Votre playlist Jazz du moment

Citation : Miles Davis "BO Ascenseur pour l'échafaud"
Joe Pass, l'ensemble de son oeuvre, magnifique à mon gout

et un pauv' cd compil Gitane Jazz acheté 1€50 mais qui contient des oeuvres magnifiques de guitaristes (Django, Wes Montgomery, Tal Farlow, Jim Hall, Kenny Burell, George Benson)

Hors sujet : Je vais bouffer , ciao!

Citation : Si l’on pouvait mettre en forme le talent de Georges Benson, alors du toit de n’importe quel immeuble de Moscou, un jour de beau temps, on pourrait voir comment ce talent flotte au-dessus de l’océan Atlantique et barre la passage au avions. Le don de Benson n’a pas d’équivalent humain. Quoi qu’il fasse, c’est toujours formidable. Il a joué du swing, du bop, du rythm’n blues, de la soul et de l’acide jazz, il a chanté…on voudrait dire qu’il a dansé, mais non, il n’a pas dansé, allégeant de telle manière la vie des critiques qui déjà ne comprennent pas très quoi faire avec lui. D’un côté, Benson ne doit pas être limité dans les cadres d’un seul style, de l’urte, on ne peut pas lui reprocher de ne pas avoir de conviction musicales. Complètement désorientés, les journalistes disent qu’il a « trahit le jazz », même si le swing passe comme un fil dans toutes ses créations musicales. Benson est revenu à ce par quoi il avait commencé quinze ans auparavant avec son album « Absolute Benson » de style soul jazz afro-américain, après avoir reçu un « Grammy » pour la composition pop de Leon Russel « This Masquerade », et un autre pour le rythm’n blues de « Give me the night », et le tout à l’époque où il semblait que la pop-jazz avait conquis à jamais les charts.

Au début, Benson s’est lancé dans le chant. A 8 ans, il se produisait déjà dans les boîtes de la Pittsburgh, Pennsylvanie. Quand un guitariste gratuit devenait nécessaire, sa guitare le sortait d’affaire. « Puisque personne ne veut m’accompagner, je vais m’accompagner moi-même », a décidé Benson. Il étudiait chez ses idoles, le guitariste de jazz Charlie Kristian et Vesa Montgomery. A 19 ans, il s’est retrouvé dans l’ensemble de l’organiste Jeff MacDuff en voix d’accompagnement et après un tel stage, il enregistre son propre album, deux ans plus tard. « The new boss guitare » de style hard-bop et soul jazz. L’album a plu à la direction du label Columbia et Benson enregistre encore deux disques pour la compagnie sous la direction du producteur John Hammond dans les années 1965-66. Il a à son actif un technique de jeux exceptionnelle à la guitare et une superbe voix, éclatante comme celle de Steevie Wonder et douce comme Nat « King » Cole.

Rapidement, Benson apparaît dans une des pièces de l’album de Miles Davis « Miles in the sky », qui fut le premier pas pour Davis sur le chemin de la création du smooth-jazz, le plu spopulaire aujourd’hui dans la musique douce. Quelques années plus tard, Benson reviendra à ce style, une sythèse de pop et de jazz, qui sera alors nommé « fusion ». Le disque « Breezin’ », qui est devenu l’album de jazz le plus vendu de toute l’histoire est tiré de ce mouvement plutôt éloigné du jazz et du rock jazz. Certains s’émerveillaient, d’autres accusaient le guitariste de simplifier la fusion à la musique pop. Mais objectivement, c’est cet album qui a fait du guitariste une star mondiale, célébrité jamais atteinte par d’autre joueurs de jazz. Vulgairement parlant, aucun jazzman n’a jamais gagné autant d’argent, ni été aussi populaire. Expliquant le double côté de sa nature (et il n’a jamais été contre un peu de swing), Benson dit : « J’adore divertir, c’est dans ma nature, je fais ça depuis l’enfance. D’un autre côté, la jazz classique tient une place importante dans mon coeur. Durant ma carrière, j’ai pu travailler avec les joueurs de jazz les plus invétérés de la planète. Mais cela ne m’ôte pas l’envie de divertir les gens”. Les gens le lui rende avec leur admiration, où que cela soit, au Carneguy hall ou au Palais du Kremlin. En novembre, la salle explosait de plaisir. En remerciement, Benson a offert son médiateur, symbole de le musique à la guitare et du jazz rock en particulier. Benson n’avait qu’un médiateur, c’est une jeune fille du premier rend qui l’a reçu. On dit que la jeune fille n’est pas une fan de jazz et qu’elle est prête à offrir le médiateur à celui qui sera plus rusé et plus insistant. Et peut-être que c’est déjà fait?

Citation : vu que mon compte a été banni, snif

Hors sujet : > Tal : je veux pas faire ma cosette d'AF loin de là lol mais oui j'ai été banni sous mon compte Prokofief. Il est vrai que je bifurquais, digressais et m'alterquais à certains, dont les fans du smooth jazz lol J'étais conscient qu'avec mes post à rallonge, verbeux, parfois agressifs et dénonceurs, j'allais bien me faire censurer. Je n'hésitais pas à parler sur le dos de certains meme lol dont fuyu ou inusable (dont les participations et le végétarisme m'agacent fortement meme s'il a bcp de talent en musique electronique.. tiens je recommence à parler sur la gueule des autres, merde! lol). AF m'amuse pour ca parfois; je me sers tantot de mon identité virtuelle com d'une sorte de cobaye par rapport aux réactions des gens face à la spirale micro-sociale du site. Enfin bon, je m'égare une fois de plus là.. voilà c t juste pour répondre à ta question.

Hors sujet : Ok
merci pour l'honnêteté

Citation : et SURTOUT Nils Petter Molvaer

Citation : Grande tendresse pour le morceau "La Rosita" dont l'intro est sublime avec des percus un peu style cubaines, un piano dans des notes aigues délicates et un Coleman Hawkins inspiré et lyrique.