Le Pub d'AutoProd & Business (Ex - marché du disque c'est la cata!)
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Anonyme
l'heure est grave pour les maisons de disques ! beaucoup d'artistes se font viré , les signature de nouveaux talent sont casi rare et le personnel est licencié peu a peu
LA CAUSE PRINCIPAL SELON 80% DES PRODS = le peer to peer et téléchargements
plus personne ne bouffe , ni les producteurs , ni les distributeurs , ni les maison de disques , et encore moins les artistes auteur compositeur (" />
angoleiro
C'est la solution la plus logique et elle s'imposera avec le temps, par contre en attendant les zicos : bouffez des pates, hummm c bon les pates !!!!
Pour ce qui est de la responsabilisation :
Citation : voir très sceptique sur le bien fondé de responsabiliser les gens sans contrôle ( question de nature humaine sans doute ) surtout dans un pays ou toutes générations et milieux sociaux confondus ça télécharge tranquillement avec quelques condamnations de temps à autre, histoire de.
ne pense tu pas au contraire que cela est la consequence de l'assistanat et de la surveillance systematique. Les gens ne sont plus responsables car ils ont l'habitude d etre policés surveillés, donc a la moindre faille : ils s'engouffrent dedans...
Ceci dit ils faut des controles, mais pas systematiques ou abusifs. Plus comme des gardes fout : ca t'indique un danger, une interdiction mais ca t'empeche pas de sauter ....
Hors sujet : Citation : sur les plates formes des sections "autoproduits" ou l'on peut trouver de bonne base de répartition
t'as des nom de plateforme autoproduits qui vendent du mp3 en 320 ou du wav ? (hip-hop funk, rock...)
Anonyme
angoleiro
tropik
Citation : Maurice RAVEL est né à Ciboure, au Pays Basque en 1875 et décédé en 1937. Il compose en 1928 le Boléro. Ses oeuvres rapportent chaque année environ 1.5 millions d'euros de droits d'auteur. A qui ? A un ancien directeur juridique de la SACEM, Jean-Jacques Lemoine, parti en 1969. Comment ? Par des comptes anonymes dans des paradis fiscaux tels que Monaco, Gibraltar, Amsterdam, les Antilles néerlandaises et les Iles Vierges Britanniques. C'est une bataille juridique qui a duré pendant dix ans. En attendant, les droits d'auteur étaient bloqués à la SACEM.
http://www.revolutionsoundrecords.org/article.php?sid=114
miam miam
Anonyme
les taxes sur dd portables ,clés usb vont augmenter ...comme pour les k7 ...
les fAI remplacent les majors ...
plus ça change plus c'est la même chose ...
Pov Gabou
C'est de loin le truc le plus touffu que j'ai vu dans tout ce debat, en ce qui concerne seulement la musique.
Citation :
Notes sur la traduction: dans l'interview, le terme blanket license est utilise, et je l'ai traduit par license globale, parce que le principe de base est le meme. Cependant, le truc dont on parle dans cette interview n'est pas forcement equivalent sur tous les points a la fameuse license globale qui a ete l'objet des debats il y a un an au parlement en France.
Label n'a pas la meme connotation en francais et en anglais: un label, c'est aussi bien une major qu'un tout petit label, et c'est moins connote qu'en francais.
The big four (les gros 4, litteralement) comprend les 4 grosses major (Universal, Sony-BMG, Warner et Emi), et je l'ai garde dans le texte.
Aussi, le langage est assez familier, j'ai pas fait trop d'effort pour retranscrir correctement le style.
Interview: peu de personnes connaissent l'industrie musicale aussi bien que Peter Jenner. Permier manager de Pink Floyd, puis manager de la carriere solo de Syd Barrett, Jenner s'est aussi occup de T.rex, The Clash, Ian Dury, Disposable Heroes et Billy Bragg - dont il est le manager encore aujourd'hui. Il est egalement le secretaire general du International Music Managers Forum.
Et aujourd'hui, il mache pas ses mots. Les 4 grosses majors sont "baisees", selon lui. Les pris de la musique en ligne sont scandaleux; le consommateur paye la fabrication, distribution - tout le boulot, et il doit encore et encore payer. Les labels doivent selon lui tout externaliser a part les aspects financiers et ceux qui touches aux licenses.
Mais il est tout de meme optimiste, car pour quasiment tous les autres acteurs, que ce soit les labels independantas, les musiciens, les songwriters, les nouveaux entrepreneurs (ndt: to bud, ca veut dire bouture, je sais pas trop comment traduire correctement budding entrepreneurs) voire les fournisseurs internet, le futur sera florissant. Les "Big Four" savent que les jours des DRM (ndt: DRM = Digital right managements, cad en gros les dispositifs anti copie) sont comptes, et que d'ici 2 ou 3 ans, "la plupart des pays" auront un systeme base sur la license globale, avec lequel on pourra echanger gratuitement de la musique pour quelques euros par mois.
Il pense aussi qu'a l'avenir, artists, co-ops (?) et managers investiront d'eux memes dans de nouveaux artistes, et choisiront leur propre equipes marketing.
Jenne organise une conference le 15 novembre a Londres pour discuter de ces questions. Pour une fois, le titre de la conference, "Urgent Blue Sky Debate" (ndt: debat pour un meilleur avenir de l'industrie musical ?) a tenu ses promesses. Plus tot cette annee, la France a ete sur le point de voter une loi legalisant le P2P et mettant en place un systeme base sur la license globale.
Jenner a longuement reflechi sur ces problemes, et a livre ses reflections dans un rapport pour MusicTank (ndt MusicTank est un think tank, cad une srte de lobby defandant certains interets dans l'industrie musicale), rapport disponible en ligne, mais payant. C'est donc avec interet qu'on a discute avec lui de ces problemes.
Dans In the City, tu disais que les responsables des big four ne faisaient plus confiance aux DRM - ils n'y croient plus
Ouais, ils n'y croient pas; plus maintenant.
Et ce fut Sony BMG qui lanca le truc; je veux dire, c'etait quoi cette saloperie de rootkit DRM ? (ndt: Jenner parle ici du rootkit present sur certains cd proteges de Sony; en gros, ca installait un rootkit sur les pcs ou le cd etait introduit, sans poser aucune questions; ce rootkit a ete entre autre responsable de plusieurs virus, et Sony a du rappeler des millions de CD). L'autre facteur determinant, ce fut iTunes - les bug four ont bien vu que les gamins n'aiment pas itunes. Le paiement a l'unite n'a aucun sens pour la vente en ligne. T'as pas envie de payer un dollar pour chaque morceau que tu veux ecouter lorsque tu veux decouvrir de nouveaux trucs.
Ewn plus, les services sont assez pourris. eMusic marche pas trop mal, mais lorsque les autres services "time bombent" (ndt: time bomb refere ici au fait qu'avec les DRM, souvent, il y a une limitation dans le temps. Par exemple, une piste achetee n'est valable tant que t'es inscrit a un service), c'est encore plus chiant que la restriction par machine (ndt: ici, c'est les DRM sur les pistes achetees au travers d'Itunes qui sont evoques; cad qu'on peut pas copier les fichiers musicaux sur plus que 3-4 machines; apres, ils sont plus jouables). Parce qu'en fait, tu te fais voler un truc que tu as achete
Clairement
Et 3 ans apres: "et merde, je dois tout repayer". En gros, tu dois payer deux fois pour la meme chose
Oui, c'est vraiment n'importe quoi. On doit fournir un truc que les gens peuvent garder, et pour lequel ils sont pres a payer 3 dollars par mois.
Alors, encore combien de temps les big four vont continuer cette salade ?
Juste avant, je parlais du mouvemenet de fond dans l'industrie musicale. A In the City, les gens commencent a comprendre qu'ils doivent faire quelque chose. Je pense que d'ici 2 a 3 ans, la plupart des pays aurant un systeme base sur la license globale.
La France a ete sur le point de voter une license dans ce sens
Ouais, et elle s'est faitr descendue au dernier moment - mais ceux qui l'ont descendu se sont fait niquer sur la fin. Ils ont essayer d'eviter d'etre trop impopulaire en disant "si tu pirates, tu paieras genre une amende pour stationement interdit". Mais le conseil d'etat a dit non - si c'est une violation du droit d'auteurm c'est une violation de droit d'auteur, et c'est une putain d'amende.
Alors bien sur, ils (ndt sous entendu les big four) peuvent pas attaquer les gens en justice avec ca; c'est totalement impossible a appliquer, comme loi.
Avec les DRM, je pense qu'ils ont realise que ca ne marche pas. Les gens n'aiment pas les cd, ils arrivent a contourner le truc; ils aiment pas les DRM, ils utilisent pas les services avec DRM; ils ont l'impression de se faire voler
Donc, tu penses qu'une license globale se mettra en place sous l'influence de l'industrie, ou sous l'influence politique, comme en France, ou il y a eu un debat sur le sujet ? Aujourd'hui, ca fait pas vraiment partie du debat politique, ni des sujets des think tank.
Non mais les politiques ont juste besoin d'etre suffisament informes pour qu'ile ne foutent pas tout en l'air, et ils doivent etre encourages dans ce sens. Je pense que ce serait genial si le gvt pouvait enfermer tout le monde dans une salle - l'industrie musical, les syndicats, les artistes, les labels, les fournisseurs internet - et leur dire vous sortez pas avant un accord.
Mais evidemment, ils peuvent pas faire ca, mais je pense qu'on trouvera un moyen d'obtenir le meme resultat.
Tu penses qu'il y a la peur de perdre les canaux de distribution ?
Ils ne controleront plus les canaux de distribution. La license globale est en fait une non license - ca veut juste dire "on vous attaquera pas en justice". Mais si tu as un service commercial qui utilise la musique, alors tu devras payer plus. En gros, on license l'anarchie.
Ce sera interessant de voir ou on tirera la ligne de sepration ca c'est commercial, ca ca l'est pas. Mais a la fin, les chiffres seront tellements gros que ca se fera tout seul. Peut etre qu'un gars d'Angleterre aura vachement de succes en Espagne, mais encore une fois, on s'en fout. Je me fais pas de soucis sur la maniere dont ils vont s'arranger sur la distribution du fric.
Un peu comme les association d'artistes aujourd'hui ? (collecting society, c'est un peu comme la SACEM aux Royaumes Unis)
Oui.
J'ai observe les reactions lorsque le "Value Recognition Right", qui est un premier pas vers ce systeme, a ete votee ici, aux RU. Mais peu de gens ont l'air de comprendre l'enjeu, en particulier sur la relation entre valeur et argent (ndt: Value Recognition Right est une loi qui a ete discutee et votee aux RU, et qui redefinit les regles de droits d'auteurs dans certains cas)
C'etait un premier pas tres important, mais c'etait un peu le bordel. "Value Recognition Right" - ca veut dire quoi, ce truc ? On invente un nouveau droit pour faire payer les gens, mais on continue a attaquer les gens en justice ?
Mais si les compagnies de Telephone mobile et les fournisseurs internet veulent distribuer de la musique de maniere non commerciale, ils doivent payer pour ce droit.
Et si tu promets de ne pas ecouter (ndt sous entendu ici telecharger de la musiuqe au travers de services internet ou telephonie mobile) de musique, tu n'auras pas besoin de payer. Ce sera dur de ne pas payer, et on gardera un oeil sur toi pour voir si tu telecharges rien; et si tu telecharges, alors on te mettra un putain de proces au cul, parce que t'as essayer d'echapper un a bon deal, un peu comme la redevance tele.
C'est nettement moins cher que la redevance
C'est beaucoup plus juste, aussi. Si t'as pas d'ordinateur, que t'as pas internet, que t'as pas de telephone 3e generation.; tu paieras pas.
Ils devaient le faire, je pense, pour mettre fin aux critiques qiu n'ont aucune alternative credible - autre que les artistes doivent faire la manche...
Ceux qui parlent de liberte nous disent qu'on devrait vendre des T shirts pour gagner notre pain; c'est un argument que je trouve particulierment insulant.
Pour moi, qqn qui gagne sa vie de sa musique, c'est une personne en moins a travailler a la chaine ou dans un cubicul
Ben tous ceux qui ecrivent ce genre de trucs on des salaires.
Ou ce sont des profs d'universite americaines qui ont leur tenure (ndt: tenure, c'est le systeme americain pour devenir prof d'universite apres une periode de 7-8 ans en general apres la these/post doct; un prof qui a sa tenure, il a son boulot a vie)
Et ils sont bien payes, merci. Non, clairement, je suis d'accord.
Je pense que le bon cote de la loi "Right Value Recognition" n'a pas ete aborde. En gros, ca definit un espace dans lequel tu vas pas te payer un proces. Tu peux y faire ce que tu veux: decouvrire de nouveauxc trucs, telecharger, etc...
Bref, les Big Four veulent pas abandonner le controle total ?
Disons qu'ils savent qu'ils ont construit leur puissance au travers d'un monopole et de manipulations du marche, et c'est leur argument pour cacher leur incompetence - en pretendant etre les seuls capables d'acheter de nouveaux produits, etc... Ils ont depense beaucoup d'argent pour etablir ce monopole.
Et cela, seulement grace a la distribution, au travers de "black box" (ndt: boite noire, mais je garde le terme en anglais, car en francais, la connotation est pas du tout la meme) et de leur controle du systeme actuel du droit d'auteurs.
==== 2e page =====
Et non seulement ca, mais il y a aussi un sacre sac de noeuds, super complique pour les droits d'auteurs. Ils ont besoin de le changer pour la vente en ligne (ils ont plus besoin
de le changer pour la vente de disque), mais ils ont besoin de dire que c'est pour payer la musique, et que c'est aux artistes de faire appliquer ces droits.
On pourrait avoir une sorte de 'OffRoy', un office des royalties. Quelqu'un garderait un oeil sur le truc pour controler que certains se font pas encule, et qu'il y ait
une sorte d'arbitrage sur le long terme.
Le faire au travers d'un tribunal, c'est trop complique, ca devient du pinaillage. Ce qui se passe aujourd'hui avec les radio, c'est boucher les trous. On perd de l'argent,
ou l'argent est mal redistribute; alors il y a des taxes pour ci ou ca. Mais on peut vivre avec ca; il y a pas un complota, juste un enchainement d'erreurs humaines.
Pour les lecteurs qui n'ont jamais entendu parler des black box, c'est quoi ??
Toute somme d'argent qui arrive au travers d'un paiement collectif, et pour laquelle on sait pas a qui ca appartient pour X raisons, vient dans une black box. Ce que toute
personne appartenant a une "Collection Society" (je rappelle que c'est l'equivalent de la SACEM en Angleterre, grosso modo) pretend ne pas exister. Si tu demandes a Fran (Franck,
de The American Society of Composers, Authors and Publishers, equivalent americain de la SACEM), il te sortira ce magnifique pipo "on n'a pas de black box". Bien sur qu'il a
une black box; meme avec toute la meilleure volonte du monde, tu peux pas distribuer correctement tout le fric. Avec un systeme de license globale, il y aura d;enormes
black boxes, et on devra apprendre a garder l'argent pour une longue duree. Les gens devront apprendre a s'inscrire, et apres, on pourra mettre en place le systeme
pour distribuer le fric de maniere equitable, plutot qu'aux seules personnes qui sont deja dans le systeme. Ca s'est deja produit dans le passe, en fait.
On en parle pas beaucoup - donc personne sait qui en beneficie. Et les gens qui en beneficient n'en parlent pas non plus; c'est pas leur sujet de predilection lors des
conferences de l'industrie. Ils viennent pas en disant "on a nettoye la black box". Ils vont te dire "notre part de marche est fantastique". C'est parce que les black box
sont fonction des parts de marche. C'est un revenu non attribuable, et ca n'a meme pas besoin de venir jusqu'a l'artiste !
En fait, l'industrie reve de boites noires (rires).
Mais maintenant (ndt sous entendu avec la license globale), ca va etre aux mains des associations d'artistes,
ou d'autres intermediaires.
Si c'est du cote de la publication, c'est au moins 50/50, voire 70/30 si t'as un contrat recent (ndt: je pense qu'il veut dire que
50 % voire 70 % va directement dans les black box). Et Ces 50 % sont par recuperables contre avance. C'est comme les PPL; tu as une proportion important du revenu
[les PPL sont les membres des associations d'artistes qui collectent les droits provenant des concerts ou autre distribution de musique au public, et les partagent
entre les ayant droits et artistes]. C'est pas autant que ce qu'ils pretendent que tu vas avoir, mais c'est beaucoup. Et c'est une autre source revenu. Mais c'est
trimerstriel, et ils peuvent pas attendre pour se debarasser de l'argent. Les agences savent que les regulateurs les observent de pres, et peuvent venier "c'est quoi
cette reserve d'argent que vous avesz la ?". L'Union Europeenne les observe de tres pres.
Donc, dans une association d'artistes, alors que l'argent peut se faire voler, c'est de la broutille. C'est comme les pertes dues au vol a l'etalage. Les agences d'artistes sont
des pickpockets, mais les majors sont les vraies cambrioleurs, et les pires sont comme des voleurs a main armee !
Tu mentionais Clive Rich (de SOny BMG) dans ton rapport qui modernisait les contrats d'enregistrement. Mais ca a reduit le pourcentage pour les auteurs compositeurs, non ?
Non, je pense pas. Je pense que ca a empeche la musique en ligne a decoller - mais c'etait beaucoup plus clair, beaucoup plus simple, and clairement un pas dans la bonne
direction. Mais tu vois, a cause de la bourse, ils sont obsedes par les "marges". Si tu parles de marges, tu dois faire les choses completement differement. Ils devraient
parler de leur resultat global et des chiffres de vente, mais ils parlent des "unit margine" parce que c'est
ce que les analystes financiers regardent (ndt: je suis vraiment pas sur de comprendre,
la: en gros, ils reprochent aux analystes financiers de pousser vers la marge par unite vendue, alors que c'est le chiffre d'affaire qui compte ?)
Oui, c'est vrai. C'est une private joke a The Register (ndt: the register est le site qui fait l'interview, et est un site qui discute pas mal de tout ce qui touche a
l'industrie des nouvelles technologies et cie), lorsque qu'on couvre un resultat d'une boite. Les analystes ont ce reflexe pavlovien de toujours demander quelle est
la marge du resultat; meme lorsque les ventes ont baisse de 50 %, ils demandent c'est combien la marge. Mais, eh, le truc qui se passe, c'est la baisse, on s'en fout de la marge trimestrielle dans ce cas !
Ce qui est important, c'est le chiffre d'affaire, merde. C'est clair que la license globale va faire diminuer tes marges par unite vendue. Les labels ont augmente leurs marges
sur les download parce que les couts sont reduit a peau de chagrin. Donc ils ont diminue les royalties des artistes, et augmente leur marge. Mais comme ils ont remplace
un album avec un morceau, ils ont contribue a detruire les discaires; ils sont donc completement baises. Personne n'a dse sympathie pour eux, car ils ont toujours cherche
a avoir de super chiffres dans le court terme - maintenant, Universal essaie de reduire les couts au maximum pour couvrir leur resultat catastrophique, Warner doit faire face
a de putains de dette, EMI essaye desesperement de garder leur action a un prix suffisament haut pour que qqn les rachette; BMG se demande a qui ils vont payer quoi, donc
ils veulent pas se coter en bourse, et Sony est dans une merde pas possible.
Donc ils ont tous essaye de presser jusqu'au dernier centime pour des marges. Donc ils ont baise tout le systeme; tout leur business model est baise, et personne n'a envie
de se prendre la tete pour les sauver.
angoleiro
perso je vais prendre le temps de lire l'original, mais ca confirme pas mal de chose je trouve ...
Anonyme
Pov Gabou
Citation :
Tu pouvais dire caisse noire,
Pas sur que ce soit plus adapte. Black box, ca fait penser a black box / white box, qui se traduit en francais par approche boite noire / boite blanche, qui veut dire en gros que boite noire = systeme aveugle dont tu connais juste la sortie connaissant l'entree.
Apres, la traduction est clairement perfectible, hein
Wolfen
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