Le rock français

D'ac, alors je reformule mon premier post.

Une erreur: si oui, définissons là. Sinon, démontrons la pertinence du rock céfran.

On a du se tromper: mais pourquooooooiiiiiiii??? Comment en est-t-on arrivé là?

On recommencera plus: vraiment? Vous me le promettez? Et si je vous fait pas confiance, comment on s'y prend pour eviter ce genre de bourdes à l'avenir?

Bien sur, je ne parle plus uniquement du rock français, là. Cette pauvre créature informe n'est que le témoin dégénéré de frasques contre-natures. Je parle d'éviter les frasques contre-natures. Ou en tout cas de pas les prolonger sur 50 loooooongues années.

Journalistes dénués de goûts, impérialisme ricain, public honteux de sa propre identitée, esprit de rebellion mal aiguillé, que sais-je?

Quand mon papa était jeune dans les 70's, il ressemblait à Jim Morrisson qui aurait un accent medditérranéen, il écoutait que du rock anglo-saxon et il détestait les usa. La honte. Quand j'étais au collège et au lycée, plein de nazes autour de moi suivaient le chemin tracé par papa-maman, tout fier d'écouter de la "vraie" musique. Ils se moquaient de moi, les vilains gnômes, de mon ipop et de ma "dance". Pourtant, lorsque c'était en français, surtout le rap donc, je sentais bien qu'il y avait quelque chose qui les interpellait. Et oui, le moindre morceau de ntm avait plus de classe, de fraîcheur et d'authenticité (je crois que c'est la clé) que l'intégrale de noir désir.

Vous commencez à voir où je veux en venir, où je remet une couche de pédagogie? Je vous demande pas de hurler avec moi sur un cadavre, plutôt d'essayer de comprendre sa triste vie.

[HS]Egorl, me refait plus jamais ça, veux-tu?[/HS]

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Bienvenue parmis nous.