Comment vous gérez vos femmes ?
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Le conseil de XB, bien que direct, reste frappé sous le coin du bon sens.
Amha la pire truc commun de tous les célibataires blancs de tous les ages et conditions sociales, c'est qu'ils se comportent comme des gros puceaux : plus timides, c'est juste pas possible.
Faut y aller franco et foutre la sauce, si tu la trouves bien c'est à elle qu'il faut le dire, sans le moindre sous-entendu et de façon claire et directe. Et sans être un gros relou pour autant.
dana12
17910
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 15 ans
Incrédule sur tout, sceptique sur le reste
gloglo125
2466
AFicionado·a
Membre depuis 18 ans
Salut à tous,
Étant célibataire au (très) long cours, je poste ici juste pour évoquer mon dernier WE (qui ne devrait, je le crains, pas aboutir à grand-chose), vous me direz si je suis finalement au bon endroit !
Je précise avant tout ne pas m'être emballé en raison de mon inactivité prolongée, cela faisait un bon moment que je cherchais pas à reconstruire une relation.
Contexte: Venant de changer de boulot, je participais ce WE à un dernier voyage organisé par mon ancien CE et, à cette occasion, j'y ai recroisé une collègue d'une autre région pour laquelle j'avais une affection particulière (pas le "raide-dingue-coup-de-foudre-a-notting-hill" non plus, mais suffisamment pour que ça me chiffonne quand même de ne plus la croiser) et dont j'avais des doutes sur le fait que cela soit un tantinet réciproque.
Précision utile: Je suis plutôt jovial-déconneur dans la vie et le boulot, mais dès qu'il s'agit de gérer tout ce qui touche au sentimental, je suis une tanche de première, en étant notamment pas du tout à l'aise en correspondance écrite (pour rédiger une LRAR de mise en demeure dans le cadre d'un projet, par contre, pas de souci !
).
Comme la demoiselle partage cet état d'esprit, nos échanges, quasi-tous verbaux, avec elle ont donc toujours été pleins de piques diverses, plus ou moins appuyées, mais avec toujours ce qui m'apparaissait comme une "ouverture" quand nous abordions occasionnellement des sujets plus personnels de façon sérieuse ("on se vanne beaucoup mais on s'apprécie beaucoup" ou "qui aime bien, châtie bien" pour reprendre un proverbe connu).
Bref, je m'étais convaincu que je profiterai dudit WE pour à minima confirmer ou non la réciprocité et aller plus loin le cas échéant.
Le WE se passe et par un déferlement de circonstances, je ne trouve pas le moyen de me retrouver en tête à tête 5 minutes avec elle de tout le WE et me contente juste donc de lancer quelques perches lors d'échanges rapides (compliments sincères en lieu et place des vacheries habituelles mais en gardant quand même un chouïa d'humour de temps en temps histoire de ne pas plomber le truc). Je finis par me convaincre que c'est donc très mal barré ! A priori, assez éméchée lors de la soirée de samedi en bar-boîte, elle aurait d'ailleurs "fortement sympathisé" avec un autre collègue (je ne l'ai appris que bien après, et il n'y avait pas de signe Dimanche que çà n'ait pas juste été autre chose qu'un emballage alcoolisé de fin de soirée, ni plus ni moins).
Arrive le temps du retour hier APM, et là c'était un florilège (et c'est ce depuis ce moment que je suis dans le flou le plus complet), j'explique :
Nous sommes côte à côte dans la file d'attente de l'embarquement (hasard complet, pour le coup), nous discutons donc un peu (toujours sur le schéma "vanne mais pas que"), et au moment de passer au comptoir, voilà qu'elle me demande d'y aller avec elle parce que (je cite) "[elle] ne retrouve pas son billet".
Ledit billet n'est en fait qu'une pauvre feuille A4 récapitulative envoyée par l'agence de voyages, la simple présentation du passeport au comptoir étant suffisante (chose que savais parfaitement tout en ayant pris l'avion moins de 20 fois dans ma vie!).
Point N°1 : Comme elle est sacrément plus habituée que moi à prendre l'avion, je trouve ça surprenant, mais étant parfois un peu "gaffeuse", je ne relève pas.
On pose nos valises et recevons nos cartes d'embarquement et voilà qu'elle m'envoie "ah mais en fait on se retrouve côte à côte dans l'avion, tu vas me casser les pieds pendant le trajet... " (et j'en passe), je pense donc très fort "Effectivement, en se présentant ensemble au comptoir, on augmente sacrément les chances de voyager côte à côte", mes autres collègues s'étant retrouvés éparpillés dans l'appareil.
Point N°2 : Rejoignant le N°1, je me dis que ça devient bizarre, je ne relève pas en attendant de voir si elle échangera sa place avec l'un ou l'autre de mes collègues ensuite.
On se sépare pour vaquer à nos occupations dans l'aérogare et n'échangeons plus aucun mot pendant une bonne heure, rejoignant différents groupes de collègues.
Arrive l'appel à embarquer, et de nouveau proches dans la file on finit par atteindre nos places dans l'avion. On s'assoit et nous n'en bougerons plus de tout le vol.
Point N°3 : Là, ça commence à faire beaucoup...
Le trajet de 2H se passe, nos échanges (environ une demi-heure) se feront de manière vraiment sincère et sérieuse, notamment concernant son poste et ses doutes sur son avenir dans la boîte, le fait que j'ai démissionné pour cause de raz-le-bol (cf "Agassautaf"), en glissant de temps en temps sur des choses plus personnelles sur les changements qu'on peut faire dans une vie...
Je suis donc à ce moment-là de plus en plus convaincu qu'un truc est possible en plein questionnement sur comment lui faire comprendre que je l'apprécie vraiment beaucoup, ceci avant qu'on se sépare à l'arrivée et que je ne la revoie probablement pas avant plusieurs semaines ou mois voire pas du tout. Compte tenu de mon incapacité à lancer une discussion par messages dans les jours qui suivent, je me dis (et c'est peut-être l'erreur commise) que je vais tout lui déballer plutôt que garder ça pour moi. Au pire il ne se passera rien, et comme on ne se reverra pas, ça ne changera pas grand chose, et au mieux... ben on verra, une chose à la fois !
Et là ça se gâte, nous nous disons très rapidement au revoir, elle doit filer prendre une correspondance avec une autre collègue tandis que je pars pour 3H de voiture avec les miens, encore une fois pas moyen de juste prendre 5 minutes en tête à tête.
J'ai le cerveau en ébullition et je finis par la rappeler sur le parking avant de monter en voiture, en lui disant qu'au delà de nos échanges habituels entre collègues, qu'elle me plaisait beaucoup, que j'aurais évidemment préféré lui dire çà plus tôt dans le WE mais que je voulais pas rester sur un truc aussi flou. Un peu surprise (et surtout en train d'attendre avec la collègue à côté) elle me répond qu'elle ne sait pas trop quoi me répondre. Là c'est un peu le blackout, j'avais marché 150 m dans le parking et ne retrouvais plus mes collègues et je n'ai plus de souvenirs précis des mots mais on finit par se quitter en échangeant un "bon voyage de retour".
Et voilà ou j'en suis depuis hier soir, je n'ai pas eu de ses nouvelles, et je ne parviens pas à m'enlever tout ce bazar de la tête, en me disant, qu'avec le recul, j'aurais peut-être mieux fait de laisser passer, de la SMSer gentiment et de voir venir (mais on est toujours plus malin après qu'avant...), mais ce qui est fait est fait et je ne veux pas laisser moisir le truc, parce que plus j'y pense, plus je me verrai vraiment vivre quelque chose avec elle (et comme je disais, ça ne m'était plus arrivé depuis plusieurs années...) et j'en arrive à être dans l'état suivant :
En conclusion, si vous avez des avis, des conseils ou des baffes à me mettre si vous pensez que j'ai raté le coup, n'hésitez pas ! (merci d'avance
)
Étant célibataire au (très) long cours, je poste ici juste pour évoquer mon dernier WE (qui ne devrait, je le crains, pas aboutir à grand-chose), vous me direz si je suis finalement au bon endroit !
Je précise avant tout ne pas m'être emballé en raison de mon inactivité prolongée, cela faisait un bon moment que je cherchais pas à reconstruire une relation.
Contexte: Venant de changer de boulot, je participais ce WE à un dernier voyage organisé par mon ancien CE et, à cette occasion, j'y ai recroisé une collègue d'une autre région pour laquelle j'avais une affection particulière (pas le "raide-dingue-coup-de-foudre-a-notting-hill" non plus, mais suffisamment pour que ça me chiffonne quand même de ne plus la croiser) et dont j'avais des doutes sur le fait que cela soit un tantinet réciproque.
Précision utile: Je suis plutôt jovial-déconneur dans la vie et le boulot, mais dès qu'il s'agit de gérer tout ce qui touche au sentimental, je suis une tanche de première, en étant notamment pas du tout à l'aise en correspondance écrite (pour rédiger une LRAR de mise en demeure dans le cadre d'un projet, par contre, pas de souci !
).Comme la demoiselle partage cet état d'esprit, nos échanges, quasi-tous verbaux, avec elle ont donc toujours été pleins de piques diverses, plus ou moins appuyées, mais avec toujours ce qui m'apparaissait comme une "ouverture" quand nous abordions occasionnellement des sujets plus personnels de façon sérieuse ("on se vanne beaucoup mais on s'apprécie beaucoup" ou "qui aime bien, châtie bien" pour reprendre un proverbe connu).
Bref, je m'étais convaincu que je profiterai dudit WE pour à minima confirmer ou non la réciprocité et aller plus loin le cas échéant.
Le WE se passe et par un déferlement de circonstances, je ne trouve pas le moyen de me retrouver en tête à tête 5 minutes avec elle de tout le WE et me contente juste donc de lancer quelques perches lors d'échanges rapides (compliments sincères en lieu et place des vacheries habituelles mais en gardant quand même un chouïa d'humour de temps en temps histoire de ne pas plomber le truc). Je finis par me convaincre que c'est donc très mal barré ! A priori, assez éméchée lors de la soirée de samedi en bar-boîte, elle aurait d'ailleurs "fortement sympathisé" avec un autre collègue (je ne l'ai appris que bien après, et il n'y avait pas de signe Dimanche que çà n'ait pas juste été autre chose qu'un emballage alcoolisé de fin de soirée, ni plus ni moins).
Arrive le temps du retour hier APM, et là c'était un florilège (et c'est ce depuis ce moment que je suis dans le flou le plus complet), j'explique :
Nous sommes côte à côte dans la file d'attente de l'embarquement (hasard complet, pour le coup), nous discutons donc un peu (toujours sur le schéma "vanne mais pas que"), et au moment de passer au comptoir, voilà qu'elle me demande d'y aller avec elle parce que (je cite) "[elle] ne retrouve pas son billet".
Ledit billet n'est en fait qu'une pauvre feuille A4 récapitulative envoyée par l'agence de voyages, la simple présentation du passeport au comptoir étant suffisante (chose que savais parfaitement tout en ayant pris l'avion moins de 20 fois dans ma vie!).
Point N°1 : Comme elle est sacrément plus habituée que moi à prendre l'avion, je trouve ça surprenant, mais étant parfois un peu "gaffeuse", je ne relève pas.
On pose nos valises et recevons nos cartes d'embarquement et voilà qu'elle m'envoie "ah mais en fait on se retrouve côte à côte dans l'avion, tu vas me casser les pieds pendant le trajet... " (et j'en passe), je pense donc très fort "Effectivement, en se présentant ensemble au comptoir, on augmente sacrément les chances de voyager côte à côte", mes autres collègues s'étant retrouvés éparpillés dans l'appareil.
Point N°2 : Rejoignant le N°1, je me dis que ça devient bizarre, je ne relève pas en attendant de voir si elle échangera sa place avec l'un ou l'autre de mes collègues ensuite.
On se sépare pour vaquer à nos occupations dans l'aérogare et n'échangeons plus aucun mot pendant une bonne heure, rejoignant différents groupes de collègues.
Arrive l'appel à embarquer, et de nouveau proches dans la file on finit par atteindre nos places dans l'avion. On s'assoit et nous n'en bougerons plus de tout le vol.
Point N°3 : Là, ça commence à faire beaucoup...
Le trajet de 2H se passe, nos échanges (environ une demi-heure) se feront de manière vraiment sincère et sérieuse, notamment concernant son poste et ses doutes sur son avenir dans la boîte, le fait que j'ai démissionné pour cause de raz-le-bol (cf "Agassautaf"), en glissant de temps en temps sur des choses plus personnelles sur les changements qu'on peut faire dans une vie...
Je suis donc à ce moment-là de plus en plus convaincu qu'un truc est possible en plein questionnement sur comment lui faire comprendre que je l'apprécie vraiment beaucoup, ceci avant qu'on se sépare à l'arrivée et que je ne la revoie probablement pas avant plusieurs semaines ou mois voire pas du tout. Compte tenu de mon incapacité à lancer une discussion par messages dans les jours qui suivent, je me dis (et c'est peut-être l'erreur commise) que je vais tout lui déballer plutôt que garder ça pour moi. Au pire il ne se passera rien, et comme on ne se reverra pas, ça ne changera pas grand chose, et au mieux... ben on verra, une chose à la fois !
Et là ça se gâte, nous nous disons très rapidement au revoir, elle doit filer prendre une correspondance avec une autre collègue tandis que je pars pour 3H de voiture avec les miens, encore une fois pas moyen de juste prendre 5 minutes en tête à tête.
J'ai le cerveau en ébullition et je finis par la rappeler sur le parking avant de monter en voiture, en lui disant qu'au delà de nos échanges habituels entre collègues, qu'elle me plaisait beaucoup, que j'aurais évidemment préféré lui dire çà plus tôt dans le WE mais que je voulais pas rester sur un truc aussi flou. Un peu surprise (et surtout en train d'attendre avec la collègue à côté) elle me répond qu'elle ne sait pas trop quoi me répondre. Là c'est un peu le blackout, j'avais marché 150 m dans le parking et ne retrouvais plus mes collègues et je n'ai plus de souvenirs précis des mots mais on finit par se quitter en échangeant un "bon voyage de retour".
Et voilà ou j'en suis depuis hier soir, je n'ai pas eu de ses nouvelles, et je ne parviens pas à m'enlever tout ce bazar de la tête, en me disant, qu'avec le recul, j'aurais peut-être mieux fait de laisser passer, de la SMSer gentiment et de voir venir (mais on est toujours plus malin après qu'avant...), mais ce qui est fait est fait et je ne veux pas laisser moisir le truc, parce que plus j'y pense, plus je me verrai vraiment vivre quelque chose avec elle (et comme je disais, ça ne m'était plus arrivé depuis plusieurs années...) et j'en arrive à être dans l'état suivant :
En conclusion, si vous avez des avis, des conseils ou des baffes à me mettre si vous pensez que j'ai raté le coup, n'hésitez pas ! (merci d'avance
)'voyez la dune là-bas ?... Ben derrière, y'a les plus belles roses des sables de tout le Niger... Eh ben elle a voulu aller voir !
Javier Guante Hermoso
47326
Ma vie est un thread...
Membre depuis 20 ans
Anonyme
65640
Citation :
En conclusion, si vous avez des avis, des conseils ou des baffes à me mettre si vous pensez que j'ai raté le coup, n'hésitez pas ! (merci d'avance
Le conseil de XB, bien que direct, reste frappé sous le coin du bon sens.
Amha la pire truc commun de tous les célibataires blancs de tous les ages et conditions sociales, c'est qu'ils se comportent comme des gros puceaux : plus timides, c'est juste pas possible.
Faut y aller franco et foutre la sauce, si tu la trouves bien c'est à elle qu'il faut le dire, sans le moindre sous-entendu et de façon claire et directe. Et sans être un gros relou pour autant.
le reverend
33507
Vie après AF ?
Membre depuis 21 ans
gloglo125
2466
AFicionado·a
Membre depuis 18 ans
XB -> 
Je me demandais si quelqu'un allait la faire !
Youtou -> c'est ce que j'ai fait, sauf que c'était façon entre la poire et le fromage et je ne sais pas trop comment elle a pris le truc (j'ai toutefois moyen de me rancarder auprès d'autres collègues du site ou elle bosse)
rev' -> Euh ben...
Je me demandais si quelqu'un allait la faire !Youtou -> c'est ce que j'ai fait, sauf que c'était façon entre la poire et le fromage et je ne sais pas trop comment elle a pris le truc (j'ai toutefois moyen de me rancarder auprès d'autres collègues du site ou elle bosse)
rev' -> Euh ben...
'voyez la dune là-bas ?... Ben derrière, y'a les plus belles roses des sables de tout le Niger... Eh ben elle a voulu aller voir !
Anonyme
3431
je me permets...
bah t'as fait ce que tu voulais.
C'est bien.
Et t'as eu ta réponse... le "silence gêné je sais pas quoi dire" de sa part, c'est quand c'est mort hein...
Tu peux tranquillement passer à quelqu'un d'autre, sauf à être sûr que c'est la femme de ta fin de vie, et là tu peux échafauder les pires délires, devenir obsessionnel compulsif, et perdre le bien le plus précieux qui existe: ton temps.(encore faut-il l’apprécier...)
bah t'as fait ce que tu voulais.
C'est bien.
Et t'as eu ta réponse... le "silence gêné je sais pas quoi dire" de sa part, c'est quand c'est mort hein...
Tu peux tranquillement passer à quelqu'un d'autre, sauf à être sûr que c'est la femme de ta fin de vie, et là tu peux échafauder les pires délires, devenir obsessionnel compulsif, et perdre le bien le plus précieux qui existe: ton temps.(encore faut-il l’apprécier...)
Anonyme
4631
Dr Pouet
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Anonyme
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