Aux amateurs de rock progressif.

Au passage, je trouve que ELP est un groupe assez surestimé. Il y a occasionnellement quelques bons morceaux (Lucky Man, Toccata), mais l'ensemble ne tient plus la route 45 ans plus tard.

Sylvain

Ce que je retiens d'Emerson, c'et le solo à couper le souffle de beauté (B3?) de Stones of Years sur Tarkus, avec la rythmique derrière qui va bien

Ce que je retiens d'Emerson, c'et le solo à couper le souffle de beauté (B3?) de Stones of Years sur Tarkus, avec la rythmique derrière qui va bien

Après le côté paillettes et guignolades sur scène c'est à remettre dans le contexte de l'époque, ils n'étaient pas les seuls: Hendrix cramant sa guitare à Monterey, les Who qui sautaient dans tous les sens et finissaient parfois par tout péter au morceau final, et on en passe, des plus et des moins connus.

si non "Love Beach" est un album que je trouve abominable !

je me suis convaincu qu'il pouvait avoir sa place ici

Dans la foulée un autre, avec des passages plutôt jazz-rock, d'autres "king-crimsoniens" :

Évidemment que Wilson à sa place ici!!! J'aimais bien son côté autiste, seul dans sa chambre, à triturer sa gratte et évoluer doucement...

Le problème du débat c'est que Steven WIlson a materlé dans les interview pendant des années qu'il ne faisait pas de prog, au point qu'on en rigolait. Maintenant il assume (c'était dur de le nier après Porcupine et sa carrière solo + ses remix de Yes, King Crimson é co)

Déjà posté probablement par mes soins, le très floydesque "Radioactive Toy" (à propos des rescapés de Tchernobyl):
Entre l'orgue et la guitare c'est étonnant , et en même temps pas tout à fait pareil (heureusement...). Ce double CD en public je ne m'en lasse pas.

Dans le même album "The raven..." que tu cites, il y a le merveilleux "The watchmaker", qui, à mon sens, permet à Wilson de nous mener doucement du prog de la toute première époque à celui que l'on connait aujourd'hui, comme on jette un pont entre les deux extrémités d'une vie, prouvant sa maitrise du genre musical, et rendant, comme le citait Cortez, d'autant plus ridicules ses dénégations quant à son implication dans le prog.

Un titre magnifique dont je ne me lasse jamais, surtout dans cette éxecution publique:

The fifth track on the album explores "the story of the watchmaker, the guy who is meticulous about his craft, but he never has any kind of emotional outburst, nor does he express violence or any extreme emotions whatsoever." It concerns "a couple who have been together for 50 years or more, purely because it was convenient and comfortable." Wilson explains that "The watchmaker ends up killing his wife and burying her under the floorboards of his workshop. But, of course, she comes back, because she’s been with him for 50 years; she’s not going to leave him now." The song concludes when "the wife comes back to take him with her, which", Wilson suggests, "is another classic ghost story, in a way."