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Bingo, point macho !

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Sujet de la discussion Bingo, point macho !
Allez, on ne s'en rend pas forcément compte, mais même ceux qui ne se disent ou ne se croient pas sexistes ont des réflexes et des modes de pensée sexistes.

Histoire de rigoler un peu, je vous propose de les répertorier.
(comme d'hab, je ne donne pas les noms, le but n'étant pas de viser les personnes)

Un premier exemple :
Citation :
image.php
celle là d'image m'agace assez bien aussi

Quand on lui demande pourquoi
Citation :
misogynie à part... quand je regarde ces jeunes gens j'entends les dialogues:
-"docteur spok j'ai un problème au scrabble avec l'écriture de l'équation des intégrales quantiques tridimensionnelles et leur espace temps, j'ai un déphasage interneutronique et mots compte triple!"
-t'as vu quand je bouge le truc là ça bouge le truc làbas!!!"

ou encore, t'as déjà vu beaucoup de sondiers qui laissaient bidouiller leur console pendant un mix?


Evidemment, il ne lui vient pas à l'esprit que l'ingé son ou productrice puisse être la nana et que le mec soit un opérateur son / assistant. Ou encore un stagiaire qu'on a laissé se mettre à la console, mais à qui la nana montre que baisser un peu les aigus sur les overhead, tu vois, ça rentre mieux dans le mix. :-D

[ Dernière édition du message le 09/12/2013 à 11:43:16 ]

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... un écolo qui manque pas d'air, quoi :volatil:
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Paul Claudel, frère de Camille Claudel, lui c'était un bon, un homme, un vrai ! :bave::facepalm:

Il n'est connu maintenant que pour avoir été le frère de sa soeur, mais à son époque il avait quelque pouvoir, en tout cas ça lui a permis de la laisser enfermée en hopital psychiatrique pendant 30 ans, plus que la durée maximale d'une peine de prison incompressible actuelle, et du genre donnée pour un quintuple meurtre avec barbarie et pre et post mortem.

Lui même faisait partie de la tendance maurassienne du début du XXème siècle, cad des gens se croyant instruits parcequ'ils savaient lire et écrire, et qui s'autoproclamaient écrivains et poètes, et qui perdure encore aujourd'hui dans par ex l'académie française, avec Finkelkraut par ex : des gens bêtes et méchants exprimant leurs idées simplistes et stupides avec des mots complexes, donnant à leurs écrits la forme d'une dictée de Bernard Pivot, et le fond d'une analyse de match de foot par l'Equipe 21.

Bon, il semble qu'elle avait plus la lumière à tous les étages, mais rien que ne justifierait de rester enfermée 30 ans, jusqu'à ce que seule la mort la délivre.

Mébon c'était comme ça, t'étais une meuf et tu ramenais ta gueule, allez hop en HP, tu parleras moins fort connasse.
Evidemment, étant elle même tout sauf schizo au sens psy du terme, elle a fait des pieds et des mains, sans succès, pour sortir...
Les historiens s'accordent à dire que son erreur aura été de ne pas faire ses demandes de libération en triple exemplaire : le directeur de l'hosto était un certain Docteur Truelle.
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J'apprends l'existence du résidu de fausse couche se nommant Nicolas Grégoire, qui témoigne publiquement d'avoir commis un viol dans son bouquin d'enquête / autobiographie, sans trembler des genoux et de manière totalement abjecte et inhumaine pour la victime. Texte intégral du passage, le personnage n'est visiblement jamais nommé autrement que "la blonde" :

Citation :
Tard un soir, je m'introduis dans la blonde. Elle est sèche comme du papier de verre. Les yeux mi-clos, du ton geignard de ceux qu'on réveille, elle me dit "Non, non". Elle secoue mollement la tête, passe ses bras sous l'oreiller. Je continue à pousser. "Non... Non,non...". Rien à faire, le rapport est refusé. Alors j'éjacule froidement. Comme dans un sac. Sans un mot, elle se lève pour essuyer. Un sentiment de honte s'empare de moi.


https://twitter.com/ChrisCGarnier/status/1129068338531983361

Il a honte, pauvre petit oiseau tombé du nid. Visiblement c'est la politique et le système, ça l'a rendu comme ça, méchant système. Et pis faudrait pas utiliser le mot viol pour avoir à assumer de commettre un crime.

Mention spéciale à l'éditeur qui a laissé passer ça sans réagir.

Donc voilà si ce mec pouvait se faire écraser par un bus ou se faire arracher les couilles par un pit-bull atteint de rage je pense que j'en serais très content.

[ Dernière édition du message le 17/05/2019 à 10:58:55 ]

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L'autre possibilité c'est que ça soit totalement fictif et à ce moment là on est en plein dans la culture du viol.

Mais le mec, écharpé sur twitter, n'a pas l'air de dire que ça le soit, fictif. Non pour lui éjaculer dans une meuf qui dit non non non c'est juste pas un viol en fait.
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Il est en train de crier au complot sur Twitter parce qu'on parle plus de ça que "des choses importantes" qu'il évoque dans son torchon. :facepalm:

Je sens même une point de vantardise de sa part (genre grosses couilles qu'on pose sur la table, "t'as vu moi je suis un vrai, mais j'ai un peu honte quand même parce que c'est pas banal")

One Breath III : Find out the end of the story, piece by piece : WBBTMR - One Breath III

Je vous en prie, allongez vous dans les plantes vertes.

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Ça me fascine toujours de voir à quel point des types ne se rendent pas compte non seulement de ce qu'ils font/ont fait, mais qu'en plus ç'en est à un tel point qu'ils racontent ça tranquillou.
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Perso déjà le truc à la base qui me fait halluciner en tant que mâle, en enlevant toute polémique, c'est de savoir comment on peut tout simplement avoir la trique en face (ouais enfin là j'imagine que c'est pas en face:oops2:) d'une meuf qui non seulement semble pas en avoir envie et/ou pire, qui dit texto qu'elle a pas envie.

Amha, un mâle normalement constitué, dans ce cas de figure, c'est l'escargot qui rentre dans la coquille, les pâtes qui sont trop cuites, le drapeau en berne, ou tout autre métaphore scabreuse n'évoquant pas la raideur.

ceci dit je comprends mieux, le mec semble être très doué pour la branlette :

Citation :
Malgré de nombreuses propositions, j'ai été forcé de m'auto-éditer. Pour échapper à la censure et aux pressions.

[ Dernière édition du message le 17/05/2019 à 11:21:30 ]

958
Ha ok y'a pas d'éditeur, cqfd.

On soulignera bien aussi l'attention pour la victime, désignée comme étant "sèche comme du papier de verre" et "geignarde". J'imagine qu'elle finira immanquablement par lire la description que son violeur fait d'elle et que ça sera un super moment de fun à passer pour elle. En plus de ne jamais obtenir reconnaissance du viol par la justice (a priori ce sont des faits qui ont bien plus de dix ans).

[ Dernière édition du message le 17/05/2019 à 11:33:42 ]

959
ptain j'ai commencé à lire ce qu'il écrivait, j'ai lâché au bout de 30 lignes. C'est de la merde.
C'est très mal écrit, dénué de tout humour, réellement misogyne sans le moindre recul ni distanciation (car présenté comme totalement autobiographique et donc dénué de tout humour), bref cacaboudin exposant 4.

J'ai souvenir d'une (fausse) autobiographie de Bukowski racontant qu'il se tape une meuf non consentante. Sauf qu'avec lui, on apprend u'en réalité il était totalement beurré, et que la meuf qu'il encule, au bout d'un moment il se rend compte que c'est un mec encore plus beurré que lui.
Bon c'est plus lol quand c'est lui qui raconte.
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Hors sujet :
Duch, je te dirais que moi, je découvre avec une sorte de candeur, et retard, comment dire, la merditude incroyable des internets. :oops2:

Dans le fond, ma seule vraie expérience des "réseaux sociaux", c'est le Pub.
C'te Rolls de l'intelligence que c'est :8O:

Twitter, je lisais jusqu'ici que des comptes finalement assez classiques de journalistes globalement. Grâce à YT, j'étais allé voir JV..j'avais survolé la fange.ok.

Avec l'actu algérienne, j'ai plongé un peu plus dedans, suivant du coup, un certains nombre de twittos qui de fil en aiguille font remonter des trucs... et là, pour peu, qu'interloqué par un message particulièrement con, tu te promènes de compte en compte, tu découvres la vie.

Putaing, entre ceux qui traitent les autres de "fragiles" , ceux et celles qui alignent conneries sur conneries racistes, communautaristes, homophobes, sexistes ..parfois avec un vrai brio.

Ce qui frappe n'est pas que ça existe. Ma candeur a ses limites.
Ce qui est fascinant, c'est de sentir la "densité" de cette culture de merde et à quel point, c'est l'horizon normé d'une partie de la jeunesse.