Sujet Les conneries. publiques !
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22338
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
Sujet de la discussion Posté le 09/02/2006 à 19:15:52Les conneries. publiques !
S'lut !
Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.
A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).
A vos marques... Feu !
Fan assidu des rubriques "les conneries on stage" et autres "en home-studio", j'ai pu remarquer cependant qu'il n'éxiste pas de topic dédié aux anecdotes familiales ou amicales que le destin nous avait pourtant réservées.
Il en est pourtant de croustillantes, et qui divertiront + d'un musicien souhaitant faire... un break.
A cet effet, je propose donc que nous racontions ici toutes nos histoires sans rapport direct avec la musique (genre conneries lors du baptème du petit dernier etc).
A vos marques... Feu !
greg lefonctionnaire
11410
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
31 Posté le 10/02/2006 à 16:16:56
Le cuir ça se néttoie bien en plus, le tissus c'est la merde...
Je suis Charlie
Will Zégal
74799
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
32 Posté le 10/02/2006 à 16:20:19
Certes ! J'imagine la même chose sur du twead
Chouby
3303
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 22 ans
33 Posté le 10/02/2006 à 16:21:50
Billyboy, president ... mon ex beaupere etait taxi. C est a ecrire un livre .
Will Zégal
74799
Will Zégal
Membre depuis 22 ans
34 Posté le 10/02/2006 à 16:25:59
Remarque, assistante sociale, y'en a des belles aussi.
Je ne raconterai pas les plus tristes, mais il y en a de drôles.
Une fois, une collègue de me mère se réfugie dans son bureau prise d'un accès de fou-rire terrible.
Une cliente lui racontait la liste (interminable) de ses malheurs et venait d'ajouter (avec un bon accent breton du terroir) :
"Et en plus, mon mari a essayé de m'électrocuter. Vous étiez pas au courant ?"
Je ne raconterai pas les plus tristes, mais il y en a de drôles.
Une fois, une collègue de me mère se réfugie dans son bureau prise d'un accès de fou-rire terrible.
Une cliente lui racontait la liste (interminable) de ses malheurs et venait d'ajouter (avec un bon accent breton du terroir) :
"Et en plus, mon mari a essayé de m'électrocuter. Vous étiez pas au courant ?"
greg lefonctionnaire
11410
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
35 Posté le 10/02/2006 à 16:28:56
ben oui, classique...
Je suis Charlie
greg lefonctionnaire
11410
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 20 ans
36 Posté le 10/02/2006 à 16:37:20
Là ou je bossais avant, il y avait une secrétaire : Une pourriture infame qui ne seplaisait qu'a emmerder le monde...
On est dans une administration, un centre de controle technique pour les camions en l'occurence, plein de routiers sympas qui sont la clientèle habituelle. la vielle, comme on l'appelait, la vieille truie aussi tellement l'amour qu'on lui portait était grand, ne supportait pas les odeurs un peu agressives...Genre pas de cafetière dans les bureaux parce que ça l'insupporte... Et un jour, un gros routier arrive, avec un genre de cigare dans la bouche... Elle le repère et tout bas, mais de façon à ce que le gars entende dit " humff, ça sent le tabac ici..."
le gars qui a entendu ne relève pas...
elle remet ça, mais plus directement :
"Monsieur, je ne supporte pas l'odeur du tabac et il est interdit de fumer dans nos locaux..."
Et le mec finit par répondre, avec une délicatesse, et une gentillesse qui sied bien au routier en colère :
"Je t'emmerde moi... je vais te la faire bouffer ma clope, c'est un baton de réglisse pov' conne!!!!!"
On est dans une administration, un centre de controle technique pour les camions en l'occurence, plein de routiers sympas qui sont la clientèle habituelle. la vielle, comme on l'appelait, la vieille truie aussi tellement l'amour qu'on lui portait était grand, ne supportait pas les odeurs un peu agressives...Genre pas de cafetière dans les bureaux parce que ça l'insupporte... Et un jour, un gros routier arrive, avec un genre de cigare dans la bouche... Elle le repère et tout bas, mais de façon à ce que le gars entende dit " humff, ça sent le tabac ici..."
le gars qui a entendu ne relève pas...
elle remet ça, mais plus directement :
"Monsieur, je ne supporte pas l'odeur du tabac et il est interdit de fumer dans nos locaux..."
Et le mec finit par répondre, avec une délicatesse, et une gentillesse qui sied bien au routier en colère :
"Je t'emmerde moi... je vais te la faire bouffer ma clope, c'est un baton de réglisse pov' conne!!!!!"
Je suis Charlie
Chouby
3303
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 22 ans
37 Posté le 10/02/2006 à 16:38:58
Et celle a l epoque ou les portes d acces a monparnasse s accionnait avec un tapis. le mec court parce qu il veut pas rater son train. Va t en savoir pourquoi, arrive au tapis, il saute... et bien evidemment, la porte ne s ouvre pas et se fracasse la gueule contre la porte .... heu, le mec, c etait moi
Kik the hypez
2748
Squatteur·euse d’AF
Membre depuis 20 ans
38 Posté le 10/02/2006 à 17:04:50
MDR
Ceci est un flag
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Brigade Neurale Mixtape - "Pidouu Pidouu Pidouuuuuuu !!!" Furby Brigade Neurale Le Blog !
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Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
39 Posté le 10/02/2006 à 23:15:27
Nota à l'intention des gens pressés : je les invite à lire de suite sous les pointillés l'histoire drôle (la drôle d'histoire ?) qui est arrivée à l'un de mes amis.
Pour les autres, ça commence comme ça... :
Allez savoir pourquoi, je n'ai jamais aimé les coiffeurs. Bien que je n'en n'aie pas croisé ni aux moeurs étranges ni moulinant de paroles vides, j'en ai toujours eu comme une sorte d'épouvante -laquelle peut remonter à l'enfance, car il semble avéré que tout y remonte-.
Mais cette fois, tournant un clip du lendemain et ne pouvant donc échapper à mon funeste supplice, j'avais pris rendez-vous chez un nommé LEZIER (il est en retraite : no pub') sur les bienveillantes recommandations du chanteur Jean-Claude Annoux et d'un fidèle parmi les fidèles, l'accordéoniste Jo Privat.
Comme quoi tout arrive, allez savoir comment, j'ai sympathisé immédiatement avec ce coiffeur -fou de Brassens, rigoureusement in-col-lable sur le sujet- et, des années plus tard, juste avant qu'il ne prenne sa retraite, il avait invité quelques clients devenus au fil du temps de grands amis -dont je me flatte toujours aujourd'hui de faire encore partie-.
Il m'est impossible de me souvenir de toutes les anecdotes et de l'ambiance que Jean-Claude réunit et distilla en la circonstance de son repas, mais nous avons tous mangé froid tant c'était à s'en tenir les côtes, à en avoir -et nous avions !- vraiment très mal aux mâchoires, c'en était à n'en plus pouvoir reprendre jamais souffle.
L'une cependant m'ayant marquée parmi les dizaines et dizaines d'autres, venons-en aux faits :
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Une vieille dame entre chez Lézier (le coiffeur, donc):
"Bonjour, Monsieur Lézier... vous me remettez ?
"?..."
"Je ne suis plus venue depuis 1971 (soit, notez-le : près de 20 ans plus tôt), parce que votre confrère, Mr X, avait ouvert son salon + près de mon appartement, c'était plus pratique pour moi; mais maintenant qu'il a fermé (et patati...)
"Vous êtes la bienvenue, Madame (et re-patata...), installez-vous.
A cet instant la cliente prend place face à la glace.
Jean-Claude, estimant alors la coiffe en y posant les doigts, en la soupesant :
"Qu'est-ce que je vous fait, Madame ?"
La cliente, sérieuse et d'un trait :
"Ah ben vous m'faites la même chose que la dernière fois" !
Sidérant !
On ne se figure pas le nombre de fois où des gens prirent Lézier en grippe de n'avoir pas consenti à leur signer d'authographe. Il est, il faut le dire, la copie conforme du chanteur Carlos -ce qu'il ne cherche ni à entretenir, ni à fuir-, s'exprime avec autant de bonheur (c'est comme ça que l'avait du reste baptisé Privat : "Bonheur"... Lorsqu'on sait les sobriquets qu'il distribuait sans ambage ni préméditation à son entourage -vielle pipe, crasse-oreille, rat d'égoût, branle-misère, putois, et je vous en épargne- on conviendra que l'ami Lézier, avisé de "Bonheur", avait rudement fait le coup au regard de ses semblables -qui n'étaient pour autant pas des déguelasses-), et Jean-Claude, point supplémentaire, est, tout comme le chanteur, nourri d'une culture et d'un sens de la dérison que j'allais qualifier de presque trop conséquents pour notre époque.
On ne compte donc plus les :
"Mais je voudrais bien, Madame, mais puisque je vous dis que je ne suis pas Carlos !
"Oui, c'est ça... (genre "ces vedettes, elle se foutent du petit peuple"...).
(ce qui l'embêtait -et l'embête toujours- beaucoup eu égard au chanteur, lequel pouvait -et peut encore- passer, du coup, et sans autre filtre que celui de l'a priori, pour un ours piètrement mal léché).
J'ai engagé Lézier à rédiger ses mémoires...
Résolument trop modeste pour son talent, le fera-t-il un jour ?...
C'est du moins tout le... Bonheur que je nous souhaite.
S'lut !
Pour les autres, ça commence comme ça... :
Allez savoir pourquoi, je n'ai jamais aimé les coiffeurs. Bien que je n'en n'aie pas croisé ni aux moeurs étranges ni moulinant de paroles vides, j'en ai toujours eu comme une sorte d'épouvante -laquelle peut remonter à l'enfance, car il semble avéré que tout y remonte-.
Mais cette fois, tournant un clip du lendemain et ne pouvant donc échapper à mon funeste supplice, j'avais pris rendez-vous chez un nommé LEZIER (il est en retraite : no pub') sur les bienveillantes recommandations du chanteur Jean-Claude Annoux et d'un fidèle parmi les fidèles, l'accordéoniste Jo Privat.
Comme quoi tout arrive, allez savoir comment, j'ai sympathisé immédiatement avec ce coiffeur -fou de Brassens, rigoureusement in-col-lable sur le sujet- et, des années plus tard, juste avant qu'il ne prenne sa retraite, il avait invité quelques clients devenus au fil du temps de grands amis -dont je me flatte toujours aujourd'hui de faire encore partie-.
Il m'est impossible de me souvenir de toutes les anecdotes et de l'ambiance que Jean-Claude réunit et distilla en la circonstance de son repas, mais nous avons tous mangé froid tant c'était à s'en tenir les côtes, à en avoir -et nous avions !- vraiment très mal aux mâchoires, c'en était à n'en plus pouvoir reprendre jamais souffle.
L'une cependant m'ayant marquée parmi les dizaines et dizaines d'autres, venons-en aux faits :
-------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Une vieille dame entre chez Lézier (le coiffeur, donc):
"Bonjour, Monsieur Lézier... vous me remettez ?
"?..."
"Je ne suis plus venue depuis 1971 (soit, notez-le : près de 20 ans plus tôt), parce que votre confrère, Mr X, avait ouvert son salon + près de mon appartement, c'était plus pratique pour moi; mais maintenant qu'il a fermé (et patati...)
"Vous êtes la bienvenue, Madame (et re-patata...), installez-vous.
A cet instant la cliente prend place face à la glace.
Jean-Claude, estimant alors la coiffe en y posant les doigts, en la soupesant :
"Qu'est-ce que je vous fait, Madame ?"
La cliente, sérieuse et d'un trait :
"Ah ben vous m'faites la même chose que la dernière fois" !
Sidérant !
On ne se figure pas le nombre de fois où des gens prirent Lézier en grippe de n'avoir pas consenti à leur signer d'authographe. Il est, il faut le dire, la copie conforme du chanteur Carlos -ce qu'il ne cherche ni à entretenir, ni à fuir-, s'exprime avec autant de bonheur (c'est comme ça que l'avait du reste baptisé Privat : "Bonheur"... Lorsqu'on sait les sobriquets qu'il distribuait sans ambage ni préméditation à son entourage -vielle pipe, crasse-oreille, rat d'égoût, branle-misère, putois, et je vous en épargne- on conviendra que l'ami Lézier, avisé de "Bonheur", avait rudement fait le coup au regard de ses semblables -qui n'étaient pour autant pas des déguelasses-), et Jean-Claude, point supplémentaire, est, tout comme le chanteur, nourri d'une culture et d'un sens de la dérison que j'allais qualifier de presque trop conséquents pour notre époque.
On ne compte donc plus les :
"Mais je voudrais bien, Madame, mais puisque je vous dis que je ne suis pas Carlos !
"Oui, c'est ça... (genre "ces vedettes, elle se foutent du petit peuple"...).
(ce qui l'embêtait -et l'embête toujours- beaucoup eu égard au chanteur, lequel pouvait -et peut encore- passer, du coup, et sans autre filtre que celui de l'a priori, pour un ours piètrement mal léché).
J'ai engagé Lézier à rédiger ses mémoires...
Résolument trop modeste pour son talent, le fera-t-il un jour ?...
C'est du moins tout le... Bonheur que je nous souhaite.
S'lut !
Hit !
22338
Vie après AF ?
Membre depuis 19 ans
40 Posté le 11/02/2006 à 08:27:50
Hors sujet : Merci 1.000 fois BillyBoy. Elle n'en finit pas de me faire marrer, ton histoire...
On te fait grâce du coup (-coup de grâce ?-) des Italiennes au camping; -j'en
Hors sujet : de
Hors sujet : - ou il se pourrait bien qu'un jour sur AF on finisse par croire que tu as passé ta vie à (éviter de) la raconter... -.
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