Les potins mondains
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will_bru
Ils nous font rire, pleurer, envie (voire envie de vomir ça marche aussi) : les PEOPLEs.
Alors postez et débattez des dernières hot news sur cette race supérieure qui nous donne à nous pauvres laborieux exploités de quoi alimenter nos conversations au coin de la machine à café au taf.
Et je commence avec cette news étonnante :
Jessica Simpson : elle lance un sort à Tony Romo !
Citation :
Tony Romo qui l'a larguée cet été.
D?après le National Enquirer, la chanteuse vient de lui jeter un sort, et un sort pas très gentil qui doit l'empêcher de retrouver le grand amour ! Un proche confie : "Jessica est une fille très gentille en temps normal. Mais elle n?arrive toujours pas à croire que Tony l?ait larguée. Elle a trouvé une femme en Californie qui l?a invitée chez elle pour y allumer des bougies et brûler de l?encens en récitant des incantations. Romo ne devrait jamais retrouver l'amour !"
L'avenir le dira...
C'est incroyable.
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...
[ Dernière édition du message le 24/08/2009 à 19:56:34 ]
jeremy19450
une vielle et alors ...??
will_bru
tant qu'y aura des gens pour regarder ce genre de programmes
Ben c'est bien ce qui me la coupe... Qu'est ce qu'on peut trouver d'intéressant là dedans ??



In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...
Anonyme
tant qu'y aura des gens pour regarder ce genre de programmes
C'est là où tu te trompes !
Les gens regardent ce qu'ils ont à regarder.
Imagine...
Pendant dix jours, je serai ton cuisinier exclusif. Et matin, midi et soir je te donnerai le choix entre : une assiette de vomi, ou un bloc de merde fraîche. Dix jours. Tu feras le mourre un, deux jours maxi... après il te faut bien survivre. Donc par dépit, tu finiras bien par manger l'un ou l'autre de ces deux trucs que je te propose et qui sont juste innommables (en temps normal).
Alors, un grand sourire en travers de ma face, je dirai : voyez, GuigZ mange bien de la merde (ou du vomi selon ce que tu auras choisi) donc inutile de se faire chier à préparer des plats compliqués, il mange de la merde et il aime ça !
Grossière erreur! Car à ce moment-là, tu ne mangeras pas la merde (ou le vomi) parce que tu l'aimes... mais bien parce que tu n'as pas le choix.
Aujourd'hui, le téléspectateur de base n'a finalement pas beaucoup de choix à la télé, à part regarder de la merde, du vomi et de la diarrhée froide d'hier resservie en gelée... c'est effectivement facile, après, de dire qu'il aime ça.
jeremy19450
sauf que tu es obligé de manger et pas obligé de regarder la télé ![]()
bon allez darinze mange ton vomi ![]()
une vielle et alors ...??
will_bru
Y a une solution radicale : éteignez la téloche.
Comme disait Coluche "quand on pense qu'il suffirait de pas en acheter pour qu'on arrête de nous en vendre"...
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...
Anonyme
Anonyme
De plus quel est l'intérêt des producteurs à te montrer de la merde ? Une seule raison : la thune. Donc s'ils font ce genre de programme c'est qu'ils savent qu'un maximum de gens vont regarder. Et je trouve ça assez désolant.
PS : je choisis le vomi.
jeremy19450
une vielle et alors ...??
will_bru
Qui ici, est près à s'abaisser à pareille chose pour 6000 euros ? Attention, n'oubliez pas que plein de monde vous regardera et voudra faire de vous sa chienne par la suite :iwannabeyourdog:
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...
[ Dernière édition du message le 02/06/2010 à 10:31:18 ]
jeremy19450
elle a refusé (info de la présentatrice faustine sur la france 5 dans l'emission de thomas hugues dimanche )
alexia machin a dit non spa vrai mais en fait personne ne la croit ..... meme dans la prod'..... on est pas a une vulgarité près
une vielle et alors ...??
jeremy19450
elle a refusé (info de la présentatrice faustine sur la france 5 dans l'emission de thomas hugues dimanche )
alexia machin a dit non spa vrai mais en fait personne ne la croit ..... meme dans la prod'..... on est pas a une vulgarité près
une vielle et alors ...??
will_bru
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...
jeremy19450
une vielle et alors ...??
will_bru
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...
jeremy19450
une vielle et alors ...??
Anonyme
Qui ici, est près à s'abaisser à pareille chose pour 6000 euros ? Attention, n'oubliez pas que plein de monde vous regardera et voudra faire de vous sa chienne par la suite :iwannabeyourdog:
Certaines personnes seraient prêtes à beaucoup de choses pour de l'argent et un ersatz de célébrité
Anonyme
Ca me rappelle cette expérience de pseudo-jeu télévisé où l'un des candidats envoie des décharges électriques à un autre, jusqu'à le tuer.
Dans les conditions normales on ne le ferait pas. Mais dans certaines conditions bien spécifiques, on peut faire n'importe quoi...
Que demain, en France, la nourriture vienne à manquer, et la belle solidarité humaine, j'y donne trois jours. Au-delà, ce sera la guerre violente.
Les participants au jeu de téléralité sont mis dans une ambiance où ils sont capables de tout fauire parce qu'on leur fait miroiter de la thune ou de la célébrité. Vu de l'extérieur, c'est pathétique mais de leur point de vue à eux, c'est bonnard.
Moi pendant mon armée que j'ai faite dans la fanfare, je composais de la zique militaire et j'aurais presque signé pour m'engager, vu que ce qui m'attendait après c'était le chômage.... heureusement que j'en suis sorti à temps
Anonyme
Même chose pour Closer ou les autres tabloids.
Comme le dit Guig-Z, il existe un bouton off sur la TV. Et on peut très vivire sans TV, on est pas encore dans 1984, avec obligation pour chaque foyer d'avoir une TV en place centrale.
will_bru
Y a deux trucs qui me gavent profond :
1. le prix des places.
2. que le journaliste (??) dise qu'il ne manque que Slash dans les rangs. Alors que tout le monde sait qu'il ne reste QUE Axl.
Désinformation, toussa. M'énerve (en plus le prix des places... Putain faut pas déconner merde !!)
In the midnight hour, she cried more, more, more, with a rebell yell she cried more more more...
billbixby
Rifki
Javier Guante Hermoso
Rifki
Ah ouais ?
Javier Guante Hermoso
Anonyme
L'hommage à Pierre Boulez s'est transformé en un concert "cauchemar"
| 29.05.10 | 14h58 • Mis à jour le 29.05.10 | 17h03
A l'entracte de l'interminable second concert de l'hommage rendu par l'Orchestre de Paris et l'Ensemble intercontemporain, les 27 et 28 mai, Salle Pleyel, à Pierre Boulez pour son 85e anniversaire, on s'est surpris à grommeler : "Quel cauchemar..." Au cours d'un second entracte (qui faisait suite à d'autres longues interruptions dues aux changements de plateau incessants), on a entendu le compositeur et chef français, interrogé publiquement par Jean-Pierre Derrien, de France Musique, dire lui aussi que ce concert était "un cauchemar". On ne pensait pas trouver un tel allié - mais force est de dire que, si le diagnostic est le même, les symptômes relevés ne le sont pas.
Un peu inélégamment, Boulez a profité de ce programme inhabituel, constitué d'extraits de ses oeuvres fétiches du XXe siècle, pour fustiger l'inadaptation des salles de concert actuelles et redire combien la construction d'un grand auditorium, porte de Pantin, prévue pour 2012, était indispensable au développement de la musique de demain. Afin de pouvoir enchaîner plus rapidement des pièces d'effectifs différents (on passait parfois du grand orchestre au quatuor), il a réclamé un "plateau tournant".
Il a regretté que la Salle Pleyel soit impraticable aux effectifs "spatialisés" de la composition Concertate il suono (2000), de Marc-André Dalbavie (né en 1961), l'un de ses "chouchous" notoires. Pierre Boulez a beau assurer que la place du chef d'orchestre est la moins bonne acoustiquement (sic !) pour contrôler la mise en place et les équilibres sonores d'un tel dispositif, qui répartit des groupes aux quatre coins de la salle, il croit dur comme fer à la spatialisation et voudrait faire admettre que c'est l'avenir musical auquel nul ne saurait échapper. Oublie-t-il que Saint-Marc de Venise a déjà répondu à de telles exigences musicales ? A moins que les compositeurs du XVIe et du XVIIe siècle aient eu le pragmatisme d'écrire en fonction du lieu plutôt que d'attendre qu'on leur construise l'espace rêvé...
Malgré tout le respect qu'on porte à Dalbavie, on se dit que construire une salle symphonique qui rompe avec des modèles qui fonctionnent depuis des siècles au bénéfice d'une oeuvre aussi cosmétique et creuse (mais habilement tricotée) que Concertate il suono tiendrait de l'absurde et du scandale. Répons, le chef-d'oeuvre "spatialisé" de Boulez, serait-il le bijou qui justifie sans conteste un tel écrin ? Mais Répons se joue rarement et peut, en raison de l'amplification prescrite, l'être parfaitement dans des espaces non destinés à la musique (c'est ce qui se fait en général).
Quel grand musicien tiendrait aujourd'hui la "spatialisation" comme une vertu cardinale de la musique de l'avenir et oserait affirmer que cette dimension oblige à repenser totalement le plan des salles de musique classique ? On ne connaît que Boulez pour tenir avec autant d'opiniâtreté ce discours.
"Un certain parcours", titre de l'hommage, promettait sur le papier. A l'épreuve du concert, on déchantait. Si les enchaînements du premier programme n'ont pas posé de problème, ceux du second étaient insupportables en raison des déménagements incessants du plateau. De surcroît, l'ordre de cette "suite" d'extraits aurait gagné à enchaîner la toccata rythmique qu'est Tema (1981) de Franco Donatoni (1927-2000) à la Notation II (1980) de Boulez pour que la chose ait du sens et éclaire leur commune frénésie rythmique. Mais c'était impossible : la première convoque douze musiciens, la seconde un énorme orchestre. D'ailleurs, on ne sait pourquoi, Stockhausen, Ligeti et Kurtag les séparaient.
Après avoir sillonné les chemins de son XXe siècle (qui, il va sans dire, ne comprend, pour la partie la plus récente, ni musique consonante, ni minimaliste, ni spectrale - ne parlons pas du jazz, qu'il déteste), Pierre Boulez a créé deux oeuvres de jeunes compositeurs peu connus, Jean-Baptiste Robin (né en 1976) et Helen Grime (née en 1981). C'est courageux. Mais ces pièces étaient conventionnellement ancrées dans une sinistre esthétique d'avant-garde "fin de siècle".
Dans un hommage biographique et musical piquant, donné à la fin du premier concert (mais qui n'a guère fait sourire Boulez, le visage aussi fermé que pendant le concert), les musiciens de l'Orchestre de Paris ont eu l'audace de traiter l'octogénaire de "papy". Mais si l'ancien jeune loup de la modernité musicale est un "papy", c'est, à n'en point douter, un papy qui fait de la résistance.
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| 29.05.10 | 14h58 • Mis à jour le 29.05.10 | 17h03