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Test d’Izotope Ozone Advanced 11 - Retour du magicien d’Ozone

9/10
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Un seul nouveau module dans Ozone 11 ? Eh bien oui, mais on y trouve bien d’autres choses qui rendent cette nouvelle mouture extrêmement intéressante…

Test d’Izotope Ozone Advanced 11 : Retour du magicien d’Ozone

accueilUn nouvel Ozone est toujours un événe­ment. D’abord parce qu’il squatte sur chaque projet la tranche master de nombreux home studistes comme d’in­gé­nieurs du son, mais aussi parce qu’Izo­tope a pris l’ha­bi­tude de nous surprendre avec des algos nova­teurs qui simpli­fient au quoti­dien les tâches de maste­ring et de pré-maste­ring… Et cette nouvelle version est d’au­tant plus atten­due qu’en vis-à-vis d’un éditeur qui a toujours eu à cœur de propo­ser des logi­ciels « intel­li­gents », de nombreux concur­rents se sont mis à creu­ser dans cette même direc­tion, appor­tant des idées neuves dans un monde toujours trop préoc­cupé par l’ému­la­tion des mêmes vieilles scies. Entre Sonible et sa série Smart, Even­tide et son Spli­tEQ, Waves Factory et son Spectre ou encore Oaksound et son Soothe, on vit en ce moment un âge d’or en termes d’in­no­va­tion logi­cielle. Et c’est sans même parler de la révo­lu­tion IA qui, après ChatGPT, s’in­vite chez Waves, Stein­berg ou Adobe pour abou­tir à des trai­te­ments qu’on pensait impos­sibles il y a encore quelques années… Bref, Izotope a une répu­ta­tion à tenir s’il veut garder son avan­tage sur le marché des suites de maste­ring comme sur celui des suites de restau­ra­tion…

Cette obscure clarté qui tombe des étoi­les…

clarityCela commence par un nouveau module baptisé Clarity et qui, comme l’in­dique son nom, sert à amener de la clarté à un mix, soit de la brillance dans les hauts médiums et les aigus. Izotope n’est pas bien loquace sur la façon dont la chose fonc­tionne (« it adap­ti­vely maxi­mizes the spec­tral power of your tracks », nous dit-on), d’au­tant que pour l’heure, nous n’avons pas accès à la doc du logi­ciel. De ce qu’on en voit, on pour­rait tabler sur un trai­te­ment qui ressemble au Stabi­li­zer ou au Spec­tral Shaper, et qui proba­ble­ment découpe en fines tranches le signal pour les soumettre à un trai­te­ment dyna­mique (on dispose d’ailleurs de réglages d’at­taque et de relâ­che­ment), le tout étant para­mé­trable via un seuil de fréquences à partir duquel commence le trai­te­ment, un contrôle de son dosage, mais surtout un Tillt qui permet d’ar­bi­trer l’équi­libre médium/aigu, sachant que Clarity n’est pas forcé­ment fait pour mettre en valeur les aigus et peut tout à fait servir à les atté­nuer…

Voyez ce que ça donne avec cet extrait et comment Clarity permet de remon­ter les shakers notam­ment…

WAITS­dry
00:0000:23
  • WAITS­dry00:23
  • WAITS­cla­rity00:23

Qu’en dire ? Que cela marche très bien et permet effec­ti­ve­ment de récu­pé­rer dans notre cas de la brillance, de l’air, de la présence sur un mix un peu trop sourd, en gagnant en densité sur le haut du spectre (on n’est pas face à un bête EQ, c’est sûr)… L’ou­til est donc bien­venu et il l’est d’au­tant plus qu’il tient lieu de seul nouveau module de cette version, même si de grosses amélio­ra­tions impactent Ozone dans son ensem­ble…

Banana Split (wou !)

Souve­nez-vous : dans sa version 10, Izotope avait répondu au Gull­foss de Sound­theory avec Stabi­­li­­zer. On ne sera pas étonné du coup que l’édi­teur se soit cette fois inté­ressé à repro­duire une autre inno­va­tion de poids dans le monde de l’au­dio : la sépa­ra­tion tran­si­toire/sustain chère au Spli­tEQ d’Even­tide.

transientsustainDe fait, tous les modules spec­traux et spatiaux disposent désor­mais de cette possi­bi­lité de sépa­rer le signal en tran­si­toires et sustains, en plus des stéréos Droite/Gauche et Milieu/Côtés. Et cela s’avère extrê­me­ment puis­sant car cela permet de faire des choses bien diffi­ciles, voire impos­sibles, à faire autre­ment : garder l’at­taque de cymbales bien compacte tandis qu’on élar­gira leur sustain sur les côtés, atté­nuer les coups de média­tor d’une guitare dans les aigus sans abîmer les graves de la note, etc. Les appli­ca­tions ne manquent pas et déploient un nouveau para­digme dans la façon dont on envi­sage les problèmes comme les trai­te­ments mélio­ra­tifs. C’est à ce point perti­nent que cette seule nouveauté pour­rait justi­fier la mise à jour vers une nouvelle version…

Voyez à titre d’exemple comme on peut faire inhi­ber le bas d’un kick (atté­nua­tion sur la tran­si­toire) au profit de la réson­nance du fut (boos­tée dans son sustain) :

DRUM­Ssus­tran­dry
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  • DRUM­Ssus­tran­dry00:08
  • DRUM­Ssus­tran­wet00:08

Or, ce serait passer encore à côté de choses très inté­res­santes comme l’in­té­gra­tion au plus bas plan dans le logi­ciel du démixa­ge…

Mix dans le master

mixbalanceLa tech­no­lo­gie de démixage est deve­nue courante, permet­tant d’iso­ler plus ou moins propre­ment les Stems dans un titre. Ozone 10 propo­sait d’ailleurs cela avec le compo­sant Master Reba­lance, utile pour rame­ner une partie du mix sur le devant ou au contraire de l’in­hi­ber. Pour­sui­vant dans cette démarche, cette version 11 dispose désor­mais, un plus du compo­sant Master Reba­lance, d’un sélec­teur permet­tant de travailler sur le mix global ou sur la voix, la batte­rie ou l’ins­tru­men­ta­tion seule­ment. Un gadget pour le maste­ring, pensez-vous ? Loin de là si l’on consi­dère qu’on ne peut pas toujours avoir accès aux Stems d’un morceau pour y corri­ger des choses dans le mixage, à plus forte raison quand la source sur laquelle on travaille est un bête enre­gis­tre­ment mono ou stéréo (c’est le cas des premiers disques comme celui de quan­tité d’en­re­gis­tre­ments utili­sés pour le son à l’image). Bref, la fonc­tion, c’est certain, saura se rendre utile dans les cas déses­pé­rés…

deltaMais on s’en­thou­sias­mera aussi pour la nouvelle fonc­tion Delta qui équipe quasi­ment tous les modules de cette version. Grâce à cette dernière, vous pouvez entendre la diffé­rence entre signal traité et signal non traité, histoire de comprendre avec exac­ti­tude ce que fait le plug-in sans vous lais­ser abuser par la visua­li­sa­tion. C’est l’oc­ca­sion de s’aper­ce­voir que telle compres­sion impacte surtout le bas de votre spectre ou que tel trai­te­ment est quasi inau­dible en dépit de ce que vous pensiez. Bref, un ajout bien utile qu’on voudrait voir, avec la compen­sa­tion de gain ou l’en­co­dage M/S, sur tous les plug-ins de trai­te­ment audio du marché, à commen­cer par tous ceux de l’édi­teur : on est assez confiant sur le fait que cela devrait bien­tôt être le cas.

Dans les petites choses qui font plai­sir, on notera d’ailleurs aussi la refonte des inter­faces de Low End Focus, Spec­tral Shaper et Maxi­mi­zer, lesquelles permettent au soft de gagner en cohé­rence sur le plan ergo­no­mique. Et puisqu’on parle de Maxi­mi­zer, qui est sans conteste le module le plus popu­laire d’Ozone, il est à noter que ce dernier a le droit lui aussi à sa petite nouveau­té…

Par dessous…

maximizerOutre sa refonte, Maxmi­zer se dote désor­mais d’un nouveau trai­te­ment pour faire de la compres­sion ascen­dante, upward compres­sion comme l’ap­pellent les anglo­phones. Pour comprendre de quoi si s’agit, un peu de théo­rie s’avère néces­saire. Vous le savez : compres­ser, c’est réduire la dyna­mique d’un signal, soit la diffé­rence entre son niveau le plus fort et son niveau le plus faible. Or, si pour ce faire, on utilise la plupart du temps une compres­sion descen­dante (down­ward compres­sion) pour bais­ser le niveau des pics dépas­sant un certain seuil, on peut tout aussi bien le faire en remon­tant le niveau des sons les plus faibles.

L’avan­tage ? On va de la sorte gagner en volume perçu sans pour autant écra­ser les tran­si­toires du signal, même si, en fonc­tion des cas comme des réglages (un compres­seur ascen­dant, tout comme un compres­seur descen­dant, se règle avec un seuil, un ratio, un temps d’at­taque et un temps de relâ­che­ment), on obtien­dra parfois un trai­te­ment beau­coup moins discret qu’avec une compres­sion descen­dante, capable même de faire remon­ter de la pièce ou du bruit… Voyez ce qu’il advient de cette boucle de batte­rie pour comprendre le trai­te­ment : d’abord la boucle dry, ensuite avec une compres­sion descen­dante, puis une compres­sion montante (voyez comme le son de pièce remonte et pompe), puis les deux mélan­gée :

Drum­sDRY
00:0000:11
  • Drum­sDRY00:11
  • Drum­sDown­ward00:11
  • Drum­sUp­ward00:11
  • Drum­sUp­ward&Down­ward00:11

Pourquoi le propo­ser sur le Maxi­mi­zer ? Parce qu’il permet­tra dans certains cas de gagner en densité sans que tout repose sur le rabo­tage des tran­si­toires. Bref, un outil inté­res­sant proposé ici dans son plus simple appa­reil puisqu’un seul potard nous permet de le doser : pas de réglage de seuil, pas de ratio, pas de temps d’at­taque ni de relâ­che­ment. Ozone s’oc­cupe de tout en vous réclament juste le nombre de dB qu’il doit appliquer à l’aug­men­ta­tion de gain des niveaux faibles (on n’au­rait pas été contre un peu plus de contrôle d’ailleurs, histoire de ne pas se retrou­ver avec des effets de pompages qui peuvent faci­le­ment surve­nir dès qu’on a la main un peu trop lourde). Couplé à la fonc­tion Tran­sient Empha­sis, voilà qui devrait vous permettre de haus­ser le loud­ness de vos mixes sans pour autant trop char­cu­ter les pics de volu­me… Inté­res­sant donc.

Et puis, et puis… Et puis, pour finir, il n’y a pas Frida mais ce bon vieil assis­tant qui a fait une partie du succès d’Ozone, même s’il n’ap­porte toujours pas le café, et qui profite a priori de toutes ces évolu­tions. L’heure est venue de prendre de ses nouvel­les…

Un esprit trop brillant

L’as­sis­tant est depuis bien des années main­te­nant l’une des fonc­tions les plus attrac­tives des logi­ciels Izotope, non qu’il permette de régler les problèmes de mixage, de maste­ring ou de restau­ra­tion tout seul, mais qu’il faci­lite dans bien des cas le travail en sélec­tion­nant une chaîne de trai­te­ment et des préré­glages pouvant être utili­sés comme points de départ. Izotope a d’ailleurs toujours bien pris soin de ne pas trop parler d’IA le concer­nant mais de presets adap­ta­tifs : une nuance qui dit bien ce qu’elle veut dire.

assistantPour cette version 11, l’As­sis­tant fait lui aussi peau neuve, en inté­grant bien plus de réglages globaux que son prédé­ces­seur de la version 10. En marge des genres musi­caux, de la courbe de balance spec­trale et de l’os­cil­lo­scope de Loud­ness flanqués l’un et l’autre d’un bouton de dosage, on dispose désor­mais de plus de contrôles dans la partie droite pour doser les diffé­rents trai­te­ments : Stabi­li­zer Amount, Clarity Amount, Width Match, Dyna­mic Match… et même niveau de la voix ! Rien à dire sur ce tableau de bord bien fichu auquel ne manquera sans doute que le Low End Control…

Quant à savoir si l’as­sis­tant, en regard de sa bonne bouille, s’avère effi­cace, on notera qu’il utilise nette­ment plus d’ou­tils que par le passé, sept modules étant alors solli­ci­tés : un EQ, suivi d’Im­pact, Imager, Clarity, Stabi­li­zer, Dyna­mic EQ et Maxi­mi­zer fermant logique­ment la marche… Pour quel résul­tat ? Eh bien disons que comme son prédé­ces­seur, Ozone 11 aime la brillance, et qu’il l’aime même parfois au point d’être agres­sif dans ce registre. Il faut dire qu’entre le premier égali­seur qui ne se prive pas pour faire de gros boost dans ce secteur, et Clarity puis Stabi­li­zer, les occa­sions de gonfler le haut ne manquent pas… On en vient d’ailleurs à regret­ter que la possi­bi­lité de récla­mer un maste­ring Vintage ne soit plus, depuis Ozone 10, de la partie, de sorte qu’au­cun des trai­te­ments Vintage présents dans le logi­ciel ne soit plus utilisé par l’as­sis­tant… Et c’est bien dommage quand on sait les belles émula­tions de Pultec qu’Izo­tope propose dans son Vintage EQ par exemple, tandis que son simu­la­teur de bande ne démé­rite pas non plus… Bref, le son est réso­lu­ment moderne et je l’ai trouvé, comme dans Ozone 10, souvent trop brillant pour mes goûts person­nels, au point de retou­cher l’EQ de départ, et de commu­ter Stabi­li­zer en atté­nua­teur plutôt qu’en boos­teur… Gardons toute­fois à l’es­prit que c’est exac­te­ment ce qu’Izo­tope préco­nise : partir de la sugges­tion et la bidouiller pour faire sa cuisine comme on l’ai­me…

Reste que le retour d’un menu d’in­ten­tions artis­tiques, comme ne dispo­sait jusqu’en version 9, ne serait pas du luxe, tant du point de vue du spectre que du niveau, Ozone ayant tendance à pous­ser le loud­ness assez loin : fort, brillant, une certaine idée de la moder­nité en somme… Bien sûr les dosages des prin­ci­paux trai­te­ments sont là pour tempé­rer cela, mais je demeure persuadé que le plus intel­li­gent de la bande restant l’uti­li­sa­teur, il serait bon qu’il ait un peu plus la main pour guider l’as­sis­tant en amont de son cali­brage auto­ma­tique…

Ce petit reproche n’est d’ailleurs pas le seul qu’on pour­rait adres­ser au logi­ciel.

En atten­dant Ozone 12

Nous le souli­gnions dans la version 10 : l’aban­don de la version auto­nome du logi­ciel demeure toujours aussi regret­table, certains utili­sa­teurs aimant parti­cu­liè­re­ment le fait de pouvoir bien sépa­rer la phase de mixage de celle de maste­ring tout en ayant une approche plus complète de ce dernier : enchaî­ne­ment des titres, géné­ra­tions d’images DDP ou enco­dages dans diffé­rents formats. On adore­rait surtout qu’au lieu de se cali­brer sur une partie de quelques secondes d’un mix, la plus dense, le soft puisse le comprendre dans son entier, sachant que les trai­te­ments qui sont valables sur le refrain le plus fort d’une chan­son, avec ses sections cuivres, cordes, ses chœurs et ses guitares hurlantes, ne sont pas forcé­ment ceux qui sont perti­nents lors de sa petite intro guitare/voix et que c’est bien pour cela qu’en maste­ring comme en mixage, on recourt aussi à des auto­ma­tions.

Ce serait aussi l’oc­ca­sion de permettre à Ozone d’hé­ber­ger des plug-ins de tierce partie, ce que sa version plug-in pour­rait d’ailleurs égale­ment faire. De la sorte, il devien­drait LA plate­forme idéale suscep­tible de s’adap­ter aux préfé­rences de chacun, tout en accueillant des émula­tions de maté­riels de réfé­rences comme en propose Plugin Alliance par dizaine (et notam­ment les plug-ins Elysia, la satu­ra­tion Black Box, les compres­seurs Shadow Hills ou bx_Town­house Buss Compres­sor pour n’en citer que quelques-uns) ou de nouvelles réfé­rences du son comme Gulfoss (que perso, je n’échan­ge­rais pas contre Stabil­zer, si sympa­thique soit-il dans l’ab­solu), Soothe ou encore les plug-ins de Leap­wing Audio, Acous­tica, Softube, pour n’en citer que quelques éditeurs…

Bref, Ozone a encore une belle marge de progrès devant lui, ce qui n’em­pêche pas cette onzième version de s’avé­rer réel­le­ment enthou­sias­mante à plusieurs titres.

Conclu­sion

Même si sur le papier, cet Ozone 11 ne propose qu’un seul nouveau module, c’est bien une mise à jour inté­res­sante de la suite qui nous est ici propo­sée car en marge de l’ef­fi­cace Clarity, on louera surtout le fait de pouvoir travailler avec une sépa­ra­tion des sons entre tran­si­toires et sustain. Voilà qui change bien des choses tandis que les amélio­ra­tions de l’As­sis­tant comme la fonc­tion Delta rendent Ozone 11 plus agréable et effi­cace que son prédé­ces­seur. Certes, on attend toujours le retour d’une vraie bonne version auto­nome comme la capa­cité d’hé­ber­ger des plug-ins tiers, on aime­rait aussi que revienne la possi­bi­lité de décla­rer des inten­tions esthé­tiques en amorce de l’as­sis­tant pour tempé­rer le goût pour la brillance de l’as­sis­tant, mais force est de consta­ter que le roi est loin d’avoir perdu sa couronne. Ozone demeure en effet à ce jour la plus inté­res­sante boîte à outils qu’on puisse utili­ser pour le maste­ring et le pré-maste­ring parce qu’on y dispose d’une foule d’ou­tils effi­cients dans une inter­face à l’er­go­no­mie et aux fonc­tions bien pensées. On resigne donc pour un an !

Notre avis : 9/10

Award Innovation
Innovation
Award
  • Séparation des transitoires et du sustain des sons : un nouveau paradigme s’ouvre à Ozone
  • Le passage d’un Stem à l’autre en un clic
  • La fonction Delta : ça manquait
  • Le module Clarity très efficace
  • La compression ascendante ouvre de nouvelles perspectives dans Maximizer
  • Amélioration de l’interface de Low End Focus, Spectral Shaper et Maximizer
  • Les nouveaux contrôles sur la page Assistant, bien pratiques
  • Tout ce qu'on adore dans Ozone : un environnement riche et bien pensé, avec du M/S et du multibande à tous les étages, le travail avec les références, la qualité globale des modules dont certains n'ont pas d'équivalent sur le marché, etc.
  • Tendance de l’Assistant à faire des mastering « very loud and very bright », sachant que cette überbrillance fait regretter la disparition du mode Vintage
  • D’ailleurs, aucun module Vintage n’est jamais utilisé par l’Assistant
  • On aimerait bien que revienne la version autonome
  • …ce qui permettrait de gérer les automations
  • On aimerait comme dans RX pouvoir héberger des plug-ins VST tiers
  • Plus de réglages pour l'upward compression, ça ne serait pas du luxe...
Intêret de la mise à jour :
Pays de fabrication : États-Unis

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