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Je vous propose de me transformer en star qui fait de la musique pour de l'argent.

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Sujet de la discussion Je vous propose de me transformer en star qui fait de la musique pour de l'argent.
Salut,

Alors voila j'en ai marre d'être au rmi et de faire de la musique qui n'interesse que moi, j'ai donc décidé de faire de la musique pour l'argent vue que dans la vie je ne sais rien faire d'autre que de la musique. J'aimerais donc abordé la musique comme un simple bussiness devenir une star qui n'est pas elle même qui veut juste un gros paquet de pognon pour par la suite être moi même et faire ma zic pourrit tranquille. Je vous propose donc de faire de R-Omega le numéro un du top cinquante. J'ai donc des questions, quel style de musique ? Quelle image donner ? Quelle cible ? etc... Je suis prêt a collaborer avec ceux qui le souhaiterons et qui veulent se faire de la tune et aussi, si ca marche pourcentage pour tous les posteurs. C'est partie !
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481
Hors sujet :
Citation :
Dans deux ou trois ans, les petits labels indés auront disparu. Ils ont besoin du CD pour vivre et le CD est mort.


Je ne partage absolument pas cette opinion.
Pas mal d'indies s'en sortent très bien, sans se soucier de se faire rachter par une major. Loi de Darwin  : ce sont toujours ceux qui ne parviennent pas à s'adapter qui disparaissent.

482
Pas certain qu'on soit vraiment hors sujet Youtou. Pour ce qui est de savoir lesquels auront été victimes de la séléction darwinienne on se revoit dans deux-trois ans. On verra bien qui a raison. Je suis prêt à parier si tu veux

Ex-producteur retraité de la musique en 2016


483
484
Citation :
Je suis prêt à parier si tu veux


Nan mais qu'on ne se méprenne pas : je ne visais personne hein.

Sinon je reste sur ce que j'ai dit : la plupart des labels qui en sont évoluer (cad ne pas limiter leur activité à proposer uniquement catalogue d'albums) s'en sortent relativement bien.
Certains font des activités contingentes à la réalisation d'album (création de sites net en liasion avec les artistes -qu'ils n'ont pas dans leur catalogue-, pressage de cd, organisation évenementielle, etc)

Edit : actuellement, je suis de près une amie ayant un label et expérimentant des circuits de vente directe non traditionnels, faudra d'ailleurs que j'ouvre un thread pour en parler. A court terme son idée cartonne en tout cas.

[ Dernière édition du message le 04/09/2009 à 17:11:43 ]

485
Citation :
Pas mal d'indies s'en sortent très bien, sans se soucier de se faire rachter par une major. Loi de Darwin  : ce sont toujours ceux qui ne parviennent pas à s'adapter qui disparaissent.
exact mais faut quand meme un paquet d'argent
tu peux payer une compo 400e + un chanteur + ou - connu 1000e + un mixage&mastering a 500 + un bon clip a 1500

ca y'est t'a un morceau formaté commercial
cout de l'opé 3400e

mais la faut que ton morceau sois tout de suite partout
faut que le lendemain tu est touché au moins 30.000 personnes (j'exagere mais c'est un peu ca) pour que le bouche a oreille se fasse

pour ca faut plusieurs personne a plein temps qui s'occupe de communiquer avec tous les differents media fr le jour meme

si t'a touché 10.000 personne en 3 mois c'est mort

un tube il se fais souvent dans un laps de temps tres court vis a vis de la com faut que ca aille tres vite
486
Citation :
exact mais faut quand meme un paquet d'argent
tu peux payer une compo 400e + un chanteur + ou - connu 1000e + un mixage&mastering a 500 + un bon clip a 1500

ca y'est t'a un morceau formaté commercial
cout de l'opé 3400e

mais la faut que ton morceau sois tout de suite partout
faut que le lendemain tu est touché au moins 30.000 personnes (j'exagere mais c'est un peu ca) pour que le bouche a oreille se fasse



Hé oui, mais qui te dis qu'un label doive impérativement faire du lourd ? Là jsuis d'accord avec toi : sauf gros coup de bol équivalent au pactole de l'euromillions,  pou un indé faire un single (ou un album) qui se vende à, disons 50 000 exemplaires (et encore là c'est pas gigantesque) c'est impossible.
De toute façon, si un label indie en était à cette situation, le bouche à oreilles entre "pros de la musique" ferait que l'artiste en question serait débauché par les majors, qui ne rechigneraient pas à lui proposer au choix argent, coke et putes.
Avec une artiste féminine c'est plus dur pour la débaucher.

Ceci dit, parfois y de jolies exceptions : le tout pti' label Ici D'ailleurs (situé à Nancy, Est de la France) a connu un succès commercial sans précédent ou presque pour un label indie, grâce à Yann Tiersen et sa BO d'Amélie Poulain.
Ca leur permet, 10 ans apres, de continuer à vivre et refourguer des albums de succès ( et de qualité) inégaux.

[ Dernière édition du message le 04/09/2009 à 17:45:17 ]

487
sans parler de coup de bol

dans l'absolu tous les label veule faire du lourd
ca depends de ce qu'on appel lourd

mais quand t'es responsable d'un label et que ta mis tes bille dedans
t'en a peut etre marre de bosser pour a peine juste payer tes factures

tu peux vendre 300 mixtape d'un artiste ce qui est deja pas mal en sois vue la conjoncture
mais t'a quand meme plus d'ambition que ca

tant que tu perd pas d'argent tu t'instale dans une certaine routine mais dés que t'en perds tu reflechi serieusement à la suite de tes operations
488

Citation :
mais quand t'es responsable d'un label et que ta mis tes bille dedans
t'en a peut etre marre de bosser pour a peine juste payer tes factures



Ha ben il appartient à chacun de se questionner sur son rapport au confort matériel.
A-t-on besoin de rouler en Aston Martin, d'avoir une villa à St Tropez pour être heureux ?
Certains diront que oui, d'autres diront qu'à choisir, ils preferent se la couler douce et rouler en vélo.
489
ouais... mais lui... il parle juste de trouver des rémunérations à la hauteur de son investissement (  financier et temporel )... il ne veut pas philosopher sur les conditions du bonheur...

[ Dernière édition du message le 04/09/2009 à 19:21:43 ]

490
Hors sujet :
Citation :
il parle juste de trouver des rémunérations à la hauteur de son investissement (  financier et temporel )... il ne veut pas philosopher sur les conditions du bonheur...


Dis donc, tu m'excuseras bien, mais "faire du lourd" sous entend quand même s'en mettre plein les poches, ce qui n'est pas indispensable pour un label indie, d'où mon laius.