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Alors que son Panorama P4 s’est rapidement imposé comme une solution dédiée à Reason incontournable, tout en offrant des possibilités de contrôles génériques, Nektar offre maintenant une intégration complète à Logic Pro. Complète ? Voyons cela.

Aux premiers temps de la luthe­rie élec­tro­nique, les choses étaient assez simples en ce qui concerne les commandes. Rappe­lons d’abord qu’il a fallu le travail du bon Dr Moog pour qu’un clavier CV/Gate (1V par octave) appa­raisse comme inter­face homme-machine, une inter­face que l’on pour­rait défi­nir comme natu­relle, puisqu’­hé­ri­tée d’une longue tradi­tion d’ins­tru­ments à clavier, y compris incluant les premières tenta­tives, Multi­mo­nica, Ondio­line ou Nova­chord pour n’en citer que quelques-unes. Cette inter­face, une fois large­ment adop­tée, n’a pas fait oublier que d’autres solu­tions étaient tout aussi valables, même si peut-être moins pratique pour un résul­tat stric­te­ment tempéré.

Machine de test

MacBook Pro i7
MacPro Xeon 3,2 GHz
OS 10.10.5
Nektar Pano­rama P4
Logic 10.2

En plus de ce clavier, comme évoqué, les choses étaient simples, puisque la plupart du temps le prin­cipe était « un bouton, une fonc­tion ». On avait ainsi un accès immé­diat, et intui­tif, au travail du son, sans passer par quan­tité de menus, de combi­nai­sons de touches, etc. Évidem­ment, cela était possible grâce au côté évident de la synthèse majo­ri­tai­re­ment en vogue, la synthèse sous­trac­tive analo­gique. Mais les choses se sont compliquées avec l’ar­ri­vée du numé­rique, les possi­bi­li­tés de modi­fi­ca­tion et la multi­pli­ca­tion des sources sonores et de leurs modu­la­tions ont vite résulté en des instru­ments offrant quelques boutons, des écrans, et des pages et des pages de menus et sous-menus pour arri­ver à program­mer un son. La complexité de l’in­ter­face, et la perte de son côté intui­tif étaient le prix à payer pour la richesse ainsi offerte. Mais on s’y est fait…

L’ar­ri­vée de l’in­for­ma­tique musi­cale (celle embarquée dans un ordi­na­teur au départ multi­tâche, car les stations de travail type Korg, Yamaha, Kurz­weil et autres ne sont jamais que des ordi­na­teurs dédiés) a encore plus emmené vers des abso­lus sans contrôles hors la souris et le clavier de l’ordi, avant que les construc­teurs ne réagissent et proposent qui des claviers de commande truf­fés de contrô­leurs, qui des surfaces de contrôle offrant faders et rota­tifs. Et dans la conti­nuité de ces déve­lop­pe­ments, des solu­tions propo­sant le meilleur des deux.

On ne parlera pas ici, même si c’est un sujet fonda­men­tal, car capable de modi­fier notre approche de la musique, de sa pratique, des gestes fonda­men­taux utili­sés pour créer un son, des nouvelles surfaces tactiles, des nouveaux contrô­leurs de type Karlax, Seaboard (bien­tôt en test sur votre site favo­ri…) ou de ceux déve­lop­pés par McMil­len, Smith et autres fous furieux de la recherche sur le rapport inter­face homme-machine.

Nouveau venu sur la scène des claviers de commande, Nektar a d’abord fait parler de lui en offrant, en 2012, une solu­tion mêlant clavier et surface de contrôle spéci­fique­ment dédiée à Reason, même si utili­sable par ailleurs de façon géné­rique. En voici une nouvelle décli­nai­son consa­crée à l’usine à gaz d’Apple, Logic Pro, et acces­soi­re­ment à l’ap­pli­ca­tion dédiée au live du même éditeur, Mains­tage. 

Intro­du­cing Nektar Pano­rama P4

Sorti du carton, le clavier en impose, avec ses sept kilos (malgré une construc­tion tout plas­tique), ses 49 touches, son écran TFT couleur (plutôt tri, voire bichrome pour être plus précis), ses molettes rétroé­clai­rées (un rouge qui tranche sur la partie blanche de la façade) et ses nombreux enco­deurs et faders. Si la partie noire de la face avant est plutôt réus­sie, on peut être en revanche moins convaincu par le choix du blanc brillant pour le reste, qui peut se salir très vite. Mais il est clair que le P4 impres­sionne, d’au­tant que ses dimen­sions ne sont pas négli­geables (80 cm pour la plus grande, et 33 cm pour la profon­deur) et que son clavier surélevé rajou­tant à l’im­pact visuel du contrô­leur.

La liste des outils de contrôle est tout aussi impres­sion­nante : deux molettes, un fader ALPS 100 mm moto­risé (flanqué de trois boutons, Fader, Mute et Solo et deux indi­ca­teurs lumi­neux pour l’au­to­ma­tion), 17 rota­tifs sans fin, neuf faders, 12 pads répon­dant à la vélo­cité et à l’af­ter­touch, 11 boutons, plus les 15 répar­tis au-dessus et en dessous de l’écran, et 12 boutons pouvant passer de commandes de trans­port et divers para­mètres à des touches de fonc­tions (de F1 à F11, l’une étant réser­vée au bascu­le­ment de mode Trans­port/Func­tion).

À l’ar­rière, on dispose du bouton d’ali­men­ta­tion, d’une sortie Midi sur Din cinq broches, d’une prise USB type B pour la connexion à l’or­di­na­teur, d’une autre mini-USB dédiée à l’ali­men­ta­tion du fader moto­risé, et de deux entrées sur jack pour pédale d’ex­pres­sion et pédale de sustain. Oui, vous avez bien lu, il faut une alimen­ta­tion pour le fader moto­risé et ses boutons, ce qui oblige à mobi­li­ser un port USB sur l’or­di­na­teur hôte. Atten­tion à bien prendre en compte cette donnée, sous peine de perdre un des avan­tages du clavier, et afin de gérer au mieux ses ports dans le cas d’uti­li­sa­tion d’in­ter­face audio, de clés iLok, Syncro­soft ou autres, de disques durs, etc. sachant que la solu­tion à base de hub n’est pas toujours la plus stable dès que l’on travaille en audio.

Un guide Quick Start, deux câbles USB et un chif­fon de nettoyage sont four­nis, pilotes, docs supplé­men­taires et mises à jour de firm­ware sont quant à eux dispo­nibles sur le site de l’édi­teur, sur lequel il faudra créer un compte et enre­gis­trer son produit.

Un comparo de poids…

Retour du proto­cole de mesure de l’en­voi de la vélo­cité : courbe de réponse à la vélo­cité linéaire (quand c’est possible), neuf lâchers d’un poids de 100 grammes sur la même touche blanche (le bord du poids est à la verti­cale de celui de la touche, le poids est posé sur la touche sans le lais­ser peser, suivi d’un lâcher brusque), puis moyenne des neuf, avec indi­ca­tion des valeurs les plus faibles et plus forte.
Voici les résul­tats. 

Nektar Pano­rama P4 : four­chette 39–51 (moyenne 43).

Et ceux précé­dem­ment mesu­rés :

Le toucher, lesté plutôt que lourd, est assez résis­tant, plus que celui de mon SY99, par exemple. En revanche, il y a une légère diffé­rence d’ac­tion entre touches blanches et touches noires, pas suffi­sam­ment marquée pour être gênante mais suffi­sam­ment présente pour être remarquée.

Master & Comman­der

L’objet du test étant son inté­gra­tion dans Logic (9 ou X, à partir d’OS 10.6), voyons comment cela se passe (même si la plupart des routines pour les autres STAN sont plus ou moins semblables).

On commen­cera par instal­ler les pilotes et éléments néces­saires pour chacun des logi­ciels devant être pilo­tés par le P4, ici d’abord via l’ins­tal­leur Pano­rama_P4_OSX_1.2.3.5.dmg. Il faut aussi effec­tuer la mise à jour du firm­ware si néces­saire. L’étape suivante est la mise en place des outils néces­saires via l’ins­tal­leur Pano­rama_Apple_Support_1.0.5.dmg. Il suffit ensuite d’ou­vrir Logic, de quit­ter la fenêtre Control Surface Setup qui peut s’ou­vrir, d’al­ler dans le menu Logic Pro X>Control Surfaces et de choi­sir Rebuild Defaults. La procé­dure reste donc extrê­me­ment simple.

Préci­sons tout de suite un point impor­tant : aimant le risque, on a testé le Pano­rama P4, en gardant et en utili­sant conjoin­te­ment un Nocturn de Nova­tion et la Logic Remote dispo­nible sur iPad. Et c’est avec éton­ne­ment que l’on a pu consta­ter que tout fonc­tion­nait correc­te­ment, sans problème d’in­ter­fé­rences ou d’in­sta­bi­lité. Il va de soi qu’en cas de doute, tout a été désac­tivé pour ne garder que le Nektar. Et, évidem­ment, il ne faut pas cher­cher à donner des infor­ma­tions contraires au même régla­ge…

Autre point d’im­por­tance, le construc­teur four­nit un dossier compre­nant les assi­gna­tions de para­mètres de plug-ins, à l’at­ten­tion des utili­sa­teurs ne souhai­tant pas prendre de temps à le faire. Pour les autres, une appli­ca­tion permet­tant le remap­ping des para­mètres d’un plug-in, qu’il soit un effet ou un instru­ment, est aussi four­nie, sous le nom de nkPa­no­ra­ma­Lo­gic_Tool (l’ins­tal­leur s’ap­pelle lui Pano­rama Plugin Editor.app.zip). Cette appli­ca­tion, l’équi­valent d’un éditeur de « proper­ties list » (listes de proprié­tés, de préfé­rences) du type Plis­tE­di­tor Pro, permet d’in­ter­ve­nir dans le fichier CSPa­ra­me­te­rOr­der.plist afin de modi­fier l’as­si­gna­tion et l’ordre des para­mètres. Là aussi, surpris de consta­ter que l’in­ter­ac­tion avec Auto­map n’est pas pertur­bée, et que l’on peut assi­gner libre­ment ce que l’on veut où l’on veut pour l’un et l’autre des contrô­leurs.

Bon à savoir : pour être reconnu et donc géré par l’édi­teur fourni avec le Nektar, il faut que l’ins­tru­ment/effet ait un fichier de préfé­rences. Ce n’est pas forcé­ment le cas de tous les logi­ciels de tierce partie (ceux d’Apple/Logic en incluent un d’of­fice). Il suffit alors d’ou­vrir dans Logic le plug-in qui n’ap­pa­raît pas dans la liste scan­née par nkPa­no­ra­ma­Lo­gic_Tool, et de sauve­gar­der le preset en cours à l’ou­ver­ture comme réglage par défaut (Save As Default dans le menu de la barre supé­rieure de l’in­ter­face Logic abri­tant le plug, pas dans le menu du plug lui-même), ce qui aura pour effet de créer le fichier .plist dans le même dossier. On refait ensuite un nouveau scan, et le plug appa­raît dans la liste de l’édi­teur… Le tout peut s’ef­fec­tuer sans avoir à quit­ter quoi que ce soit, Logic, l’édi­teur, l’Au­to­map, la Remote, etc. Très effi­cace et très bien réalisé, bravo, avec cepen­dant une réserve : il faudra sauve­gar­der tous les presets d’usine des plugs tierce partie sous le format .aupre­set (celui géré par le menu de Logic), si l’on veut pouvoir navi­guer via les touches dédiées du P4 (Bank et Patch).

Au cœur de la STAN

L’in­té­gra­tion est parti­cu­liè­re­ment bien pensée, la gestion de Logic s’ef­fec­tuant selon plusieurs modes clai­re­ment iden­ti­fiés et assi­gnés (et l’on peut bascu­ler très faci­le­ment de l’un à l’autre). D’abord les fonc­tions basiques, acces­sibles via les touches de trans­port et de navi­ga­tion, avec bascu­le­ment possible vers d’autres fonc­tions grâce à la touche F-Keys, qui permet d’en­voyer des macros (combi­nai­son de touches, atten­tion, Qwerty, pas Azerty) et à la touche Shift. On bascule par exemple sur le Zoom à la place du Patch.

Ensuite viennent les modes de sélec­tion/affi­chage propre­ment dits : Mixer, Instru­ment, Trans­port et Inter­nal. Le dernier permet de passer en mode Midi géné­rique, afin de prendre le contrôle de tout logi­ciel autre que ceux préas­si­gnés par Nektar. Les deux inter­mé­diaires ne sont pas utili­sés pour Logic (même si Instru­ment reflète certains para­mètres de l’ac­cès que l’on trou­vera dans Mixer, voir plus

Le premier, Mixer, reflè­tera évidem­ment tout ce qui va se passer en termes de créa­tion de pistes, de Bus, d’Aux, de Master, etc. (on peut même utili­ser les filtres de Logic pour l’af­fi­chage). Ce qui est d’abord affi­ché est l’as­si­gna­tion piste/fader/rota­tif/bouton. Par défaut, le fader est assi­gné au volume (qu’il faudra « attra­per », c’est-à-dire que le fader du P4 doit atteindre la posi­tion en cours de celui de la tranche avant d’en­trer en action). Les boutons et potards rota­tif dépendent eux du nombre de pres­sions sur les boutons Toggle. Ainsi le rota­tif peut pilo­ter le Pan ou les huit départs d’ef­fet, et le bouton infé­rieur les Mute, Solo, Record Arm et Select (permet­tant de sélec­tion­ner des canaux sans pistes, par exemple).

Ensuite on trouve des boutons sous l’écran, qui auront une fonc­tion diffé­rente suivant le menu. En mode Mixer, ils gèrent EQ, Sends, Inserts et Smart Controls. Une pres­sion sur EQ ouvre le Chan­nel EQ, et tous les para­mètres sont mappés sur les huit rota­tifs à droite de l’écran, les boutons sous ce dernier se trans­for­mant alors en sélec­teur des types d’EQ/filtres dispo­nibles dans le plug (HP, LP, Hi et Lo Shelf et les quatre para­mé­triques), les para­mètres s’adap­tant à la sélec­tion. Sends permet évidem­ment de régler les départs d’ef­fets, Inserts offre la possi­bi­lité de navi­guer, via le rota­tif Data, dans les diffé­rents plugs dispo­nibles (parfois placés dans un ordre assez incom­pré­hen­sible, telle marque se retrou­vant au milieu des plugs d’une autre marque), grâce aux boutons Slots, Cancel, Load et Page. Pratique, mais parfois un peu long, notam­ment avec des produits type UAD, qui sont tous passés en revue, soient-ils acti­vés ou non. Il est alors parfois plus rapide de reve­nir à l’in­ter­face de Logic même. Smart affiche évidem­ment les réglages prévus par Apple pour ses plugs, tout comme ceux que l’on peut para­mé­trer soi-même (Logic et tierce partie).

Enfin, on trouve un cinquième bouton, Instru­ments, qui reprend l’idée des Inserts pour les instru­ments virtuels, qu’ils soient ceux de Logic ou ceux d’autres éditeurs. Là encore, la navi­ga­tion peut être compliquée suivant le nombre d’ins­tru­ments, sachant que l’on passe parfois de la caté­go­rie AU Instru­ments à celle des AU MIDI-control­led Effects. Mais une fois le plug sélec­tionné et validé, c’est un plai­sir de pouvoir travailler quasi­ment tout de suite avec l’ins­tru­ment, et retrou­ver des réflexes issus du monde analo avec les divers rota­tifs et boutons. On rappelle que l’on gagnera beau­coup à éditer ses propres assi­gna­tions via le logi­ciel fourni, afin de ne pas avoir à navi­guer de page en page, qui peuvent parfois être très nombreuses suivant l’ins­tru­ment/effet sélec­tionné.

 

Bilan

Le construc­teur a réel­le­ment réussi son coup, la solu­tion propo­sée étant diable­ment effi­cace tout en étant d’une très grande simpli­cité à mettre en œuvre. Et si l’on veut aller plus en profon­deur, le logi­ciel d’as­si­gna­tion/modi­fi­ca­tion des para­mètres permet de confi­gu­rer n’im­porte quel plug selon ses désirs (typique­ment pour éviter de navi­guer dans les nombreuses pages pour trou­ver les para­mètres dési­rés et les plus souvent utili­sés).

Quelques petites réserves, notam­ment concer­nant l’af­ter­touch qui ne se comporte pas de façon égale sur les touches blanches et les touches noires et la mobi­li­sa­tion de deux ports USB si l’on veut dispo­ser du fader moto­risé (qui est un réel bonus pour toutes les tâches de mixage).

Si l’on ne dispose d’au­cune solu­tion de contrôle, et que l’on veut un bon clavier, la réponse offerte par les Pano­rama est idéale (impec­cable avec Logic, Mains­tage, Reason, en ce qui concerne ce que l’on a véri­fié ici). On se surprend à ne plus regar­der son écran d’or­di­na­teur et à navi­guer quasi exclu­si­ve­ment dans les menus de l’écran (sauf excep­tion mention­née). Si l’on a déjà un équi­pe­ment dispa­rate, on peut aussi penser… à s’en sépa­rer pour acqué­rir ce tout-en-un déci­dé­ment bien tentant.

8/10
Points forts
  • Conception
  • Qualité de fabrication
  • Nombre de contrôles, faders, rotatifs, etc.
  • Qualité globale du clavier
  • Intégration parfaite
  • Cohabitation possible avec d’autres contrôleurs
  • Qualité des infos sur l’écran
  • Pilotage de l’application ReWire dans la Stan
  • Permet presque de se passer (mais pas tout à fait) de l’écran d’ordi
Points faibles
  • Différence d’action et d’aftertouch entre touches blanches et touches noires
  • Couleur blanche, se salissant facilement
  • Nécessite deux ports USB
  • Navigation dans les menus Instruments et FX parfois fastidieuse

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