Sujet Quels expandeurs pour faire de l'electro house ?
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En fait, probablement pas, et tant mieux, car la diversité des opinions est plus intéressante, et surtout pour quelqu'un qui débute.
L'intérêt, de type investigateur ou même contemplatif (un type qui ferait du son rien que pour l'entendre tellement ça le fait vibrer, pas nécessairement pour le comprendre), ou pour toutes les raisons que l'on a d'aimer les choses que l'on fait, cet intérêt est nécessairement premier. Un type qui se lance dans la photo de paysages se lance là dedans au tout début parce qu'il a un certain intérêt pour les paysages et la photo. C'est ça qui le met en mouvement au tout début, c'est ça qui va le faire s'investir (financièrement et en temps).
Plutôt que le "bon goût", je dirais qu'il faut approcher les premiers sons qu'on construit avec un jugement "j'aime" ou "je n'aime pas", conserver ce qu'on aime et voir comment on a fait pour le construire, se débarrasser de ce qu'on n'aime pas, ou le modifier jusqu'à ce qu'on l'aime. A force de faire ce tri, à la fois, on se crée / on découvre son esthétique personnelle, un "style", et on s'affine l'oreille de telle sorte que l'on sache de plus en plus rapidement ce qui pose problème dans un son, le "ce pourquoi on ne l'aime pas". Le jugement qu'on porte sur ce qu'on crée est aussi en partie construit par les autres, dans les retours "j"aime ceci pas cela" de leur écoute, puisque ça fait franchement plaisir que ce que l'on fait plaise aux autres. C'est la confrontation de deux esthétiques plus ou moins proches, plus ou moins différentes. Même sans le vouloir, on est influencé par le jugement des autres, et c'est là que la composante "bon goût" intervient, leurs conceptions du bon goût: ils vont plus facilement dire "Ah, c'est très bien" ou "Ah, c'est nul" (donc vont renvoyer une idée du bon goût objectivée), que "Ah, ceci me plaît", ou "Ah ceci me déplaît" (donc renvoyer un jugement esthétique personnel et assumé en tant que tel). Mais on ne fait pas écouter ses oeuvres maladroites si vite aux gens
(en tout cas pour ma part). On construit dabord des sons. Ce n'est que plus tard qu'on fait des morceaux, et ce n'est qu'encore plus tard qu'on les présente aux autres. La confiance se construit en même temps que se construisent les sons, si il y en a plus de beaux que de laids. Il y a un "je suis capable de construire de belles choses" qui se crée. C'est ça la naissance de la confiance, pour moi, et elle n'est pas là au tout début tout simplement parce qu'on n'a pas encore de capital d'expériences positives suffisant dans le domaine derrière soi (forcément puisqu'on débute). Une fois que la confiance atteint un certain seuil, on va tout naturellement faire écouter ses créations à ses proches, et certains plus rapidement que d'autres. Deux cas de figure:
1) Si le "vouloir plaire" est plus important que le "vouloir se faire plaisir" (c'est à un niveau presque inconscient et ça ne se limite pas qu'à la musique), bref, si on est plus extraverti qu'introverti, si on est plus tourné vers l'extérieur et la réaction de l'extérieur face à ce qu'on fait que vers l'intérieur de soi et ce qu'on éprouve de ce que l'on fait, l'avis des autres aura tendance à renforcer ou déforcer la confiance. La confiance se construira ou non suivant l'avis des autres. Si trop de personnes jugent que ce qu'on fait est nul, on se dira "Bah, c'est peut-être pas fait pour moi..." et on va arrêter, parce que cela ne nous aura pas apporté ce dont on a besoin: constater que l'on est quelqu'un de bien pour les autres.
2) Si le "vouloir se faire plaisir" prime, si le monde extérieur a peu d'incidences sur notre comportement, si on est plus de type introverti, l'avis des autres aura moins de conséquences (c'est un peu le "rien à foutre de ce qu'il pense, moi ça me plaît" ). Ici, la confiance se construira suivant le degré de paisir que nous procure notre création. Et si ce qu'on fait ne parvient pas à nous toucher, alors même que ceux qui l'écoutent trouvent ça terriblement génial, le capital confiance sera nul et on va également s'arrêter, parce que cela ne nous aura pas apporté ce dont on a besoin: constater que l'on a quelque chose de l'ordre d'une richesse intérieure.
Bah, pour moi, comme je l'ai écrit plus haut, la confiance ne se contrôle pas, elle s'acquiert naturellement ou pas... Par contre, à un certain stade, il est important de savoir se remettre en question, de briser les automatismes, sinon, comme tu dis, on tourne en rond, et ce qui nous plaisait finit par ne plus nous plaire (ou bien ce qui plaisait aux autres finit par ne plus leur plaire...).
Encore une fois, je ne penses pas que de telles pensées se contrôlent. C'est un constat. Le risque est qu'on finisse par le croire et que l'on cesse là les expérimentations, alors que, qui sait, un beau son allait peut-être sortir. Mais si on fait majoritairement du laid, le plaisir n'arrive pas, et sans carburant, le moteur s'éteind.
Bon, ce n'est que ma conception des choses, hein...
A bientôt
Xa
... Et si on le pouvait, ils le seraient également!
Hahaha!
Ouais, Chrilise, pour le moment, j'ai de l'inspiration...
A bientôt
Xa
vanpet
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Anonyme
2650
Vanpet, je ne suis pas du même avis. Je crois que la base, c'est d'être intéressé par le son, et d'un intérêt "investigateur", c'est-à-dire qu'il est source de désir de recherche, de s'informer, d'expérimenter, etc... Et puis c'est tout. Tout ce dont tu parles vient progressivement et naturellement par la suite, à mon sens.
"Avoir bon goût" est très relatif. Je ne suis pas sûr que monsieur ou madame tout le monde, en écoutant Autechre (dans ses compositions les plus abstraites, par exemple), pense que ces compositeurs ont "bon goût"... Et pourtant... Autre exemple, tu prends une personne âgée, tu lui mets un casque avec Aphex Twin (quand il fait du drill and bass) dedans, je ne suis pas sûr qu'elle va balancer la tête (enfin, qui sait).
S'acharner, ça vient petit à petit, à mesure que l'intérêt croît, nourri par les résultats encourageants.
La confiance en soi n'a pas sa place dans le jeu, au début, dans la mesure où on commence à créer des sons pour soi. Ceci dit, elle grandit lorsqu'on perçoit une beauté naissante dans ce que l'on crée... Tout est donc une question d'intérêt et de prendre le temps qui est disponible.
Non, il lui est très difficile d'expliquer sa technique de mix par exemple. Il dit "Chacun fait un peu à sa sauce". Pourtant, il y a quand même des impératifs à respecter (ne pas surcharger des bandes de fréquences par des sons différents, au risque de ne plus rien discerner, par exemple), même si une créativité importante peut se faire à ce moment de la création. Il a également beaucoup de difficulté à expliquer comment il crée un son. Il part souvent de presets qu'il modifie, ne part jamais de 0. Bref, c'est pas un génie, loin de là. Par contre, 
, mais tout ça s'est fait petit à petit (encore une fois). Il a commencé par le mixage, puis il a commencé à composer, puis il s'est dit qu'il pourrait bien proposer un titre à une maison de disque, il a signé, puis dans une plus grosse, etc... Entre le début de sa carrière musicale (deejaying) et sa signature chez Turbo et Systematics, ça lui a pris 15 ans, hein... La moitié de sa vie jusqu'à présent. 
On n'a rien sans rien, et puis l'objectif n'est pas de signer avec des grosses boîtes, de faire du fric, mais bien de se faire plaisir. Si ça plaît à beaucoup de monde, et qu'on se sent les reins de le faire, alors, oui, pourquoi pas. Mais ça ne devrait pas être l'intention première pour se lancer là-dedans...
A bientôt
Xa
"Avoir bon goût" est très relatif. Je ne suis pas sûr que monsieur ou madame tout le monde, en écoutant Autechre (dans ses compositions les plus abstraites, par exemple), pense que ces compositeurs ont "bon goût"... Et pourtant... Autre exemple, tu prends une personne âgée, tu lui mets un casque avec Aphex Twin (quand il fait du drill and bass) dedans, je ne suis pas sûr qu'elle va balancer la tête (enfin, qui sait).
S'acharner, ça vient petit à petit, à mesure que l'intérêt croît, nourri par les résultats encourageants.
La confiance en soi n'a pas sa place dans le jeu, au début, dans la mesure où on commence à créer des sons pour soi. Ceci dit, elle grandit lorsqu'on perçoit une beauté naissante dans ce que l'on crée... Tout est donc une question d'intérêt et de prendre le temps qui est disponible.
Citation : Mais bon, ça doit etre un génie
Non, il lui est très difficile d'expliquer sa technique de mix par exemple. Il dit "Chacun fait un peu à sa sauce". Pourtant, il y a quand même des impératifs à respecter (ne pas surcharger des bandes de fréquences par des sons différents, au risque de ne plus rien discerner, par exemple), même si une créativité importante peut se faire à ce moment de la création. Il a également beaucoup de difficulté à expliquer comment il crée un son. Il part souvent de presets qu'il modifie, ne part jamais de 0. Bref, c'est pas un génie, loin de là. Par contre, Citation : Peut etre qu'il fait que ça tout le journée et toute la nuit aussi
oui, il ne fait pratiquement que ça pendant la journée (c'est son boulot). La nuit, il dort, ou il mixe. C'est clair qu'il y met du temps , mais tout ça s'est fait petit à petit (encore une fois). Il a commencé par le mixage, puis il a commencé à composer, puis il s'est dit qu'il pourrait bien proposer un titre à une maison de disque, il a signé, puis dans une plus grosse, etc... Entre le début de sa carrière musicale (deejaying) et sa signature chez Turbo et Systematics, ça lui a pris 15 ans, hein... La moitié de sa vie jusqu'à présent. On n'a rien sans rien, et puis l'objectif n'est pas de signer avec des grosses boîtes, de faire du fric, mais bien de se faire plaisir. Si ça plaît à beaucoup de monde, et qu'on se sent les reins de le faire, alors, oui, pourquoi pas. Mais ça ne devrait pas être l'intention première pour se lancer là-dedans...A bientôt
Xa
vanpet
361
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Xheindricks > je résumais évidemment fortement ma pensée!
je pense que nous sommes plus ou moins d'accord:
Ce que tu appelle, l'interet investigateur, j'appeller ça s'acharner, ensuite le bon gout est relatif oui, mais il faut en avoir. Des pseudo-autechre, il y en a des millers, il n'y en a qu'un seul qui convainc! Autechre a assez de bon gout pour plaire a un public d'initiés. Je ne suis pas sur que beaucoup de MAOistes aient assez de bon gout ne serait ce que pour plaire à leur propre famille (je parle pour moi en fait
). Mozart ayant tellement de bon gout que son art traverse les siecle et touche un public assez large.
Par contre pour la confiance en soi, je pense qu'il en faut une sacrée dose pour débuter et faire écouter ses oeuvres maladroites aux gens. La confiance il en faut au début, et moins à la fin, sinon on tourne en rond et on devient une grosse tete!
(j'abordais surtout la confiance en soi parce qu'un message précédent disait "je suis une merde"... il faut surtout pas penser ça ou c'est la mort de la créatrivité!)
je pense que nous sommes plus ou moins d'accord:
Ce que tu appelle, l'interet investigateur, j'appeller ça s'acharner, ensuite le bon gout est relatif oui, mais il faut en avoir. Des pseudo-autechre, il y en a des millers, il n'y en a qu'un seul qui convainc! Autechre a assez de bon gout pour plaire a un public d'initiés. Je ne suis pas sur que beaucoup de MAOistes aient assez de bon gout ne serait ce que pour plaire à leur propre famille (je parle pour moi en fait
). Mozart ayant tellement de bon gout que son art traverse les siecle et touche un public assez large.Par contre pour la confiance en soi, je pense qu'il en faut une sacrée dose pour débuter et faire écouter ses oeuvres maladroites aux gens. La confiance il en faut au début, et moins à la fin, sinon on tourne en rond et on devient une grosse tete!
(j'abordais surtout la confiance en soi parce qu'un message précédent disait "je suis une merde"... il faut surtout pas penser ça ou c'est la mort de la créatrivité!)
Anonyme
2650
Citation : je pense que nous sommes plus ou moins d'accord
En fait, probablement pas, et tant mieux, car la diversité des opinions est plus intéressante, et surtout pour quelqu'un qui débute.
L'intérêt, de type investigateur ou même contemplatif (un type qui ferait du son rien que pour l'entendre tellement ça le fait vibrer, pas nécessairement pour le comprendre), ou pour toutes les raisons que l'on a d'aimer les choses que l'on fait, cet intérêt est nécessairement premier. Un type qui se lance dans la photo de paysages se lance là dedans au tout début parce qu'il a un certain intérêt pour les paysages et la photo. C'est ça qui le met en mouvement au tout début, c'est ça qui va le faire s'investir (financièrement et en temps).
Plutôt que le "bon goût", je dirais qu'il faut approcher les premiers sons qu'on construit avec un jugement "j'aime" ou "je n'aime pas", conserver ce qu'on aime et voir comment on a fait pour le construire, se débarrasser de ce qu'on n'aime pas, ou le modifier jusqu'à ce qu'on l'aime. A force de faire ce tri, à la fois, on se crée / on découvre son esthétique personnelle, un "style", et on s'affine l'oreille de telle sorte que l'on sache de plus en plus rapidement ce qui pose problème dans un son, le "ce pourquoi on ne l'aime pas". Le jugement qu'on porte sur ce qu'on crée est aussi en partie construit par les autres, dans les retours "j"aime ceci pas cela" de leur écoute, puisque ça fait franchement plaisir que ce que l'on fait plaise aux autres. C'est la confrontation de deux esthétiques plus ou moins proches, plus ou moins différentes. Même sans le vouloir, on est influencé par le jugement des autres, et c'est là que la composante "bon goût" intervient, leurs conceptions du bon goût: ils vont plus facilement dire "Ah, c'est très bien" ou "Ah, c'est nul" (donc vont renvoyer une idée du bon goût objectivée), que "Ah, ceci me plaît", ou "Ah ceci me déplaît" (donc renvoyer un jugement esthétique personnel et assumé en tant que tel). Mais on ne fait pas écouter ses oeuvres maladroites si vite aux gens
(en tout cas pour ma part). On construit dabord des sons. Ce n'est que plus tard qu'on fait des morceaux, et ce n'est qu'encore plus tard qu'on les présente aux autres. La confiance se construit en même temps que se construisent les sons, si il y en a plus de beaux que de laids. Il y a un "je suis capable de construire de belles choses" qui se crée. C'est ça la naissance de la confiance, pour moi, et elle n'est pas là au tout début tout simplement parce qu'on n'a pas encore de capital d'expériences positives suffisant dans le domaine derrière soi (forcément puisqu'on débute). Une fois que la confiance atteint un certain seuil, on va tout naturellement faire écouter ses créations à ses proches, et certains plus rapidement que d'autres. Deux cas de figure: 1) Si le "vouloir plaire" est plus important que le "vouloir se faire plaisir" (c'est à un niveau presque inconscient et ça ne se limite pas qu'à la musique), bref, si on est plus extraverti qu'introverti, si on est plus tourné vers l'extérieur et la réaction de l'extérieur face à ce qu'on fait que vers l'intérieur de soi et ce qu'on éprouve de ce que l'on fait, l'avis des autres aura tendance à renforcer ou déforcer la confiance. La confiance se construira ou non suivant l'avis des autres. Si trop de personnes jugent que ce qu'on fait est nul, on se dira "Bah, c'est peut-être pas fait pour moi..." et on va arrêter, parce que cela ne nous aura pas apporté ce dont on a besoin: constater que l'on est quelqu'un de bien pour les autres.
2) Si le "vouloir se faire plaisir" prime, si le monde extérieur a peu d'incidences sur notre comportement, si on est plus de type introverti, l'avis des autres aura moins de conséquences (c'est un peu le "rien à foutre de ce qu'il pense, moi ça me plaît" ). Ici, la confiance se construira suivant le degré de paisir que nous procure notre création. Et si ce qu'on fait ne parvient pas à nous toucher, alors même que ceux qui l'écoutent trouvent ça terriblement génial, le capital confiance sera nul et on va également s'arrêter, parce que cela ne nous aura pas apporté ce dont on a besoin: constater que l'on a quelque chose de l'ordre d'une richesse intérieure.
Citation : La confiance il en faut au début, et moins à la fin, sinon on tourne en rond et on devient une grosse tete
Bah, pour moi, comme je l'ai écrit plus haut, la confiance ne se contrôle pas, elle s'acquiert naturellement ou pas... Par contre, à un certain stade, il est important de savoir se remettre en question, de briser les automatismes, sinon, comme tu dis, on tourne en rond, et ce qui nous plaisait finit par ne plus nous plaire (ou bien ce qui plaisait aux autres finit par ne plus leur plaire...).
Citation : "je suis une merde"... il faut surtout pas penser ça ou c'est la mort de la créatrivité!)
Encore une fois, je ne penses pas que de telles pensées se contrôlent. C'est un constat. Le risque est qu'on finisse par le croire et que l'on cesse là les expérimentations, alors que, qui sait, un beau son allait peut-être sortir. Mais si on fait majoritairement du laid, le plaisir n'arrive pas, et sans carburant, le moteur s'éteind.
Bon, ce n'est que ma conception des choses, hein...
A bientôt
Xa
vanpet
361
Posteur·euse AFfamé·e
Membre depuis 17 ans
Si on ne pouvait pas controler nos pensées négatives, les psychothérapeutes seraient tous au chomage!
...
Quoique...
...
Quoique...
chrilise
45
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 17 ans
Tu as été drolement inspiré sur la question Xheindrichs ! 
Anonyme
2650
Citation : Si on ne pouvait pas controler nos pensées négatives, les psychothérapeutes seraient tous au chomage!
... Et si on le pouvait, ils le seraient également!
Hahaha!Ouais, Chrilise, pour le moment, j'ai de l'inspiration...
A bientôt
Xa
chrilise
45
Nouvel·le AFfilié·e
Membre depuis 17 ans
Anonyme
2650
Oui, les deux sont très bien!
A bientôt
xa
A bientôt
xa
xtomix
165
Posteur·euse AFfiné·e
Membre depuis 17 ans
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