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Sujet Moi je sais pour qui je vote aux présidentielles de 2007, et toué ?

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Sujet de la discussion Moi je sais pour qui je vote aux présidentielles de 2007, et toué ?
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Et donnedieu donc! :bravo2:

Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.

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Colombo, Nick Drake n'aurait pas voté Bayrou, tu me déçois :|
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Nick Drake , patrick sebastien...Ca se vaut un peu , nan?

Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.

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Nick Drake est mort triste et incompris, moi j'ai choisi de vivre alors je vote à droite, ça se tiens je trouve :noidea: :mrg:
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Citation : Invitée de l'émission "A vous de juger" sur France 2, la candidate socialiste a déclaré avoir repris "toute sa liberté" dans la campagne.

Campagne : Ségolène Royal a admis que la campagne était « difficile ». Elle a reconnu avoir perdu une partie de sa liberté par rapport à l’époque de la primaire socialiste.

Besson : Elle a estimé que les critiques d’Eric Besson à son encontre faisaient partie des « péripéties » de la campagne, des difficultés auxquelles elle devait faire face.

Bayrou : A propos de l’émergence de François Bayrou, Ségolène Royal a estimé pense que les Français « cherchaient ». « Il n’a pas de programme, il l’a dit lui-même », a-t-elle ajouté.

Un nouveau 21 avril ? : « Je n’y crois pas », a lancé la candidate socialiste. « Ce sont les Français qui choisiront mais tout dépend de moi », a-t-elle expliqué.

Ralliement des éléphants : Ségolène Royal a déclaré comprend que les « éléphants » du Parti socialiste aient eu un peu de mal à « faire bloc » autour d’elle. « Aujourd’hui tout le monde est sur le terrain ».

Système des parrainages : « La loi aurait dû être changée avant », a-t-elle lancé, en faisant allusion au ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy, qui n’a pas fait le nécessaire selon elle. Elle a plaidé pour que des candidats ayant recueilli un nombre significatif de voix puissent être présents à l’élection présidentielle.

Gouvernement : Ségolène Royal a dénoncé le caractère « monarchique » du train de vie de l’Etat, mettant en valeur sa propre action en tant que présidente de la région Poitou-Charentes.

Premier ministre : « J’y ai réfléchi, j’ai plusieurs noms en tête », a expliqué la candidate.

Rejet de la politique : « Les Français ne veulent pas être instrumentalisés dans un vote », a estimé la candidate socialiste pour expliquer la désaffection des Français pour la politique. « Ce n’est pas un vote de revanche » au bénéfice des socialistes.

Féminité : « Je porte un regard différent sur la société française », a déclaré Ségolène Royal, « peut-être parce que je suis une femme ». « Le temps des femmes est venu », a-t-elle ajouté.

Banlieues : « Si la droite repasse, les émeutes que l’on a connues dans les banlieues ne seront rien par rapport à celles qui viendront », a-t-elle. « La droite n’est pas capable de répondre à cette attente ».

Chirac/Justice : Favorable à l’indépendance de la justice, elle s’est étonnée que l’information sur la possible convocation du chef de l’Etat par les juges sorte tout de suite. « Je ne suis pas quelqu'un par nature qui ait envie de s'acharner », a déclaré Ségolène Royal. « Je pense que le respect aussi pour la fonction présidentielle aurait mérité un certain délai », a-t-elle ajouté.

Temps de travail/enseignants : « C’est une bonne référence les 35 heures », a estimé Ségolène Royal. « Beaucoup font déjà les 35 heures », a-t-elle ajouté. Un temps de travail total qui inclurait le soutien aux élèves. Elle estime qu’il n’est pas « normal » que certains enseignants aillent faire du soutien scolaire pour des entreprises cotées en bourse. Ségolène Royal s’est engagée à créer des postes dans l’enseignement et notamment à rétablir les 5.000 supprimés récemment, selon elle.

Emploi : Ségolène Royal a réaffirmé son opposition aux délocalisations venant d’entreprises réalisant des bénéfices. Interrogée par un chef d’entreprises, la députée des Deux-Sèvres a déclaré qu’il « fallait que les profits soient équitablement répartis sur la chaîne de production » en s’appuyant sur les PME. Elle a notamment proposé qu’une part des marchés publics leur soit réservée et que les chefs d’entreprise reçoivent des garanties des pouvoirs publics. Elle s'est déclarée en outre «prête à baisser l’impôt sur les bénéfices s’ils sont réinvesti dans l’entreprise».

"Assistanat" : « Je suis contre l’assistanat : aucun soutien ne peut être donné sans contrepartie », a estimé Ségolène Royal, en prônant une « société de la responsabilité ».

Service civil : La présidente de la région Poitou-Charentes s'est dite favorable au caractère obligatoire du service civil qui pourra être échelonné dans le temps et revêtir une dimension militaire de « façon facultative ».

Euthanasie : Après avoir déclaré qu'elle avait elle-même vécu la « fin de vie atroce » d'un de ses proches, la candidate s'est prononcée pour une réouverture du débat sur l'euthanasie, en évoquant la nécessité d'une « décision collégiale au sein du comité d’éthique de l’hôpital ».

Retraites: Interrogée sur le financement des retraites, Ségolène Royal a indiqué qu'elle ne « répondra pas à des questions techniques » et qu'elle « trace les grandes orientations ». Elle a souhaité remettre à plat « les inégalités les plus criantes réalisées » par la réforme du gouvernement Raffarin. Pour ce faire, elle a défendu un nouveau calcul de la durée de cotisation en fonction de la pénibilité des tâches.

Europe : « Je veux que la France revienne à la table de l'Europe », a déclaré la candidate du PS qui entend faire « l'Europe par les preuves » (recherche, environnement...). Elle a également souhaité qu'un référendum sur les institutions soit organisé avant 2009. Quant à la question turque, Ségolène Royal a estimé que « ce serait une erreur de rejeter la Turquie parce que c'est la Turquie ». Selon elle, Ankara « ne remplit pas les conditions aujourd'hui (d'entrée dans l'UE) il faut une pause (dans l'élargissement) pour que l'Europe déjà fonctionne bien ».

Environnement : « Dans les 100 premiers jours, qu'allez-vous faire sur les enjeux climatiques ? », lui a demandé Nicolas Hulot. La candidate a répondu qu’elle nommerait un vice-premier ministre chargé du développement durable, qu’elle prononcerait immédiatement le moratoire sur les OGM et engagerait un débat national sur l'avenir énergétique de la France.

Universités : Ségolène Royal a assuré qu'elle donnera leur autonomie aux universités qui devront en échange lutter contre l'échec, favoriser l'orientation et travailler avec les entreprises. Elle a également défendu des stages obligatoires en entreprises dès le collège.

Culte : Contrairement à Nicolas Sarkozy, sa rivale s'est prononcée contre le financement public des mosquées et la modification de la loi de 1905.

6486
Les stages en entreprise dès le collège, voilà une bonne chose, enfin quelque chose d'intelligent sur l'éducation qui va se répercuter directement dans le monde du travail. Mais ce ne sera peut être pas à échelle électorale, alors ça demande un tant soit peu de renoncement et de convictions vraies qui dépassent la simple satisfaction d'être élu.
http://www.myspace.com/orkestrafishnnoise - Que celui qui n'a pas traversé ne se moque pas de celui qui s'est noyé
6487

Citation : « Ce sont les Français qui choisiront mais tout dépend de moi »




:?!:

http://itunes.apple.com/fr/artist/s.t./id48463807 + http://nicolasreau.bandcamp.com/

6488

Citation : Les stages en entreprise dès le collège, voilà une bonne chose


Clair. Il faut savoir utiliser une photocopieuse très tôt.
C'est important.
6489
:mdr:

Ce qui serait intéressant pour les gamins serait plutôt des stages d'observation et de contact avec le milieu professionnel afin de commencer à y réfléchir petit à petit.

Les élèves rédigeraient un petit rapport sur le travail qu'ils ont suivi, leur vision. Pourquoi pas imaginer leur faire faire une petite recherche sur les différents cursus qui permettent d'y arriver.

Lors de l'épisode du CPE, c'était quelque chose dont on avait parlé il me semble. Le problème n'étant pas forcément les types de contrat de travail mais bel et bien l'orientation à la base. Enormément de gamins font des études parce que c'est ce qu'il faut faire mais ils ne se sont pas posés les bonnes questions.

Peut-être qu'en montant bien ce genre de "stages", cela permettrait une sensiblisation professionnelle à l'amont.
http://www.myspace.com/orkestrafishnnoise - Que celui qui n'a pas traversé ne se moque pas de celui qui s'est noyé
6490
Ouf... :fou:
J'ai cru un instant que ce thread roulait toujours.... :oo: