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Les conneries. publiques !

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Sujet de la discussion Les conneries. publiques !
S'lut !

Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.

A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).

A vos marques... Feu !
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Flag also !
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Pof, je me mets la aussi :clin: ...

Marriage. Beuvrie inimaginable. Fin du marriage, les gens nous saluent : "le pire, c est que vous serez au lit bien apres nous ". On charge. et on decampe. 2 kilometres plus tard : embouteillage. :P: ... vous le voyez venir hein ?... ben, oui, control alcohol :mdr: :mdr: :mdr: ... Arrive la guardia civil a mon niveau (on les connaissaient super bien a force de passer 2 fois par semaines depuis 4 mois). "salut, ils sont bien arroses vos clients aujourd hui... allez, passe par la gauche, je t ouvre le passage". Et donc nous sommes passe devant tout le marriage en rigolant en pensant :" finalement, on sera au lit avant vous..." gniarf, gniarf gniarf :bravo: :mdr: :mdr: :mdr:
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Je connais un taxi, qui a "oublié" son client...

L'histoire se passe en Bretagne, à St-Brieuc...Une station de taxi...vers 13h...Quelqu'un appelle pour avoir un taxi, pour le chercher, dans une commune voisine, pour prendre un train qui part dans 25 minutes...
Le timing est juste, ils appellent un peu tard...
Le taxi, mon papa, part, et galère un peu à trouver l'appartement...il y arrive enfin mais personne ne l'attends...Le radiotéléphone sonne, c'est les clients qui s'impatientent :
"-j'ai appelé pour un taxi mais il n'est toujours pas là...
-Je suis devant la porte, dépèchez-vous...
-J'arrive..."

Deux personnes sortent, un jeune couple; ils se disent au revoir à côté du taxi, "tu m'appelles mon chéri, patati pattata..." , "va p'tet falloir vous magner si vous voulez avoir votre train..."
La porte de derrière s'ouvre, le chauffeur enclenche la première, la porte de derrière se referme, et c'est parti...

Et comme par hazard, le portable du chauffeur sonne...Comme vous le savez surement, les taxis sont des professionnels de la route, et jamais il ne leur arrive d'enfreindre le code de la route, donc il décroche...Il discute de choses et d'autres, et pied au plancher file vers la gare SNCF, à toute vitesse, car je vous rappelle qu'on est à la bourre...
Puis dans le centre ville, arrèté à un feu rouge, il finit par raccrocher, il vérifie l'heure et dit tout haut :

"ça devrait etre juste, mais on devrait l'avoir"
Il cherche dans son rétro à croiser le regard du type mais ne voit rien, il se retourne et bon sang : PERSONNE... juste un sac de sport un peu frippé...
Le téléphone sonne :
"-ReBonjour, le taxi qui est venu prendre mon mari, est parti avec son sac, mais a oublié mon mari..."



Donc demi-tour, train loupé évidemment, et gros chambrage de la part des collègues...

Il a pas fait payé la course quand même; il a ramené le sac. S'est bien entendu excusé, tout en leur expliquant : " Quand vous appelez un taxi pour la gare, n'appelez pas à la dernière minute, parce que, nous on vient de la gare déjà, alors il nous faut prévoir du temps pour faire l'aller-retour...15 minutes+ 15 minutes environ...surtout pour un train, prévoyez large quoi..."


L'histoire pourrait s'arréter là, mais les p'tits jeunes, ils ont vu qu'un autre train part vers 17h30, nickel...
On va appeler en avance quoi...Mais vers 16h30...
"-on voudrais un taxi pour le train de 17h30...
-Dans une heure ???!!??? Rappelez quand vous serez prêts plutôt...
-d'accord..."

Ils ont appelé à 17h15,et le garçon a loupé son train... et payé sa course cette fois-ci...

:??:

Je suis Charlie

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Si ton père était taxi à Saint-Brieuc, il a dû connaître celle-là. En 1990 je pense (j'espère que c'est pas à lui que c'est arrivé).

Dans un bar que je ne nommerai pas, un habitué fin bourré veut rentrer chez lui, mais le patron et quelques autres, on l'engueule : tu vas pas prendre le volant comme ça. On t'appelle un taxi.

Le taxi arrive. Le type a eu le temps de s'enfiler quelques autres verres. Le patron et un autre type le choppent chacun par un aile pour le traîner au taxi (le type tenait plus debout).

Tenant toujours le type, ils ouvrent la porte arrière et commence à enfourne le borracho dans la caisse. Le mec demande alors au chauffeur
"Vous avez de la place pour une pizza et deux caisses de bière ?
- Euh... oui"
Et là, le mec gerbe toute sa soirée sur le siège arrière en cuir du taxi. :surpris:
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Quand t'es taxi, t'en as régulièrement des trucs comme ça...c'est un beau métier... :clin:

Je suis Charlie

31
Le cuir ça se néttoie bien en plus, le tissus c'est la merde...

Je suis Charlie

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Certes ! J'imagine la même chose sur du twead :??:
33
Billyboy, president :bravo: :mdr: :mdr: :mdr: :mdr: ... mon ex beaupere etait taxi. C est a ecrire un livre :bravo: .
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Remarque, assistante sociale, y'en a des belles aussi.

Je ne raconterai pas les plus tristes, mais il y en a de drôles.

Une fois, une collègue de me mère se réfugie dans son bureau prise d'un accès de fou-rire terrible.
Une cliente lui racontait la liste (interminable) de ses malheurs et venait d'ajouter (avec un bon accent breton du terroir) :
"Et en plus, mon mari a essayé de m'électrocuter. Vous étiez pas au courant ?"
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:bravo:
ben oui, classique...

Je suis Charlie

36
Là ou je bossais avant, il y avait une secrétaire : Une pourriture infame qui ne seplaisait qu'a emmerder le monde...
On est dans une administration, un centre de controle technique pour les camions en l'occurence, plein de routiers sympas qui sont la clientèle habituelle. la vielle, comme on l'appelait, la vieille truie aussi tellement l'amour qu'on lui portait était grand, ne supportait pas les odeurs un peu agressives...Genre pas de cafetière dans les bureaux parce que ça l'insupporte... Et un jour, un gros routier arrive, avec un genre de cigare dans la bouche... Elle le repère et tout bas, mais de façon à ce que le gars entende dit " humff, ça sent le tabac ici..."
le gars qui a entendu ne relève pas...
elle remet ça, mais plus directement :
"Monsieur, je ne supporte pas l'odeur du tabac et il est interdit de fumer dans nos locaux..."

Et le mec finit par répondre, avec une délicatesse, et une gentillesse qui sied bien au routier en colère :
"Je t'emmerde moi... je vais te la faire bouffer ma clope, c'est un baton de réglisse pov' conne!!!!!"

Je suis Charlie

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Et celle a l epoque ou les portes d acces a monparnasse s accionnait avec un tapis. le mec court parce qu il veut pas rater son train. Va t en savoir pourquoi, arrive au tapis, il saute... et bien evidemment, la porte ne s ouvre pas et se fracasse la gueule contre la porte :mdr: :mdr: .... heu, le mec, c etait moi :bravo: :mdr:
38
MDR :ptdr: :ptdr: :ptdr: :ptdr: :ptdr: :ptdr:

Ceci est un flag :mrg: :mrg:
Brigade Neurale Mixtape - "Pidouu Pidouu Pidouuuuuuu !!!" Furby Brigade Neurale Le Blog !
39
Nota à l'intention des gens pressés : je les invite à lire de suite sous les pointillés l'histoire drôle (la drôle d'histoire ?) qui est arrivée à l'un de mes amis.

Pour les autres, ça commence comme ça... :
Allez savoir pourquoi, je n'ai jamais aimé les coiffeurs. Bien que je n'en n'aie pas croisé ni aux moeurs étranges ni moulinant de paroles vides, j'en ai toujours eu comme une sorte d'épouvante -laquelle peut remonter à l'enfance, car il semble avéré que tout y remonte-.

Mais cette fois, tournant un clip du lendemain et ne pouvant donc échapper à mon funeste supplice, j'avais pris rendez-vous chez un nommé LEZIER (il est en retraite : no pub') sur les bienveillantes recommandations du chanteur Jean-Claude Annoux et d'un fidèle parmi les fidèles, l'accordéoniste Jo Privat.

Comme quoi tout arrive, allez savoir comment, j'ai sympathisé immédiatement avec ce coiffeur -fou de Brassens, rigoureusement in-col-lable sur le sujet- et, des années plus tard, juste avant qu'il ne prenne sa retraite, il avait invité quelques clients devenus au fil du temps de grands amis -dont je me flatte toujours aujourd'hui de faire encore partie-.

Il m'est impossible de me souvenir de toutes les anecdotes et de l'ambiance que Jean-Claude réunit et distilla en la circonstance de son repas, mais nous avons tous mangé froid tant c'était à s'en tenir les côtes, à en avoir -et nous avions !- vraiment très mal aux mâchoires, c'en était à n'en plus pouvoir reprendre jamais souffle.

L'une cependant m'ayant marquée parmi les dizaines et dizaines d'autres, venons-en aux faits :

-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------

Une vieille dame entre chez Lézier (le coiffeur, donc):
"Bonjour, Monsieur Lézier... vous me remettez ?
"?..."
"Je ne suis plus venue depuis 1971 (soit, notez-le : près de 20 ans plus tôt), parce que votre confrère, Mr X, avait ouvert son salon + près de mon appartement, c'était plus pratique pour moi; mais maintenant qu'il a fermé (et patati...)
"Vous êtes la bienvenue, Madame (et re-patata...), installez-vous.

A cet instant la cliente prend place face à la glace.
Jean-Claude, estimant alors la coiffe en y posant les doigts, en la soupesant :
"Qu'est-ce que je vous fait, Madame ?"
La cliente, sérieuse et d'un trait :
"Ah ben vous m'faites la même chose que la dernière fois" !

Sidérant !



On ne se figure pas le nombre de fois où des gens prirent Lézier en grippe de n'avoir pas consenti à leur signer d'authographe. Il est, il faut le dire, la copie conforme du chanteur Carlos -ce qu'il ne cherche ni à entretenir, ni à fuir-, s'exprime avec autant de bonheur (c'est comme ça que l'avait du reste baptisé Privat : "Bonheur"... Lorsqu'on sait les sobriquets qu'il distribuait sans ambage ni préméditation à son entourage -vielle pipe, crasse-oreille, rat d'égoût, branle-misère, putois, et je vous en épargne- on conviendra que l'ami Lézier, avisé de "Bonheur", avait rudement fait le coup au regard de ses semblables -qui n'étaient pour autant pas des déguelasses-), et Jean-Claude, point supplémentaire, est, tout comme le chanteur, nourri d'une culture et d'un sens de la dérison que j'allais qualifier de presque trop conséquents pour notre époque.

On ne compte donc plus les :
"Mais je voudrais bien, Madame, mais puisque je vous dis que je ne suis pas Carlos !
"Oui, c'est ça... (genre "ces vedettes, elle se foutent du petit peuple"...).
(ce qui l'embêtait -et l'embête toujours- beaucoup eu égard au chanteur, lequel pouvait -et peut encore- passer, du coup, et sans autre filtre que celui de l'a priori, pour un ours piètrement mal léché).


J'ai engagé Lézier à rédiger ses mémoires...
Résolument trop modeste pour son talent, le fera-t-il un jour ?...


C'est du moins tout le... Bonheur que je nous souhaite.


S'lut !
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Hors sujet : Merci 1.000 fois BillyBoy. Elle n'en finit pas de me faire marrer, ton histoire...

On te fait grâce du coup (-coup de grâce ?-) des Italiennes au camping; -j'en

:(((

Hors sujet : de

:mdr:

Hors sujet : - ou il se pourrait bien qu'un jour sur AF on finisse par croire que tu as passé ta vie à (éviter de) la raconter... -.

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Hors sujet : Bah. C'est pas à moi que c'est arrivé le coup des italiennes.
Je me suis contenté de le modérer :mrg:

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Hors sujet : Un jour je pourrait dire : "J'ai connu le type qui a modéré le type qui avait vu des italiennes.... :P:

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Citation : Je me suis contenté de le modérer


Hors sujet : (Association d'idées...).

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Un jour sur mon lieu de vacances, dans une sation balnéaire.

Dimanche vers midi.
Avec mes parents, nous cherchons un resto pour le sacro-saint repas dominical. Il fait beau.
Nous voyons sortir quelques mètres devant nous un monsieur en chemise blanche/pantalon noir qui habite visiblement le coin (il est à pieds et sans sa veste).
Il sort d'un traiteur et porte un énorme plat en inox recouvert de papier alu. Le plat fait facile un mètre de long. En tout état de cause, il rentre chez lui avec l'entrée de son repas pour lui et ses invités.
Et là...
Un discret coup de vent soulève un coin de la feuille d'alu...
Le type lâche le plat d'une main afin de remettre la feuille d'alu en place...
Son énorme plat n'est plus qu'en équilibre sur une seule main...
Et...









Ce qui devait arriver arriva...

















Je revois encore le mec en train de ramasser piteusement ses crustacés & fruits de mer sur le trottoir. On retient à grand-peine un énorme éclat de rire... En même temps on est mal pour lui qui va devoir annoncer ce désastre à sa femme qui n'a sûrement pas prévu une entrée de secours...
On a bien mangé ce Dimanche-là, d'un coeur légér.....
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Tiens, en parlant de ça : celle-ci s'est passée dans un restau réputé de Calais - spécialisé précisément dans les fruits de mer - (fermé depuis).

Clientèle auto-triée sur le volet (vu le prix du couvert), avec le personnel qui va avec -genre tu poses une cendre dans le cendrier qu'il y a trois sbires qui te sautent dessus pour le remplacer...

Enfin bref, nous ( les lauréats d'un concours de chansons qui nous partagions ce "prix" ) en étions à passer notre commande que, vers les cuisines mais bien dans mon champs de vision, je vois un serveur (apparemment expérimenté, mais manifestement récemment embauché ici) qui débarque en grandes pompes, droit et sérieux comme une demie-douzaine de "I", l'allure fière, un énorme plat recouvert d'une cloche en inox porté d'une seule main s'il vous plait, et qui se prend alors les pieds dans un boursouflement du tapis qui mène... aux deux marches qui descendent vers la salle !

Situation -et plat- parfaitement irratrappables. Le gadin du siècle et millénaire derniers : la cloche, le plat, les crustacés et leur livreur qui se barrent dans toutes les directions de la bousole -évitant à grand mal les tables des dîneurs-...

A cette seconde précise, le maître d'hôtel, qui prenait donc notre commande, se retourna, surpris d'un tel vacarme puis continua, imperturbable, de nous présenter sa carte : "nous avons aussi un arrivage de poissons volants"... ECLATS de rires sonores dans ce restau plutôt coincé : c'en était vraiment trop pour nous !...

La clientèle huppée (qui avait fait un peu mine d' "ignorer" le gadin de première du serveur) pour le coup, s'est retournée sur nous, vivement courroucée de notre sonore intervention...

Par moments, j'voudrais encore bien avoir 20 ans...


S'lut !
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Flag PTDR ! C'est magnifiquement narré, un vrai bonheur à lire !
Encore ! Encore ! :ptdr:
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Hors sujet : si on relit attentivement le topic des conneries on stage, on peut trouver quelques infos sur les italiennes du camping... mais bon, on aimerait quand meme bien avoir l'histoire complète...

La Nasa a passé 10 ans et dépensé 12 billions de $ pour fabriquer un stylo fonctionnant en gravité 0... Les russes utilisaient des crayons...
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Hé hé hé !

là y a mythe !

le druide, chouby, billyboy !

la sainte trinité des italiennes en camping.
:clin:

en fait c'était drôle, coquin, vif et plein d'autres choses... mais c'est tellement devenu mythique que si on remettait tout maintenant ce pourrait paraître décevant, au regard du buzz produit.

billy a raison...
:clin:
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Hors sujet : Chapeau : les Italiennes, c'est le mythe errant d'AF...
Mais qui nous fera + de deux mandats...