Daft punk -> Human after all = retour aux sources ?
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Anonyme
Deepy
Avec le respect, tu pourrais gagner un semblant d'intelligence nécessaire à l'esprit critique. Tout ce qui fait quelqu'un d'a peu près respectable en fait! Je t'ai tendu une perche que tu n'as pas saisie afin de recentrer un peu le débat, mais bon si tu préfères en demeurer au conflit stérile et puérile, c'est ton problème, on va pas passer le weekend là-dessus!
Je pense que tout le monde ici aura compris ton opinion, majoritaire, et donc qui ne nécessite aucune formulation assassine digne d'un Brice de Nice
!Comme dirait Mario peace men ...
*Kurt Morrison*
Deepy
Citation : J'ai pas eu ce sentiment moi.
Je pense que tu fais fausse route et que tu te prends la tête tout seul
Bah difficile à comprendre en effet, puisque tu n'as pas aimé l'album
! Sinon, accessoirement quelques personnes se sont comme moi manifestées avant que le thread ne devienne spammé! Je t'invite à relire leur témoignage , courage il n'y a qu'une vingtaine de pages 
!Deepy
Citation : la plupart des morceaux minimaux, enfin ceux que j'écoute, regorgent de petits détails que l'on repère au hasard des écoutes et qui font la richesse et la complexité de ces titres a priori dépouillés
Ca se tient, mais si je peux me permettre d'ajouter un truc sur le sujet! Toi qui te fout des avis des autres, notamment lorsqu'ils portent sur les notions de minimalisme donc, mais aussi de répétiton, d'hypnotisme etc ... lis bien ce qui suit:
Citation : Minimalisme, Postminimalism, Totalism, New Music...
Deux tendances, très perméables, se sont dessinées. Tout d'abord un minimalisme radicale qui focalise ses recherches sur les sons continus, les drones et l'intonation juste (LaMonte Young, Charlemagne Palestine et plus récemment Michael J. Schumacher...). Ensuite un minimalisme "répétitif" (Terry Riley, Steve Reich, Philip Glass, John Adams...) : de courts motifs mélodiques, harmoniques ou rythmiques sont répétés ; d'infimes variations de ces motifs provoquent des effets psychoacoustiques chez l'auditeur, comme bercé, hypnotisé. "In C" composé par Terry Riley en 1964, et enregistré pour Columbia Records en 1968 par David Behrman, est considérée comme l'œuvre fondatrice de ce courant.
Je viens de mater ce site, pas mal du tout, bien documenté plus complet ici
Bon après je connais ton leitmotiv : hors de ta petite personne, tout ce que font ou disent les autres, c'est de la meeeeeeeeeeerrrrrde
...C'est clair qu'avec ce genre d'attitudes systématiques, dans la merde on l'est tous
et jusqu'aux couilles (ah c'est pas ça la formule je crois 
)*Kurt Morrison*
Deepy
Citation : Rhoo ça va c'est toi qui devient déplaisant là serieux
Comme quoi depuis le début je suis resté correct, mais j'essaie de parler le même langage, ça peut marcher
!Allez bonne soirée à tous
!Anonyme
)Deepy
Citation : Bon deepy t'as écouter nos compos au lieu de te faire refourguer un mix par lux (quel VRp ce mec )
Bah oui en fin d'aprem, et j'ai aussi kiffé la tienne de compo! Sérieux, en fait je m'attendais à moins bien
j'ai trouvé ça bien varié, avec des voix comme je les affectionne! Le mix est bien amené, avec une intro bien travaillée et des variations entrainantes! Voilà, faudra que j'écoute plus en détail, je serai peut-être plus précis dans mes impressions 
!Anonyme
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