The Cure, le bébé de Robert Smith.
- 524 réponses
- 28 participants
- 20 736 vues
- 35 followers
vilak
En novembre 79, un claviste est recruté (Mathieu Hartley) et il amène sur scène son Korg MiniiKorg 700S, auquel est vite adjoint un Roland RS-09 (hiver 80), acheté pour l’enregistrement du deuxième album, "Seventeen Seconds". De son coté, le batteur ajoute des pads Synare 3 à son kit.
Hartley quitte le groupe en septembre 80 et emporte son 700S qui se voit remplacé par un Korg MaxiKorg 800DV et son RS-09 qui se voit remplacé par un autre à l'identique. Lorsque la tournée reprend en octobre, les parties de clavier se voient réduites à la très simple intro de « A forest » que le bassiste joue lui-même. Pour cela, le 800DV suffit et le RS-09 n’est plus utilisé sur scène.
Pour l’album suivant, composé et arrangé entre l’automne et l’hiver 80/81, un Solina String fait son apparition. C’est le clavier préféré de Robert Smith et il arrivera toujours à en glisser un petit bout dans chaque album qui suivra. « Faith » est donc habillé par des nappes de Solina Sting, de RS-09 et de 800DV. D'après Ory, ce 800DV est parfaitement capable d'avoir fait les cloches que l'on entend sur 'The Holy Hour".
Quelque part par-là arrive une pédale basse EKO qui d’après certains ne sera utilisée qu’en concert.
L’album de 82, « P*rn*graphy », ne voit pas de gros changement dans l’équipement et l’on retrouve ces trois machines et la pédale basse pendant la tournée. Toutefois une boite à rythme Boss DR-55 a été utilisée en studio. Déformée par des amplis, c'est elle qu'on entend sur "100 years".
Le bassiste s’est barré suite à une bagarre en juin 82 et les deux membres restant sortent en décembre « Let’s Go To bed » avec leur trois synthés habituels.
Début 83, ils louent un « Oberheim system » (DSX/DMX/OB-Xa) pour le EP « The Walk » et ses face-B. Ce matériel ne resservira donc plus jamais au groupe.
Un journaleux a qualifié « The Walk » comme « La techno-pop que Depeche Mode rêve de faire la nuit ». Dur pour DM quand même, bien que la chanson soit très bonne!
Le batteur désormais claviste a acheté une Boss DR-110 et un Juno-60 à cette époque. On le voit pourtant sur scène avec ce qui semble bien être un Jupiter (6 ou 8 je l’ignore, lien de la vidéo tout en bas et c’est bien du direct, pas du playback).
En 84, Porl Thompson (nouveau venu) et Lol Tolhurst (l’ex-batteur devenu claviste) jouent sur scène avec respectivement un JX-3P et le Juno-60, ils ont dû figurer avec leurs autres instruments dans l’enregistrement de l’album « The Top », la même année. Le DX-7 serait déjà là pour certains, d’autres disent que non.
En 85, Coté studio on parle de l’arrivée d’un Emulator 2, d’un Ensoniq Mirage et d’un JX-8P pour « The Head on the Door ». La présence du DX-7 est certaine lors de ces sessions, il remplace d’ailleurs le Juno 60 sur la tournée.
En 86, le JX-8P et le Mirage sont là c’est sûr, puisqu’en cette année de promo de la compilation ils accompagnent respectivement le JX-3P et le DX-7.
Pour "Kiss me, Kiss me, Kiss me", je n'ai pas d'information sur un quelconque nouvel arrivant, alors "à vot'bon coeur" si vous êtes au courant...
----------------
----------------
Les claviers de Roger O'Donnel sur "Disintegration", 1989.
STUDIO :
Échantillonneur Mirage
Échantillonneur Prophet 2002
Échantillonneur Emulator E2
Échantillonneur Emulator E3
Échantillonneur Akai S612
Synthé Moog Mini Moog Model D
Synthé Roland JX8P
Arp Solina String Machine
Piano à queue Bosendorfer
SUR SCENE :
Clavier maitre Yamaha à touches lourdes
Roland JX8P
Korg M1
Pédale de contrôle Midi
Un rack Oberheim DPX-1 pour lecture des échantillons pour le Prophet, le Mirage et l'Emulator.
Dodger Stadium, Los Angeles, 8 septembre 1989, 50.000 spectateurs, complet.
La setlist :
https://www.cure-concerts.de/concerts/1989-09-08.php
--------------------------
--------------------------
J'en ai appris beaucoup plus sur la façon dont le groupe The Cure fonctionnait.
A leur début à la fin des années 70, légalement le groupe c'est Smith (chants & guitares), Tolhurst (batterie) et Dempsey (Basse), ses trois membres fondateurs.
Quand Dempsey et Smith/Tolhurst décident de ne plus travailler ensemble. Les deux derniers proposent au bassiste de lui laisser le nom "The Cure" et eux de redémarrer sous un autre nom. Dempsey a dit merci pour l'offre mais l'a déclinée.
Fin 79, Le groupe c'est donc Smith et Tolhurst.
Tous ceux qui viendront par la suite auront des contrats annexes de musiciens additionnels (le terme anglais est "contract performer") et n'auront aucun pouvoir décisionnaire sur la musique et le business du groupe. Même s'ils seront financièrement traités sur un pied d'égalité, ils resteront des employés, des exécutants, et seront donc virables à tout moment.
En 86, le contrat avec la maison de disque est arrivé à sa fin, les négociations sont serrées mais on re-signe avec les mêmes.... Avec un gros changement.
Désormais, The Cure, c'est Smith tout seul car Tolhurst, dont la productivité, le professionnalisme et le bon sens suivent une pente effrayante, se voit proposer et signe un contrat annexe. Il devient donc un musicien additionnel, n'a plus son mot à dire sur la musique et le business du groupe. Comme les autres, il est devenu un employé de la société "Smith Music" et peut être viré à tout moment (ce qui arrivera en 89).
Et désormais tout marchera comme ça, The Cure, c'est Smith, Il engage et vire qui il veut quand il veut et Il est le seul à décider de la direction musicale du groupe, du business, des tournées, de tout quoi.
Sampeek
Autant ça lui donnait un certain mystère dans sa jeunesse autant maintenant il a plus l'allure d'une maquerelle calabraise décatie.
kosmix
Ma copine dit : "Une vieille sorcière avec des toiles d'araignées à la place des cheveux"
Je suis entièrement d'accord avec toi, ce pauvre Robert est ridicule et ça ne date malheureusement pas d'hier, ça fait un moment qu'il aurait dû opter pour une coiffure présentable. Tout le monde l'a compris il y a bien longtemps mais non lui il s'obstine a conserver cette vieille tradition curesque pour ne pas décevoir ses fans. Qui du coup sont consternés et un peu tristes pour lui aussi, il est sa propre victime sur ce coup
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 04/11/2025 à 23:37:46 ]
Coramel
That my world has grown old »
Présentez vous sur AudioFanzine
vilak
Dave Gahan semble cadavérique, Marian Gold est un gros plein de soupe, mais sur scène ils comblent leurs fans...
kosmix
Oui vilak évidemment que ça n'a aucune importance, mais quand j'étais ado puis jeune adulte ça en a eu
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 05/11/2025 à 00:10:12 ]
vilak
Après bien sur que je te comprend.
Moi quand j'écoute Forever young, je vois dans ma tête le mec de 30 ans en smoking et nœud papillon du clip avec les chevaux, pas le gros lard d'aujourd'hui dont le pantalon peut craquer à tout moment!
alex.d.
Bonne ambiance ici. Le body shaming se porte bien.
kosmix
Ce n'est que le constat du temps qui passe.
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 05/11/2025 à 02:53:15 ]
Soot_and_Stars
il s'obstine a conserver cette vieille tradition curesque pour ne pas décevoir ses fans. Qui du coup sont consternés et un peu tristes pour lui aussi, il est sa propre victime sur ce coup
Tu leur as demandé aux fans leur avis ?
knult
https://closedmouth19.bandcamp.com/
kosmix
Tu leur as demandé aux fans leur avis ?
Ils peuvent le donner, pas de problème. Et Robert fait ce qu'il veut avec ses cheveux, pas de problème non plus. Mais on a le droit d'avoir un avis aussi, surtout quand ça concerne des choix stylistiques tels que l'apparence vestimentaire, la coiffure et le maquillage, ce n'est pas critiquer le physique, c'est critiquer des choix d'apparence publique. Et quand on s'exhibe en public avec de tels choix il faut bien les assumer. Mon opinion personnelle est que passé un certain âge il y a certaines choses qui ne sont peut-être plus pertinentes, plus adaptées. Quand Robert était jeune et beau j'adorais son style gotico-punk que j'ai moi-même copié hein. Évidemment ça reste un jugement de forme, superficiel, on est d'accord que l'important n'est pas là, c'est du détail scénique, de la contingence liée au show-business, on sait bien comment ça marche. Ce que je regrette c'est que Robert continue à faire persister cette image des années 80 qui constitue son fonds de commerce tout comme il capitalise largement ses vieux succès sur scène, a re-sorti tous ses albums remasterisés avec des bonus inédits, a effectué des remixes ainsi que de nombreux concerts-souvenirs ou hommage. C'est une stratégie commerciale, une image dont il ne peut visiblement pas se défaire, au contraire des autres membres "historiques" du groupe (Gallup, O'Donnell).
Et malgré mon ton railleur qui peut paraître méprisant (mais en fait juste gentiment moqueur) Robert et le groupe (enfin ce qu'il en reste) gardent tout mon respect pour leur contribution artistique jusqu'au milieu des années 90.
Il faut aussi savoir se moquer de ses idoles, prendre un peu de recul et garder un esprit critique. Il faut arrêter de sacraliser tout et n'importe-qui. Robert Smith n'est pas exempt de défauts, c'est pas parce qu'on est fan qu'on doit être aveugle, borné et se braquer dès qu'on remet en question quelque chose à propos d'une star dont on voue un culte bien souvent excessif.
Robert lui-même a affirmé se sentant parfois ridicule sur scène, donc il en a conscience et visiblement il en souffre. À quoi bon continuer alors ? Je pense qu'il a vraiment peur de décevoir ses fans, c'est également une vision superficielle des choses. De toutes façons à chaque fois qu'il s'est coupé les cheveux (80, 85, 92...) ça a fait couler de l'encre, il est clairement prisonnier de son image comme pour sa musique, et comme ses tentatives de changement n'ont jamais vraiment convaincu (cf l'album Wild Mood Swings) il se raccroche à ses valeurs sûres, même si je doute qu'à son âge un changement d'apparence lui serait vraiment préjudiciable en termes de business. Pour la musique par-contre c'est différent, il n'a pas trop le choix, ce sont ses vieux succès qui remplissent les stades...
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
knult
Soot_and_Stars, faut arrêter de te sentir agressé dès qu'on émet un avis qui va pas dans ton sens.
comme le dit kosmix, c'est pas parce qu'on est fan qu'on n'a pas le droit d'avoir le sens critique, c'est pas parce que c'est cure et donc robert smith que c'est forcément génial.
Le look de Smith aujourd'hui (sa coupe, sa dégaine, son maquillage, son surpoids…), ça laisse franchement à désirer et sa musique n'est plus aussi bonne qu'avant, c'est un fait et il faut se faire à l'idée, ça sert à rien de se voiler la face.
Des albums comme pornography, the head, disintegration etc resteront dans l'histoire, pas sûr que ça soit le cas pour le dernier album et les quelques autres qui le précèdent.
Tu sais, nous aussi on est fan des cure hein… mais être fan n'est incompatible avec le fait d'être objectif.
https://closedmouth19.bandcamp.com/
Sampeek
vilak
Robert Smith dans les 90's.
Rendons quand même à César ce qui est à César...
Sampeek
"A l'époque de Pornography, Lol (Tolhurst) composait presqu'à égalité avec moi. c'est ce qui me manque aujourd'hui"
Robert Smith dans les 90's.
Rendons quand même à César ce qui est à César...
Ça serait pas la première fois que RS se contredirait .....
J"avais une bio des Cure en français, un truc qui devait s'appeler " 3 garçons imaginaires " je crois , ça couvrait des débuts à The head . ... Et je me souviens que pour Pornography RS disait à propos des séances en studio : " moi j'essayais de faire un album et les autres faisaient les cons et n'en avaient rien à foutre "
je vais quand même ressortir mes 3 vinyles d'époque pour vérifier si Tolhurst est crédité .
Et j'ai écouté une itvw récente ou RS dit " c'est moi qui compose tout et qui décide, les autres le savent et c'est comme ça " .
[ Dernière édition du message le 05/11/2025 à 17:03:14 ]
vilak
Pour l'interview récent, là oui je le crois sans problème, ça marche comme ça depuis longtemps et tout le monde le sait.
kosmix
En 85 c'est le début de la curemania c'est-à-dire de la popularité mondiale. Robert a trouvé la recette miracle tant au niveau du line-up du groupe que du contenu musical. S'éloignant de la coldwave sans la renier, le groupe acquiert un nouveau public sans perdre sa fanbase historique. Tout le monde est content et ça cartonne jusqu'au début des années 90. C'est après Wish que les vrais ennuis commencent : Porl et Boris s'en vont (Roger est reparti presque aussi vite qu'il était arrivé) et côté inspiration artistique on sent que soit Robert arrive en bout de course (genre il a déjà tout dit) et/ou soit il aspire à de nouveaux horizons musicaux et va donc tenter de nouvelles choses, de nouvelles collaborations et au final nous livre un disque étonnant, déroutant et probablement décevant pour un grand nombre.
Cette volonté de ne jamais faire 2 fois la même chose, Smith l'a toujours eue. Il n'a jamais voulu s'enfermer dans un style et à toujours vu The Cure comme un groupe "ouvert" et éclectique. Malheureusement le talent est rarement universel et si on peut saluer l'effort de renouvellement et d'innovation, le résultat quant à lui n'est pas forcément heureux. Et c'est devenu assez récurrent avec Smith de passer de la dépression à la niaiserie, de l'obscurité à la légèreté, du meilleur au pire... Robert a avoué ses problèmes d'inspiration il y a bien longtemps déjà et force est de constater que ça se ressent à l'écoute des derniers albums. Je ne critique pas le choix (fait trop tardivement à mon avis) de privilégier la scène avec un répertoire majoritairement nostalgique et donc efficace, plutôt que de multiplier des disques au contenu peu inspiré voire indigent. On sent bien que le feu sacré s'est éteint il y a bien longtemps. Même Bloodflowers qui se voulait être un retour aux sources, à l'essence du groupe, fut un triste raté et au final un disque insipide. Le come-back curesque de l'énergie du désespoir n'aura jamais eu lieu, les derniers albums du groupe ne laissent qu'un arrière-goût de rendez-vous manqué.
Tout ceci n'est que mon avis personnel, mon ressenti par-rapport à ce groupe qui a tant marqué ma jeunesse et influencé mon style puis finalement terriblement déçu à partir du fâcheux Wild Mood Swings
Mon classement de curiste :
1. Faith/Carnage Visors
2. Seventeen Seconds
3. Pornography/Charlotte Sometimes/Splintered in her Head
4. Concert The Cure Live/Curiosity-Cure Anomalies
5. The Unavalaible B-sides
6. Disintegration
7. Japanese Whispers (j'ai mis du temps à l'aimer celui-là, il a longtemps été sur ma liste noire)
8. Kiss Me (pas tout)
9. The Head on the Door (pas tout)
10. The Top (pas tout)
11. Wish/Show/Paris
12. Burn/Wrong Number
Et le premier album bien-sûr (+ les singles d'avant 80), que j'aime aussi beaucoup mais que je ne parviens pas à placer dans mon classement tellement le son me semble impersonnel et trop emprunté.
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 05/11/2025 à 17:52:52 ]
Sampeek
Les 3 albums précités étaient parfaits pour aggraver une crise d'adolescence, cette étape passée je n'en ai plus rien eu à cirer de Smith et ses accolytes et je ne sais rien de ce qu'il a produit après kiss me à part plainsong pour le gros son de synthé.
Je me souviens juste qu'il a dit quand il a viré Tolhurst que ce dernier était un batteur nullissime et qu'il était encore plus nul aux claviers ( c'est pas moi qui le contredirai ) .
vilak
Je ne décortique par trop la musique que j'écoute, je me laisse bercer par mon coeur et les émotions que je ressens.
Ces émotions changent les premiers temps puis se figent éternellement.
J'ai détesté Pornography et Faith aux premières écoutes, puis j'ai aimé, et j'aimerais toujours.
Maintenant, avec Youtube et le Mp3, il est d'une rareté folle que j'écoute un album de A à Z, j'en pioche une sur celui-ci, trois sur celui-là et je me laisser bercer par mes envies et mes besoins pendant une heure ou deux.
Mais voici quand même mon top 3 "émotion" :
-Faith
-Diisintegration
-Pornography
knult
je me suis dit : ok là c'est bon, c'est fini.
tout était ultra calibré avec une recette qui fonctionne : l'intro, le tube, le morceau à la con sautillant, le morceau avec les violons et la 12 cordes…
j'ai rien retenu et ça a continué avec les autres albums (idem pour bloodflowers… rien retenu non plus).
elle m'a du coup semblé loin l'époque ou je me crêpais les cheveux… j'avais presque honte de ce qu'était devenu le groupe (je ne reviendrai pas sur l'épisode mixed up qui m'a valu les railleries au lycée… "the cure fait de la techno !!!!") et honte que mon groupe préféré prenne ce virage.
Aujourd'hui, je reste sur les albums que j'aime bien, je suis l'actu du groupe de très loin avec une vague de nostalgie.
Le dernier album ? j'aime la moitié, c'est ce qu'ils ont fait de moins pire depuis wish pour mon goût personnel.
Après les cancans de savoir qui pouvait pas blairer machin ou qui a fait quoi, j'ai passé l'âge
y'a une rumeur comme quoi ils viendraient peut-être ici pour le festival Beauregard (le créateur du festival est un gros fan du groupe) mais même là, je me déplacerai pas pour aller les voir. C'est plus le groupe que j'aimais tant et voir la foule en délire sur "friday i'm in love " ou "why can't i be you", ça va me foutre le moral en l'air
mode vieux con ON : c'était mieux avant.

https://closedmouth19.bandcamp.com/
kosmix
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
[ Dernière édition du message le 05/11/2025 à 18:51:23 ]
knult
j'ai vraiment eu de la chance de les voir pour le prayer tour, c'était tout simplement magique, c'était mon tout premier concert et ça restera gravé à jamais dans ma mémoire. J'étais à à peine 5m de la scène (les grands laissaient le "bébé" passer devant), y'avait une ambiance détendue, limite une grande messe.
j'ai pour ma part l'impression de les avoir vu au moment où ils étaient au top et tout ce que je vois depuis me semble bien fade.
c'est comme ça.
https://closedmouth19.bandcamp.com/
korvan
La dernière fois c’était à Toulouse en 2022, et ça a été au delà de toutes mes attentes.
Entre ces 2 années, j’ai fait d’autres choses…
Plaisir d'offrir, joie de recevoir.
kosmix
y'avait une ambiance détendue, limite une grande messe.
C'est toujours un peu la grand messe avec Robert non ?
Putain Walter mais qu'est-ce que le Vietnam vient foutre là-dedans ?
knult
C'est toujours un peu la grand messe avec Robert non ?
je peux t'assurer que pour le wish tour, l'ambiance était plutôt beauf… rien à voir.
https://closedmouth19.bandcamp.com/
- < Liste des sujets
- Charte

