Dis moi ce que tu lis.
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Nantho Valentine
4144

Rédacteur·trice
Membre depuis 23 ans
Sujet de la discussion Posté le 24/01/2003 à 18:34:57Dis moi ce que tu lis.

oryjen
17492

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
6271 Posté le 23/03/2020 à 06:34:15
A part Cavanna qui a la sagesse de la fermer, ils sont tous à se pisser dessus cammèmeu!

EDIT: Aux trois sens du terme d'ailleurs

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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 23/03/2020 à 06:34:53 ]

Anonyme
17824

6272 Posté le 23/03/2020 à 08:38:02
Cavanna la fermer ? Il a été le seul à lui dire de la fermer et lui gueuler dessus.
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Anonyme
2071

6273 Posté le 23/03/2020 à 09:59:58
Un Homme Qui Dort de Georges Perec
Un style concis, limite plat, mais ce n'est pas gênant, vu ce qu'il raconte. Ça va très bien avec l'atmosphère et reste "parlant". En outre, c'est un livre court. Faudrait lire, à l'occasion, La Disparition
Un grand joyeux, Perec.
Un style concis, limite plat, mais ce n'est pas gênant, vu ce qu'il raconte. Ça va très bien avec l'atmosphère et reste "parlant". En outre, c'est un livre court. Faudrait lire, à l'occasion, La Disparition
Un grand joyeux, Perec.
1

Al1_24
2087

AFicionado·a
Membre depuis 19 ans
6274 Posté le 23/03/2020 à 14:25:03
L'actualité me donne fort envie de relire Le Fléau de Stephen King.
0
Je ne tolère pas l'intolérance

dana12
17910

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 16 ans
6275 Posté le 24/03/2020 à 09:29:30
Je me suis relu un San Antonio ce week-end, juste pour le fun, le plaisir des mots. Ça faisait super longtemps que j'en avais pas ouvert un !
C'était, pour être précis, Concerto pour porte-jarretelles
voilà
C'était, pour être précis, Concerto pour porte-jarretelles
voilà

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Incrédule sur tout, sceptique sur le reste

Anonyme
2432

6276 Posté le 07/04/2020 à 20:41:43
Relecture pour moi aussi.
L'or de Blaise Cendrars, j'aime ce roman. Magnifique voyage.

L'or de Blaise Cendrars, j'aime ce roman. Magnifique voyage.

2

bara
6949

Membre d’honneur
Membre depuis 21 ans
6277 Posté le 07/04/2020 à 22:50:36
Citation :
L'actualité me donne fort envie de relire Le Fléau de Stephen King.
Je suis en train, même motif...
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Point-virgule
7966

Je poste, donc je suis
Membre depuis 20 ans
6278 Posté le 07/04/2020 à 23:40:44
L'or. 
Le fléau, c'est pas ce coup-ci, c'est la prochaine.

Le fléau, c'est pas ce coup-ci, c'est la prochaine.

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« La vie sans musique est tout simplement une erreur, une fatigue, un exil. », Friedrich Nietzsche. ♫

oryjen
17492

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
6279 Posté le 08/04/2020 à 07:23:24
Absalon, Absalon, de Faulkner.
Raconte l'irruption dans un coin paumé du Sud d'un type sorti de nulle part qui devient en quelques années le grossium du quartier.
L'histoire de sa vie, racontée dans une conversation entre son petit-neveu et son ami d'enfance, nous brosse peu à peu le portrait faulknérien habituel d'un pauvre diable possédé toute sa vie par UNE idée, qu'il ne parvient jamais à maîtriser et qui le dévore totalement.
Hallucinant.
Ce n'est pas un Faulkner facile, comme d'autres plus amusants ou plus directs ("Lumière d'Août", ou "Tandis que j'agonise"): Il y a des très longues descriptions, de très longues phrases durant parfois plus de deux pages, de nombreux retours en arrières, parenthèses emboîtées, etc, visant à faire saisir le ton d'une pensée qui tâtonne et cherche à élucider le point crucial.
Parfois le soir après une journée à bêcher au jardin, ça vous tombe un peu des mains.
Mais l'effet général est grandiose.
On a là le spectacle d'une pensée puissante et attentive à un point extrême aux petits riens qui révèlent la trame sous jacente des choses.
Raconte l'irruption dans un coin paumé du Sud d'un type sorti de nulle part qui devient en quelques années le grossium du quartier.
L'histoire de sa vie, racontée dans une conversation entre son petit-neveu et son ami d'enfance, nous brosse peu à peu le portrait faulknérien habituel d'un pauvre diable possédé toute sa vie par UNE idée, qu'il ne parvient jamais à maîtriser et qui le dévore totalement.
Hallucinant.
Ce n'est pas un Faulkner facile, comme d'autres plus amusants ou plus directs ("Lumière d'Août", ou "Tandis que j'agonise"): Il y a des très longues descriptions, de très longues phrases durant parfois plus de deux pages, de nombreux retours en arrières, parenthèses emboîtées, etc, visant à faire saisir le ton d'une pensée qui tâtonne et cherche à élucider le point crucial.
Parfois le soir après une journée à bêcher au jardin, ça vous tombe un peu des mains.
Mais l'effet général est grandiose.
On a là le spectacle d'une pensée puissante et attentive à un point extrême aux petits riens qui révèlent la trame sous jacente des choses.
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.

JohnnyG
10708

Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 16 ans
6280 Posté le 08/04/2020 à 14:30:34

900 pages de bouquin, si on aime l'auteur c'est que du plaisir...
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[ Dernière édition du message le 08/04/2020 à 14:31:36 ]
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