Sujet de la discussionPosté le 09/05/2003 à 03:34:47Quel est votre guitariste préféré : attention débat stérile s'abstenir !
Salut moi perso en guitariste francais j'aime beaucoup jean marie ecay et en etranger lukather mais bon n'etant pas guitariste moi meme je ne suis peut etre pas tres objectif. Je ne parle donc pas de technique ou demo mais juste les sentiment que je percois en les ecoutant.
La notion de virtuosité technique pure d'un mec qui se place au devant de la scène tel un héros, ça marque forcément plus les esprits. Les rythmiciens œuvrent plus volontiers dans l'ombre que dans la lumière.
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Par exemple j'étais (et je suis) ultra fan de Slash période G'n'R, mais beaucoup moins dans ses autres projets. Il y avait une "symbiose" qui permettait au chevelu de faire des trucs qui pour moi étaient "divins"
Je suis 100% d'ac'. Sans le "backing band" de base, il devient un guitariste commun. Souvent les meilleurs solos sont ceux qui sont le mieux accompagnés. (sauf si on parle de vrais solos avec juste un gars tout nu devant son public sans support derrière)
Bah , il avait surtout avec lui un excellent chanteur, et ensemble ils devenaient de très bons auteurs compositeurs, mélodistes... et ça fait beaucoup.
Parce que franchement, il y a un très grand nombre de bons guitaristes qui sont de très médiocres auteurs et de mauvais chanteurs!
En parlant de ça, je n'comprend pas l'engouement de beaucoup (trop ?...) de guitaristes (particulièrement la "nouvelle génération") pour les solistes (faut pas avoir peur de dire shreddeux...) alors que bon nombre de rythmiciens à côté sont des tueurs... Et que ces mêmes rythmiques sont parfois aussi difficiles a exécuter.
particulièrement la "nouvelle génération"
Ou pas.
Ça a toujours été comme ça, tu peux remonter dans l'histoire, les mecs techniques ont toujours suscité un engouement. Toute discipline confondue d'ailleurs, musique, sport etc...
Paganini a quand même failli se faire couper la tête parce-qu'on pensait que c'était un sorcier.
Suite au premier concert de Paganini à Paris en 1831, le prix des entrées doubla, et, Ludwig Boerne déclara : « Ce fut un enthousiasme divin, diabolique, je n'ai jamais vu ou entendu quelque chose de semblable de toute ma vie. Tous les gens sont devenus fous. »