN.

Inter­face

C’est dans l’in­ter­face utili­sa­teur que se fait la grande majo­rité des réglages (à l’ex­cep­tion des para­mètres de head tracking). Dans la version stéréo, l’in­ter­face comprend une paire d’icônes repré­sen­tant deux haut-parleurs reliés par une ligne jaune, et une vue de haut en 3D repré­sen­tant une tête.

Lorsque vous lancez Nx, Wave­sHead­Tra­cker démarre auto­ma­tique­ment dans une fenêtre sépa­rée et montre l’image captée par votre webcam, votre tête appa­rais­sant dans une sorte boîte verte en 3D qui n’est pas sans rappe­ler Matrix. Un certain nombre de mesures mises à jour en temps réel appa­raissent dans la fenêtre, et une séquence de texte indique les commandes clavier permet­tant par exemple de réini­tia­li­ser la recon­nais­sance faciale, ou d’ac­ti­ver le mode dédié aux faibles lumi­no­si­tés (nous revien­drons d’ailleurs sur ce point).

Pour en reve­nir à Nx en lui-même, il est possible d’aug­men­ter la distance entre les haut-parleurs virtuels jusqu’à ce qu’ils se retrouvent à 90 degrés de chaque côté de votre tête (ce qui a pour effet d’élar­gir l’image stéréo), et ceci en glis­sant l’icône de l’un des haut-parleurs virtuels ou en tour­nant le contrôle rota­tif de réglage en façade. Par défaut, l’angle entre les moni­teurs est de 60 degrés. Si vous pous­sez le réglage dans l’autre direc­tion (en dimi­nuant donc cet angle), vous pouvez au contraire rendre l’image stéréo plus étroite. En super­po­sant les icônes, le rendu devient monau­ral, permet­tant de véri­fier la compa­ti­bi­lité mono­dique de votre mix sans chan­ger de mode.

Mais ce que vous pouvez faire avec les haut-parleurs virtuels en termes de réglages ne se limite pas à cela. Le réglage « Rotate » permet de mouvoir la paire de haut-parleurs précé­dem­ment espa­cée tout autour de vous dans un champ à 360 degrés. Vous pouvez les posi­tion­ner d’un côté ou de l’autre, ou même derrière vous, vous permet­tant ainsi d’écou­ter le même mix selon diffé­rentes pers­pec­tives, ce qui peut s’avé­rer utile. Grâce à l’uti­li­sa­tion d’ef­fets psychoa­cous­tiques par Nx, déca­ler la pers­pec­tive de 180 degrés donne réel­le­ment l’im­pres­sion que le signal vient de l’ar­rière, ce qui est d’au­tant plus incroyable (surtout la première fois) quand vous pensez que vous utili­sez en fait un simple casque stéréo. Cette possi­bi­lité de dépla­cer le son tout autour de soi est d’ailleurs cruciale pour la fonc­tion surround, que nous allons détailler dans un instant. 

Les autres contrôles de l’in­ter­face comprennent le réglage rota­tif Room Ambience, qui permet d’ajus­ter la quan­tité de signal d’am­biance prove­nant de la pièce simu­lée. Le réglage par défaut est de 17 sur 100, et pour ma part je le laisse la plupart du temps à ce niveau, car à mon goût tout réglage en dessous fait perdre la sensa­tion d’es­pace que Nx procure tandis qu’à l’in­verse, augmen­ter cette valeur tend à rendre l’en­semble trop diffus.

Waves NX surround component
L’in­ter­face du module surround 5.1 de Nx.

Tout à la droite de l’in­ter­face, on trouve les mesures du niveau du signal en sortie avec un réglage de contrôle de volume. Tout à gauche se trouvent des indi­ca­teurs mesu­rant le signal d’en­trée. 

L’in­ter­face de Nx comprend égale­ment des contrôles liés à la fonc­tion de head tracking, notam­ment des commandes permet­tant d’al­lu­mer/éteindre la webcam, de réini­tia­li­ser la recon­nais­sance des mouve­ments de la tête et de contrô­ler la préci­sion de détec­tion. Un réglage du nom de « Sweet Spot » permet de mémo­ri­ser la posi­tion de votre tête comme posi­tion centrale par défaut. Au premier lance­ment du plug-in, le bouton « Sweet Spot » clignote jusqu’à ce que vous déter­mi­niez cette posi­tion. Si vous chan­gez souvent de posi­tion (et notam­ment celle de votre tête), ce réglage est facile à réini­tia­li­ser.

Le réglage « XYZ Lock » permet de vous lais­ser dans votre posi­tion centrale même si vous bougez votre tête d’un côté ou de l’autre, ou même de haut en bas. Sachant à quel point il est diffi­cile de garder la tête parfai­te­ment immo­bile tout au long d’un mix, j’ai trouvé cette option parti­cu­liè­re­ment utile. 

En bas à gauche, vous trou­ve­rez une section permet­tant d’en­trer les données de modé­li­sa­tion de votre tête (plus de détails dans la section qui suit).

Si vous lancez Nx en mode surround, l’in­ter­face est semblable à la diffé­rence de la présence de six témoins de mesure du signal entrant (du moins en mode 5.1, cinq seule­ment en 5.0), et évidem­ment à la place des deux icônes symbo­li­sant les haut-parleurs vous en aurez cinq pour les canaux gauche, centre, droit, arrière gauche et arrière droit, plus une sixième icône symbo­li­sant un subwoo­fer pour le canal d’ef­fet basse fréquence (LFE) en mode 5.1. Les haut-parleurs peuvent faire l’objet d’une rota­tion grou­pée, et il est possible d’aug­men­ter ou de dimi­nuer sépa­ré­ment les distances entre elles des enceintes virtuelles des paires gauche-droite et arrière gauche-arrière droit.

Affi­ne­ment des réglages

La fonc­tion head-tracking marche déjà bien en utili­sant les réglages par défaut, mais d’après Waves le résul­tat est encore meilleur en les custo­mi­sant aux dimen­sions de votre tête. Le manuel (qui comme d’ha­bi­tude chez Waves est direc­te­ment acces­sible depuis l’in­ter­face utili­sa­teur) détaille clai­re­ment la façon de procé­der pour effec­tuer correc­te­ment les deux mesures adéquates à l’aide d’un mètre-ruban : celle de la circon­fé­rence (de l’ar­rière de la tête à l’ar­cade sour­ci­lière), et celle de l’arc inter­au­ri­cu­laire (la distance entre les deux oreilles en passant par l’ar­rière de la tête). Vous pouvez rentrer ces valeurs dans l’in­ter­face, les sauve­gar­der en tant que préset et même en faire les réglages par défaut du plug-in.

Un autre point impor­tant à accom­plir pour opti­mi­ser les perfor­mances de Nx est d’ar­ri­ver à ce que le nombre d’images par secondes (fps) soit situé entre 25 et 30. Pour ceci, il est néces­saire que la pièce soit correc­te­ment éclai­rée, mais si le chiffre reste insuf­fi­sant vous pour­rez toujours mettre en marche le mode basse lumi­no­sité (Low Light Mode).

Au début, cela m’a laissé perplexe puisque je n’ar­ri­vais à tour­ner qu’au­tour de 12 FPS alors que ma pièce est plutôt lumi­neuse. Ce n’est qu’en­suite que j’ai vu mentionné dans le manuel que les utili­sa­teurs de tous les types de MacBook (j’uti­lise juste­ment un MacBook Pro) doivent toujours utili­ser le mode basse lumi­no­sité, et effec­ti­ve­ment, ça marche nette­ment mieux comme ça. Seul petit problème : Wave­sHead­Tra­cker ne permet pas d’en­clen­cher le mode Low-Light par défaut au démar­rage, il m’a donc fallu le remettre à chaque utili­sa­tion du plug-in.

Si vous désac­ti­vez la fonc­tion head tracking (ou si vous n’avez pas de webcam), NX marchera tout de même, mais vous serez cantonné à une posi­tion d’écoute fixe. Cela dit, il vous sera toujours possible d’ajus­ter le posi­tion­ne­ment et la rota­tion des haut-parleurs virtuels, et aussi d’ajou­ter les réflexions acous­tiques de la pièce virtuelle à l’aide du réglage Ambiance.

L’écoute en stéréo

Waves NX stereo component panned to mono
Dans le module stéréo, dépla­cer les deux haut-parleurs au centre permet de véri­fier votre mix en mono.

Pour les mixes en stéréo, Nx fait ce qu’il est supposé faire : vous donner l’im­pres­sion que vous mixez dans une véri­table pièce dédiée, et non au casque. L’un des éléments-clés pour arri­ver à ce résul­tat est le fait que même si le signal est complè­te­ment pano­ra­misé d’un seul côté, l’autre oreille capte tout de même une partie du signal, comme ce serait le cas avec des haut-parleurs. Bref, on n’a pas cette sensa­tion d’iso­la­tion totale entre côté droit et côté gauche que l’on a habi­tuel­le­ment au casque dans des condi­tions conven­tion­nelles.

Désac­ti­ver le plug-in après un certain temps d’uti­li­sa­tion vous fera d’ailleurs réali­ser la plati­tude sonore d’une écoute au casque conven­tion­nelle, et mesu­rer à quel point Nx apporte de l’es­pace. 

Afin d’éva­luer la façon dont un mix réalisé à l’aide de Nx peut rendre sur un système d’écoute clas­sique, j’ai réalisé un certain nombre de mixes-tests en n’uti­li­sant que Nx, pas de moni­teurs. Pour le casque, j’ai choisi mon Audio-Tech­nica ATH-M70s, qui est conçu pour offrir une réponse en fréquences plate pour le mixage.

J’ai commencé par un mix de style blues-rock avec rela­ti­ve­ment peu de pistes (batte­rie en stéréo, basse, guitares ryth­mique, slide et lead, toutes trois élec­triques), et j’ai réalisé l’in­té­gra­lité du mixage, de A jusqu’à Z, en utili­sant le casque et Nx. J’ai été plus que convaincu par le résul­tat, qui m’est apparu aussi équi­li­bré que ce que j’au­rais pu obte­nir en mixant à l’aide de moni­teurs et était quoi qu’il arrive bien meilleur qu’un mix réalisé au casque sans l’aide de Nx.

J’ai été satis­fait de consta­ter que Nx n’al­té­rait pas ma percep­tion des fréquences, voire qu’elle l’amé­lio­rait. J’ai commencé par régler correc­te­ment le volume de la basse, et le reste de mon égali­sa­tion sonnait bien sur ce projet. J’ai aussi testé Nx en utili­sant des casques bien moins chers, et comme je pouvais m’y attendre la réponse en fréquences était évidem­ment moins satis­fai­sante, mais sur le plan de la répar­ti­tion spatiale la qualité du rendu restait quant à elle la même.

En désac­ti­vant la fonc­tion head tracking, j’ai utilisé Nx pour mixer un morceau acous­tique instru­men­tal avec deux guitares, un Dobro et une contre­basse. Là encore, je n’ai rencon­tré aucune diffi­culté pour obte­nir un mix cohé­rent à la seule aide de mon casque (j’avais alors repris l’ATH-M70s). J’ai bien aimé la nature statique du signal avec le head tracking désac­tivé, dans la mesure où je pouvais bouger ma tête et toujours rester dans la bonne zone d’écoute. Même si Waves affirme que seule l’ad­di­tion du mode tracking et de l’uti­li­sa­tion de para­mètres morpho­lo­giques adap­tés permet d’ob­te­nir le meilleur niveau de préci­sion, l’image sonore de la pièce reste très réaliste en désac­ti­vant le tracking, même en simu­lant la présence des haut-parleurs virtuels complè­te­ment à l’ar­rière.

L’écoute en surround

J’ai toujours eu envie d’ex­pé­ri­men­ter le mixage en surround, mais je n’ai jamais disposé d’un système d’écoute me permet­tant de le faire. Du coup, l’idée que Nx puisse me donner un envi­ron­ne­ment virtuel de mixage surround via mon casque stéréo était plus qu’at­trayante, mais mettre cela en œuvre s’est avéré tout sauf évident et le manuel m’a paru quelque peu insuf­fi­sant pour ce qui est d’in­diquer la façon de procé­der.

Waves NX Surround rotated 180
Ici, le module surround est para­mé­tré avec les haut-parleurs à 180 degrés : la paire de surround est donc située à l’avant, et le son des compo­sants gauche, centre et droit provient de l’ar­rière.

Tout d’abord, il vous faut une STAN permet­tant le mixage en surround. Ensuite, il faut y lancer un projet en surround et sélec­tion­ner le module adéquat de Nx (5.0 ou 5.1) en fonc­tion de la confi­gu­ra­tion choi­sie. 

J’ai testé cette fonc­tion sous Logic Pro X et Digi­tal Perfor­mer 9.01, et suis parvenu à faire fonc­tion­ner Nx en surround via l’un comme l’autre, même si DP a néces­sité un peu d’amé­na­ge­ment au niveau des entrées et des sorties. Selon la façon dont votre STAN gère le surround, la confi­gu­ra­tion sera plus ou moins compliquée. 

J’ai réalisé un certain nombre de tests d’écoute pour juger de la qualité de l’image surround propo­sée par Nx. En compa­rant les éléments pano­ra­mi­sés à droite et à gauche à ceux pano­ra­mi­sés à l’ar­rière-droite et l’ar­rière-gauche, ces derniers parais­saient bien situés à l’ar­rière des premiers cités, et leur source sonore semblait loca­li­sée derrière ma tête. J’écou­tais bel et bien en surround avec mon casque stéréo ! Aucun doute là-dessus, l’im­plé­men­ta­tion du surround est une sacrée prouesse tech­no­lo­gique réali­sée par Waves.

En suppo­sant que vous dispo­siez d’une inter­face multi­ca­nale vous permet­tant de faire sortir chaque piste sépa­ré­ment, il vous serait possible de réali­ser un mix entier en surround grâce à Nx. Mais Nx serait-il aussi effi­cace pour le surround qu’il semble l’être pour un mixage plus conven­tion­nel en stéréo ? Diffi­cile pour moi d’en juger du fait de mon manque d’ex­pé­rience en matière de mixage en surround, mais en me basant sur ces essais je pense qu’il est possible, a minima, d’uti­li­ser Nx pour travailler sur un mix en surround lorsque vous êtes loin de votre studio et de son système d’écoute surround.

Conclu­sion

Vu le nombre de logi­ciels tous plus incroyables les uns que les autres qui sortent ces temps-ci, il serait tentant d’être quelque peu blasé, et pour­tant je dois recon­naître que le test de ce Nx Virtual Mix Room m’a quelque peu laissé sans voix. Nx offre le carac­tère tridi­men­sion­nel qui manquait jusqu’ici au mixage au casque, et apporte de l’es­pace à une expé­rience sonore qui jusqu’ici inci­tait davan­tage à la claus­tro­pho­bie qu’autre chose. Ce plug-in crée un envi­ron­ne­ment de mixage à la fois agréable et précis, libéré des limites d’une véri­table salle dédiée, mais à l’acous­tique souvent impar­faite, et rend le mixage possible n’im­porte quand et n’im­porte où. Même si vous ne comp­tez pas mixer en dehors de votre studio, avoir Nx sous la main comme solu­tion complé­men­taire pourra toujours se révé­ler utile. Si vous mixez en surround, il sera encore plus utile, et même si ce n’est pas le cas vous pour­rez ainsi tenter l’ex­pé­rience, en suppo­sant que votre STAN vous le permette.

L’idée qu’un produit de cette qualité soit proposé au prix de 99 $ est tout simple­ment incroyable, et dans le bon sens du terme. Nx est un tel progrès que nous lui avons décerné notre Award de l’In­no­va­tion, mais il aurait tout aussi bien pu méri­ter celui de « Valeur sûre ».

Vous pouvez aussi essayer Nx par vous-même via l’offre de démo gratuite de 14 jours propo­sée par Waves.

Notre avis : 9/10

Award Innovation 2016
2016
Innovation
Award
  • Permet de créer un environnement de mixage en 3D avec un casque stéréo
  • Les composants Surround permettent de mixer en surround si votre STAN le permet
  • Simule une pièce de contrôle traitée acoustiquement
  • Prix incroyablement bas pour un plug-in aussi puissant
  • Les haut-parleurs virtuels peuvent être bougés dans l'espace stéréo et mis en rotation à 360 degrés
  • Logiciel de head tracking inclus pour un plus grand réalisme
  • Le mode "basse luminosité" doit être activé manuellement à chaque fois
  • Le réglage en mode surround n'est pas toujours intuitif, et le manuel manque nettement de détails à ce sujet
  • Augmenter l'ambiance de la pièce virtuelle fait perdre en intelligibilité au signal

Vous souhaitez réagir à cet article ?

Se connecter
Devenir membre