Le Pub de l'Amérique Latine
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Au travers de la musique et de la Salsa par ex
Pourtant Cuba c'est un pays fantastiquement humain. J'espère que ça ne disparaitra pas
Et puis peut être qu'avec la retraite de mrde que me laissera le RSI, je serais plus heureux là bas ..
Rio en 1981
Les Etka que j'utilisais étaient des dia. Il y avait même une série "Tungstène" pour la lumière artificielle.
Vickibaum
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Anonyme
65640
C'est aussi l'effet que ça m'a fait en écoutant le traitement catastrophique de la mort de Castro par france-info. On a dit aux journaleux que Cuba était une dictature comme en corée du nord (et déjà là y en aurait à dire concernant le traitement médiatique de ce pays), ils le répètent comme des perroquets.
Yep, c'est dans le II, on y voit des milliardaires mafieux faire leurs petites affaires tranquillou à Cuba sous la protection des autorités, juste avant la prise de pouvoir par Castro.
Le truc c'est que Cuba échappe à pas mal de traits communs des pays du 1/3 monde, la plupart, en fait.
La criminalité y est très basse, la moins élevée de toute l'Amérique centrale et du sud (avec l'Argentine), Martinique et Guadeloupe comprises...Le taux d'éducation, l'espérance de vie, correspondent aux standards européens, et d'Europe de l'ouest et pas de l'est...
Cuba détient également le record mondial de médecins relativement au nombre d'habitants.
Après, c'est sûr que si on juge la richesse quant à la possession d'une Audi A6 V6tdi, sièges cuir nappa, de 4 télés 160cm Sony 4K et de produits Apple comme s'il en pleuvait, les cubains sont des gros clodots.
Edit : j'ai l'impression qu'en France on a toujours eu une approche schizophrène de Cuba (et de l'ensemble des pays soviétiques, mais c'est un autre débat). D'un côté on nous a rabbattu les oreilles avec la propagande caricaturale US, Castro est un dictateur bolchévoique blablabla, pis de l'autre, y avait une partie non négligeable de la gauche gouvernementale qui était proche de Castro, sans même parler de la femme de Mitterrand qui était une amie personnelle de Castro...
Citation :
Résumé fait dans un des film de la trilogie du parrain.
Yep, c'est dans le II, on y voit des milliardaires mafieux faire leurs petites affaires tranquillou à Cuba sous la protection des autorités, juste avant la prise de pouvoir par Castro.
Citation :
Pauvre certes
Le truc c'est que Cuba échappe à pas mal de traits communs des pays du 1/3 monde, la plupart, en fait.
La criminalité y est très basse, la moins élevée de toute l'Amérique centrale et du sud (avec l'Argentine), Martinique et Guadeloupe comprises...Le taux d'éducation, l'espérance de vie, correspondent aux standards européens, et d'Europe de l'ouest et pas de l'est...
Cuba détient également le record mondial de médecins relativement au nombre d'habitants.
Après, c'est sûr que si on juge la richesse quant à la possession d'une Audi A6 V6tdi, sièges cuir nappa, de 4 télés 160cm Sony 4K et de produits Apple comme s'il en pleuvait, les cubains sont des gros clodots.
Edit : j'ai l'impression qu'en France on a toujours eu une approche schizophrène de Cuba (et de l'ensemble des pays soviétiques, mais c'est un autre débat). D'un côté on nous a rabbattu les oreilles avec la propagande caricaturale US, Castro est un dictateur bolchévoique blablabla, pis de l'autre, y avait une partie non négligeable de la gauche gouvernementale qui était proche de Castro, sans même parler de la femme de Mitterrand qui était une amie personnelle de Castro...
[ Dernière édition du message le 27/11/2016 à 12:23:22 ]
Vickibaum
7275
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Anonyme
17824
@ Pouet. A propos de "En Patagonie", j'ai aimé mais Coloane est différent en ce sens qu'il est de cette région, qu'il fut vraiment gaucho, baleinier, marin et natif de la région. Ses histoires ne sont pas seulement des récits de voyage. J'ai rien contre les récits de voyage mais j'ai plus accroché à Coloane. Le côté "ethnologique" peut être. Tu cites Sepulveda, alors je te conseille "Le monde du bout du monde" et pour toi qui aimes la photo "Dernières nouvelles du sud". Recueil de nouvelles et de photos en N&B. J'ai beaucoup aimé.
Sinon, balade dans Paris cet après midi, photos, ciné, resto... et y'a la FNAC aux Halles... Je suis reparti avec 6 bouquins sur l'histoire de l'Amérique Latine.
C'est bien, il en sort régulièrement des nouveaux, des éditeurs courageux osent traduire et sortir des récits de l'époque de la Conquista. Je viens de trouver les oeuvres de Diego de Landa. Etonnant curé qui au 16ème siècle traduisit les Codex Mayas avec l'aide des Yucatèques, avant de les brûler (les Codex... et les Mayas) pour des raisons religieuses... Pas facile "l'extirpation de l'idolâtrie". Me reste à attendre les oeuvres de Mendieta, Motolinia, De Oviedo, Pierre Martyr d'Anghiera, Gomara, Huaman Poma et j'en passe. La découverte, les cultures et civilisations préhispaniques, la colonisation de l'Amérique Espagnole ont été décrites, compilées dés le départ par ceux qui en furent les acteurs. On trouve dés cette époque tout ce qui deviendra la base de toutes les recherches scientifico-historiques relatives aux cultures pré-colombiennes. Les espagnols étaient si pointilleux, si procéduriers qu'on connait tous les conquistadores, du plus humble au plus gradé, ayant participé à la conquête du Mexique...
Ouais, j'ai plus envie de parler de Cuba... Entre la droite qui se réjouit, ce que je ne supporte pas, et Méluche qui en fait des tonnes, non merci.
Ou alors je parlerais de Cuba et Castro mais par le petit bout de la lorgnette, à travers mes rencontres au Nicaragua ou ici en France.
Sinon, balade dans Paris cet après midi, photos, ciné, resto... et y'a la FNAC aux Halles... Je suis reparti avec 6 bouquins sur l'histoire de l'Amérique Latine.
C'est bien, il en sort régulièrement des nouveaux, des éditeurs courageux osent traduire et sortir des récits de l'époque de la Conquista. Je viens de trouver les oeuvres de Diego de Landa. Etonnant curé qui au 16ème siècle traduisit les Codex Mayas avec l'aide des Yucatèques, avant de les brûler (les Codex... et les Mayas) pour des raisons religieuses... Pas facile "l'extirpation de l'idolâtrie". Me reste à attendre les oeuvres de Mendieta, Motolinia, De Oviedo, Pierre Martyr d'Anghiera, Gomara, Huaman Poma et j'en passe. La découverte, les cultures et civilisations préhispaniques, la colonisation de l'Amérique Espagnole ont été décrites, compilées dés le départ par ceux qui en furent les acteurs. On trouve dés cette époque tout ce qui deviendra la base de toutes les recherches scientifico-historiques relatives aux cultures pré-colombiennes. Les espagnols étaient si pointilleux, si procéduriers qu'on connait tous les conquistadores, du plus humble au plus gradé, ayant participé à la conquête du Mexique...
Ouais, j'ai plus envie de parler de Cuba... Entre la droite qui se réjouit, ce que je ne supporte pas, et Méluche qui en fait des tonnes, non merci.
Ou alors je parlerais de Cuba et Castro mais par le petit bout de la lorgnette, à travers mes rencontres au Nicaragua ou ici en France.
Dr Pouet
52038
Membre d’honneur
Membre depuis 21 ans
samy dread
17443
Drogué·e à l’AFéine
Membre depuis 19 ans
Anonyme
17824
Merci Samy.
Je vais me mater ça.
Je vais me mater ça.
Vickibaum
7275
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Citation de TexCoco :
Ouais, j'ai plus envie de parler de Cuba... Entre la droite qui se réjouit, ce que je ne supporte pas, et Méluche qui en fait des tonnes, non merci.
Ou alors je parlerais de Cuba et Castro mais par le petit bout de la lorgnette, à travers mes rencontres au Nicaragua ou ici en France.
Au travers de la musique et de la Salsa par ex
Pourtant Cuba c'est un pays fantastiquement humain. J'espère que ça ne disparaitra pas
Et puis peut être qu'avec la retraite de mrde que me laissera le RSI, je serais plus heureux là bas ..
Un guitariste et sa guitare c'est parfois la rencontre de deux manches.
Quand on a rien a dire on peut toujours le dire en chantant !
Anonyme
17824
A propos de retraite, au Nicaragua il y avait une loi en faveur des étrangers retraités qui se voyaient décerner un visa de résident et une exonération d'impôts s'ils pouvaient justifier d'une retraite d'environ 800$ mensuel. Une retraite de merde ici mais plus que correcte là bas... Bon si tu tombes malade t'es dans la merde, entre des hôpitaux locaux immondes et non-équipés et les cliniques gringas hors de prix et non remboursées... Le personnel est pas mauvais mais n'a pas de matos, et les meilleurs vont dans les structures privées... 
Les ricains migrent facilement au Costa Rica, niveau de vie plus élevé, structures efficaces.
Et la musique cubaine dans tout ça ? Ben là, j'suis pas expert...
Les ricains migrent facilement au Costa Rica, niveau de vie plus élevé, structures efficaces.
Et la musique cubaine dans tout ça ? Ben là, j'suis pas expert...
Vickibaum
7275
Je poste, donc je suis
Membre depuis 16 ans
La musique cubaine s'entend au travers a danse, elles sont indissociables.
IL y avait une blague à l'époque du Lider :
Castro fait son discourt sur la place de la Révolution.
Il parle pendant 6 heures comme d'hab pour expliquer au peuple qu'il faut se mettre sérieusement à bosser et lance comme un slogan :
" Decir después de mí :
Trabajo Si, Samba No"
Et le peuple répète en dansant : Trabajo si, samba no, trabajo si samba no ....
IL y avait une blague à l'époque du Lider :
Castro fait son discourt sur la place de la Révolution.
Il parle pendant 6 heures comme d'hab pour expliquer au peuple qu'il faut se mettre sérieusement à bosser et lance comme un slogan :
" Decir después de mí :
Trabajo Si, Samba No"
Et le peuple répète en dansant : Trabajo si, samba no, trabajo si samba no ....
Un guitariste et sa guitare c'est parfois la rencontre de deux manches.
Quand on a rien a dire on peut toujours le dire en chantant !
[ Dernière édition du message le 30/11/2016 à 20:07:41 ]
Anonyme
17824
Petite parenthèse littéraire. Je viens de finir un bouquin de l'anthropologue américain Oscar Lewis.
Les enfants de Sanchez.
Lewis après avoir étudié la paysannerie mexicaine s'est aperçu que jamais rien n'avait été écrit (en 1960) sur le sous prolétariat de Mexico. Il a trouvé une famille, le père et ses 4 enfants et les a fait parler chacun leur tour, les enregistrant. Le père commence.
Puis l'enfance, chaque enfant en raconte sa version. Puis préadolescence, adolescence et âge adulte.
A part la préface jamais Lewis n'intervient. Il a enregistré des journées entières chacun des protagonistes avec son vocabulaire puis retranscrit. C'est le Mexique, son machisme, sa violence, sa pauvreté, mais jamais misérabiliste puisque chacun des enfants n'a jamais connu autre chose... L'un s'est engagé dans l'armée quelques mois, l'autre a migré quelques temps aux US, une des filles a eu 4 gosses, l'autre aucun, le père a eu 2 femmes et des gosses reconnus avec 2 autres... Les filles se font tartiner la gueule à longueur de pages, un peu forcer pour la bagatelle, les fils se font traiter de fils de pute par leur père. On se bastonne. Mais rien que du normal ou presque selon les protagonistes. Ça se lit comme un roman. J'ai adoré. Même si on se cantonne à 4 personnes c'est un bon aperçu de la société mexicaine.
Du coup je viens de me commander 3 autres bouquins d'Oscar Lewis. L'un sur une mère porto-ricaine à New York dans des 60's, les 2 autres au Mexique, à la campagne pour l'un et la suite de la famille Sanchez pour l'autre... Toujours la même technique littéraire, enregistrement puis retranscription des vie des protagonistes. Impatient de les recevoir.
En attendant je lis "Moi, Rigoberta Menchu" d'Elizabeth Burgos, toujours la même technique littéraire mais au Guatemala, avec une future prix Nobel de la Paix. Etonnant, plus ethnologique dans le sens où Rigoberta nous plonge vraiment dans les traditions et croyances indigènes, qu'on ne soupçonne pas en se promenant dans le patelin. Quand ce bouquin est sorti, Rigoberta était présente partout, chez Chirac entre autre, ce qui ne m'avait pas donné envie de le lire. Maintenant qu'elle est tombée dans l'oubli, je me lance. Et c'est très bon, même si son style parlé peut surprendre... Elle n'a appris l'espagnol que très tard.
Les enfants de Sanchez.
Lewis après avoir étudié la paysannerie mexicaine s'est aperçu que jamais rien n'avait été écrit (en 1960) sur le sous prolétariat de Mexico. Il a trouvé une famille, le père et ses 4 enfants et les a fait parler chacun leur tour, les enregistrant. Le père commence.
Puis l'enfance, chaque enfant en raconte sa version. Puis préadolescence, adolescence et âge adulte.
A part la préface jamais Lewis n'intervient. Il a enregistré des journées entières chacun des protagonistes avec son vocabulaire puis retranscrit. C'est le Mexique, son machisme, sa violence, sa pauvreté, mais jamais misérabiliste puisque chacun des enfants n'a jamais connu autre chose... L'un s'est engagé dans l'armée quelques mois, l'autre a migré quelques temps aux US, une des filles a eu 4 gosses, l'autre aucun, le père a eu 2 femmes et des gosses reconnus avec 2 autres... Les filles se font tartiner la gueule à longueur de pages, un peu forcer pour la bagatelle, les fils se font traiter de fils de pute par leur père. On se bastonne. Mais rien que du normal ou presque selon les protagonistes. Ça se lit comme un roman. J'ai adoré. Même si on se cantonne à 4 personnes c'est un bon aperçu de la société mexicaine.
Du coup je viens de me commander 3 autres bouquins d'Oscar Lewis. L'un sur une mère porto-ricaine à New York dans des 60's, les 2 autres au Mexique, à la campagne pour l'un et la suite de la famille Sanchez pour l'autre... Toujours la même technique littéraire, enregistrement puis retranscription des vie des protagonistes. Impatient de les recevoir.
En attendant je lis "Moi, Rigoberta Menchu" d'Elizabeth Burgos, toujours la même technique littéraire mais au Guatemala, avec une future prix Nobel de la Paix. Etonnant, plus ethnologique dans le sens où Rigoberta nous plonge vraiment dans les traditions et croyances indigènes, qu'on ne soupçonne pas en se promenant dans le patelin. Quand ce bouquin est sorti, Rigoberta était présente partout, chez Chirac entre autre, ce qui ne m'avait pas donné envie de le lire. Maintenant qu'elle est tombée dans l'oubli, je me lance. Et c'est très bon, même si son style parlé peut surprendre... Elle n'a appris l'espagnol que très tard.
le reverend
33796
Vie après AF ?
Membre depuis 21 ans
Mais flag quoi !
Putain, 22 ans que je traine sur AF : tout ce temps où j'aurais pu faire de la musique ! :-( :-)
Anonyme
17824
El Migo
24008
Vie après AF ?
Membre depuis 17 ans
Quelques photos du Guatemala pas trop récentes puisque ce sont des diapos prises entre 1978 et 1980.
Les choses ont du bien changer et des endroits difficilement accessibles sont sans doute plus touristiques aujourd'hui.J'en ai fait numériser quelques dizaines au pif, mais j'en ai encore un bon millier qui dort dans des boites chez mes beaux-parents. Trop cher pour le faire faire par un labo, va falloir que je sorte les 300 euros que coute un scanner décent.
Bref, en attendant ....
L'Acatenango
Volcan en sommeil qui culmine à 3800 mètres, dans la région d'Antigua, la vieille capitale. C'est surtout un excellent point de vue pour observer Le Fuego, son voisin, beaucoup moins pacifique dont l'ascension nous avait été déconseillée. Une nuit passée au sommet nous avait récompensé de paysages et lumières magnifiques.
Le Fuego qui fume
Le Fuego et son ombre projetée sur les nuages par le soleil de l'aube
Des chasseurs
La lune était sereine blablabla...
Todos Santos
Le plus gros village du département de Huehuetenango, peuplé de descendants directs de Mayas parlant le Mam (à l'époque, quasiment pas possible de trouver quelqu'un parlant l'Espagnol dans le coin. Grosse fiesta pour la Toussaint, mélange habituel de rituels et iconographie chrétiens et Mayas, ponctuée par des courses de chevaux qui durent toute la journée, les cavaliers se saoulant la gueule en buvant un coup de rhum (immonde) à chaque "round". Couleurs magnifiques et désespoir latent de ces populations bigarrées et sans avenir.
Bon faut que je trie tout ce fatras maintenant
Les choses ont du bien changer et des endroits difficilement accessibles sont sans doute plus touristiques aujourd'hui.J'en ai fait numériser quelques dizaines au pif, mais j'en ai encore un bon millier qui dort dans des boites chez mes beaux-parents. Trop cher pour le faire faire par un labo, va falloir que je sorte les 300 euros que coute un scanner décent.
Bref, en attendant ....
L'Acatenango
Volcan en sommeil qui culmine à 3800 mètres, dans la région d'Antigua, la vieille capitale. C'est surtout un excellent point de vue pour observer Le Fuego, son voisin, beaucoup moins pacifique dont l'ascension nous avait été déconseillée. Une nuit passée au sommet nous avait récompensé de paysages et lumières magnifiques.
Le Fuego qui fume
Le Fuego et son ombre projetée sur les nuages par le soleil de l'aube
Des chasseurs
La lune était sereine blablabla...
Todos Santos
Le plus gros village du département de Huehuetenango, peuplé de descendants directs de Mayas parlant le Mam (à l'époque, quasiment pas possible de trouver quelqu'un parlant l'Espagnol dans le coin. Grosse fiesta pour la Toussaint, mélange habituel de rituels et iconographie chrétiens et Mayas, ponctuée par des courses de chevaux qui durent toute la journée, les cavaliers se saoulant la gueule en buvant un coup de rhum (immonde) à chaque "round". Couleurs magnifiques et désespoir latent de ces populations bigarrées et sans avenir.
Bon faut que je trie tout ce fatras maintenant
[ Dernière édition du message le 04/02/2017 à 18:34:42 ]
Vickibaum
7275
Je poste, donc je suis
Membre depuis 16 ans
Un guitariste et sa guitare c'est parfois la rencontre de deux manches.
Quand on a rien a dire on peut toujours le dire en chantant !
El Migo
24008
Vie après AF ?
Membre depuis 17 ans
stratvinc
9842
Je poste, donc je suis
Membre depuis 17 ans
magnifiques tes photos El Migo
Guitariste un jour ,Guitariste toujours
je confirme il avait bien une putain de strat avec un putain de son !
Vickibaum
7275
Je poste, donc je suis
Membre depuis 16 ans
Hors sujet :
Je scanne à partir s'une imprimante/scan EPSON hors d'âge et le résultat est moyen mais ça passe
Rio en 1981
Un guitariste et sa guitare c'est parfois la rencontre de deux manches.
Quand on a rien a dire on peut toujours le dire en chantant !
Vickibaum
7275
Je poste, donc je suis
Membre depuis 16 ans
Et vue du Corcovado
Un guitariste et sa guitare c'est parfois la rencontre de deux manches.
Quand on a rien a dire on peut toujours le dire en chantant !
Anonyme
24289
Vickibaum
7275
Je poste, donc je suis
Membre depuis 16 ans
Les Etka que j'utilisais étaient des dia. Il y avait même une série "Tungstène" pour la lumière artificielle. Un guitariste et sa guitare c'est parfois la rencontre de deux manches.
Quand on a rien a dire on peut toujours le dire en chantant !
El Migo
24008
Vie après AF ?
Membre depuis 17 ans
Hors sujet :
Oui c'est des diapos, en vrac, classement approximatif, et pas moyen de trouver un projo d'occas pour au moins faire une pré-sélection. Que du bonheur quoi
Anonyme
24289
El Migo
24008
Vie après AF ?
Membre depuis 17 ans
Anonyme
24289
Tu n'as pas honte... mon ilôt perdu des caraïbes non mais
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