aide demandée LégiFanzine
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Anonyme
Mot clé : SPAM, Site WEB, newsletter, désinscription
Je reçois de la pub tous les jours d'un site. Tous les jours je clique sur le lien de désinscription. Et cela semble marcher, mais non, le lendemain, rebelote.
Si je les menace avec la DGCCRF, ça tient debout, ou ils n'ont aucune imfluence sur ce genre démarchage sauvage et forcé?
Menace les de saisir la CNIL plutôt.
Sur le site de la CNIL, il faut d'abord avoir écrit au site coupable et attendre 2 mois pour saisir la CNIL!!
Mot clé : Agence immobilière, location, caution
Ces gros branleurs de l'agence immobilière refusent de me restituer ma caution, sous prétexte que la propriétaire ne leur a pas reversé la somme. Sauf que dans le cas présent le bailleur était l'agence immobilière c'est eux qui ont encaissé ladite caution, c'est à eux que je versais mes loyers, c'est donc à eux qu'il incombe de me restituer la somme. Ben non ils m'ont clairement dit d'aller me faire empapaouter.[...]je vais contacter les collègues des fraudes il y a bien un agent qui s'occupe de ce genre de blague.[...] je vais également contacter l'UFC et tout le toutim
Ptain les boulets ! Ils auraient pu te dire qu'une météorite avait brûlé leurs dossiers c'eut été plus crédible.
Sinon pas la peine de se faire chie avec "que choisir" ou autre association de consommateurs, la loi est claire comme de l'eau de roche sur ce point, s'ils ne veulent pas te rendre la caution, tu leur fais un rappel à la loi via lettre recommandée, et si toujours rien sous 48h, saisie du juge de proximité. (c'est son nom officiel, il est rattaché au tribunal d'instance).
A savoir que tu peux, en toute légalité, demander des intérêts de cette somme au taux légal (aucune idée de ce taux en revanche).
PLus d'infos ici : https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexteArticle.do?idArticle=LEGIARTI000020466316&cidTexte=LEGITEXT000006069108
Voila, si vous en voyez d'autres intéressantes, n'hésitez pas à nourrir ce topic
[ Dernière édition du message le 26/09/2014 à 10:17:48 ]
Dr Pouet
> si t'habites une maison de 800M2 à la villa Montmorency à Paris,
Je ne connaissais pas, je viens juste de découvrir ce que c'est, en regardant la vidéo qui suit celle des Pinçon-Charlot.![]()
Anonyme
C'est pour bosser en téléconseil, et est préalable à un CDD de 4 mois préalable à un CDI.
Bon, vu comme ça, je dirais que c'est aussi légal que la vente en gros ou détail de cocaine. Quelqu'un aurait davantage d'infos ?
Pictocube
Oui.
Ca sent la confusion entre période d'essai et essai professionnel.
L'essai professionnel c'est avant signature et non rémunéré éventuellement, la période d'essai est postérieure à l'embauche et fais partie du contrat de travail (donc du temps de travail rémunéré).
L'essai professionnel ne peut pas dépasser la durée légale d'une journée de travail.
En revanche, il doit faire l'objet d'une déclaration, autrement, en cas de contrôle et d'impossibilité de le justifier, la personne en essai peut se voir attribuer un CDI.
En résumé
si il l'a fait après signature du contrat = période d'essai = salaire
si il l'a fait avant signature = essai pro = 8h00 max
si pas de signature + plus de 8h00 + pas de déclaration d'essai = inspection du travail = CDI
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
[ Dernière édition du message le 12/06/2017 à 17:37:10 ]
Anonyme
si il l'a fait avant signature = essai pro = 8h00 max
yep on est dans le cas là. Perso je trouve ça hallucinant mais bon.
La prochaine étape sera de faire 2 semaines gratis, et la prochaine sera de payer pour avoir le droit de faire un essai. Je déconne pas, je suis sûr que dans 10 ans on en sera là.
Mais t'as une info plus précise ? j'ai rien trouvé sur le site .gouv en fait.
[ Dernière édition du message le 12/06/2017 à 17:41:04 ]
Pictocube
T'es mauvais ![]()
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Anonyme
Anonyme
Bon mon dernier entretien ce fut de 10h à 18h30 donc ça compte limite comme une journée d'essai.
ouais enfin si j'ai bien compris, toi ton boulot c'est plus complexe que de nettoyer des chiottes.
Bon, j'ai aucun mépris pour une personne nettoyant les chiottes, mais ça ne demande pas un haut niveau de qualifications, mais pourtant ça donne lieu à plusoieurs entretiens, des tests pyschologiques, et des jours d'essai gratuits.
Anonyme
Pictocube
Dans quelle mesure a-t-on le droit de mentir à la police en France ?
Cas pratique : un filc me demande ma profession, comme ça gratos, je suis pas interpellé, arrêté ou même durant un contrôle signifié, juste il s'adresse à moi.
L'idée c'est que sur le moment j'avais une furieuse envie de lui répondre que j'étais avocat spécialiste des violences policières en mission pour l'observatoire national du même nom...
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Anonyme
Jofree
"To boldly go where no man has gone before."
Anonyme
Dans quelle mesure a-t-on le droit de mentir à la police en France ?
Ben en droit français, le mensonge est pas vraiment puni, en tout cas devant un flic....A la rigueur, devant un juge ou procureur, ça peut être un outrage à magistrat, à la punition symbolique.
Rien à voir avec le délit très grave de parjure aux USA.
mais dans le contexte que tu décris, en fait là comme ça je dirais que t'as même pas à lui répondre, d'autant si c'est pas un officier de la police judiciaire par ex....
Mais il te demandait ta profession dans quel but ?
Anonyme
k.sir
j'imagine que en ouvrant les pages jaunes on en trouve plein. mais bon, après je choisi comment.?
il y a des spécialités, des tarifs différents, les bon, les mauvais .
par le bouche a oreille vous me direz, oui mais voila j'ai pas trouver de ce coté la.
Je souhaite sortir d'une indivision, et les formalités s’éternise,
j'aimerais un avocat ,dans l’idéal qui s'occupe de tout,
je vais le voir, j'expose mon problème, je paye , et il m’appelle quand l'affaire et régler (peut importe la manière, a l'amiable ou justice il se démerde. quand je vais chez le garagiste il me demande pas si il utilise une clé de douze ou de 14)
j'imagine que c'est une question de prix et de service. moi je ne veut plus m’occuper de rien, ça fait 5 ans et j'en ai marre.
déjà je sais pas quelle spécialité chercher? droit des familles ou un truc du genre ? immobilier ?
et comment le trouver ?
accessoirement, combien cela peut couter? cela va dépendre de la durée complexité me direz vous.
si il a juste quelque recommander a rédiger ? 200E ? 500E ? 1000E ?
si ça fini en justice ? 1000E? 5000E ? 10 000E ?
Le savoir est la seule matière qui s'accroit quand on la partage (Socrate)
Pictocube
K-sir : je passe dans la drôme dans une dizaine de jour. T'y es ? On peut en discuter. Je peux te recommander quelqu'un pas loin de chez toi autant...
Par contre, si ton affaire n'a pas évoluée, tu es minortaire, ça va pas t'aider.
En revanche t'es pas obligé de passer par un avocat :
Un déblocage par sommation d'huissier
A) une sommation de prendre partie dans la succession
L'article 771 du code civil envisage que les cohéritiers peuvent contraindre un héritier potentiel à opter par acte extrajudiciaire signifié par un huissier de justice après 4 mois depuis l’ouverture de la succession .
"dans les deux mois qui suivent la sommation, l'héritier doit prendre parti ou solliciter un délai supplémentaire auprès du juge lorsqu'il n'a pas été en mesure de clôturer l'inventaire commencé ou lorsqu'il justifie d'autres motifs sérieux et légitimes. Ce délai est suspendu à compter de la demande de prorogation jusqu'à la décision du juge saisi. A défaut d'avoir pris parti à l'expiration du délai de deux mois ou du délai supplémentaire accordé, l'héritier est réputé acceptant pur et simple".
B) Une sommation émanant du notaire commis pour établir l'acte liquidatif ou d'un indivisaire faite à l'héritier de se faire représenter au partage amiable
Tout copartageant ou le notaire peuvent faire désigner judiciairement un représentant pour l'indivisaire qui ne se manifeste pas
La loi a tout fait pour favoriser le partage amiable, allant jusqu'à permettre un retour à la voie amiable, même après l'usage de la voie judiciaire, dans les termes de l'article 842 du code civil, lorsque les conditions sont remplies.
1°- Tout copartageant pourra mettre en demeure de se faire représenter au partage amiable par acte d’huissier, un indivisaire qui ne se manifeste pas.: article 837 du code civil
Cela suppose, bien entendu une absence d'opposition expresse dudit copartageant ou coindivisaire. Dans ce cas, le juge désignera un représentant qualifié pour représenter l'absent lors des opérations de partage, mais ne contrôlera pas la régularité des dites opérations .
Ce représentant, avec l’autorisation du juge, pourra consentir au partage.
--Article 837 du code civil
Si un indivisaire est défaillant, sans qu'il soit néanmoins dans la situation de l'article 836 qui vise.le présumé absent ou, qui par suite d'éloignement, se trouve hors d'état de manifester sa volonté, il peut, à la diligence d'un copartageant, être mis en demeure, par acte extrajudiciaire, de se faire représenter au partage amiable.
Faute pour cet indivisaire d'avoir constitué mandataire dans les trois mois de la mise en demeure, un copartageant peut demander au juge de désigner toute personne qualifiée qui représentera le défaillant jusqu'à la réalisation complète du partage. Cette personne ne peut consentir au partage qu'avec l'autorisation du juge.
2°- Le notaire pourra aussi intervenir: art 841-1 du code civil
--Article 841-1 du code civil
Si le notaire commis pour établir l'état liquidatif se heurte à l'inertie d'un indivisaire, il peut le mettre en demeure, par acte extrajudiciaire, de se faire représenter. Faute pour l'indivisaire d'avoir constitué mandataire dans les trois mois de la mise en demeure, le notaire peut demander au juge de désigner toute personne qualifiée qui représentera le défaillant jusqu'à la réalisation complète des opérations.
Le déblocage de la situation par intervention judiciaire
A) Pour sauver l'intérêt commun mis en péril par le refus d'un indivisaire: article 815-5 du code civil
Un indivisaire peut être autorisé par justice à passer seul un acte pour lequel le consentement d'un coïndivisaire serait nécessaire, si le refus de celui-ci met en péril l'intérêt commun.
Le juge ne peut, à la demande d'un nu-propriétaire, ordonner la vente de la pleine propriété d'un bien grevé d'usufruit contre la volonté de l'usufruitier.
L'acte passé dans les conditions fixées par l'autorisation de justice est opposable à l'indivisaire dont le consentement a fait défaut.
L'autorisation du juge aura un sens important pour une mise à disposition de fonds par exemple.
En effet, tout héritier qui autoriserait une mise à disposition pourrait être considéré comme ayant accepté tacitement la succession de façon irréversible et donc devoir payer les dettes successorales.
C'est souvent pour cette raison, que ce dernier restera inerte, ce qui contraindra le ou les autres héritiers à se faire autoriser par le juge, de récupérer des fonds pour faire face aux besoins urgents de la succession, voir de sommer l'indivisaire d'opter dans la succession...
1ere Civ. 12 mai 2010, pourvoi n° 09-65.362, cass
"tout indivisaire est en droit de faire cesser les actes accomplis par un autre indivisaire, qui ne respectent pas la destination de l'immeuble ou qui portent atteinte à leurs droits égaux et concurrents sur la chose indivise et d'agir à cet effet, ainsi que pour obtenir réparation du préjudice consécutif aux dits actes, sans attendre le partage."
B)Si l'un des indivisaires se trouve hors d'état de manifester sa volonté
"Si l'un des indivisaires se trouve hors d'état de manifester sa volonté, un autre peut se faire habiliter par justice à le représenter, d'une manière générale ou pour certains actes particuliers, les conditions et l'étendue de cette représentation étant fixées par le juge.
A défaut de pouvoir légal, de mandat ou d'habilitation par justice, les actes faits par un indivisaire en représentation d'un autre ont effet à l'égard de celui-ci, suivant les règles de la gestion d'affaires."
C) Pour toutes mesures urgentes d'administration ou de disposition dans l'intérêt commun: article 815-6 du code civil
Le président du tribunal de grande instance peut prescrire ou autoriser toutes les mesures urgentes que requiert l'intérêt commun.
Il peut, notamment, autoriser un indivisaire à percevoir des débiteurs de l'indivision ou des dépositaires de fonds indivis une provision destinée à faire face aux besoins urgents, en prescrivant, au besoin, les conditions de l'emploi. Cette autorisation n'entraîne pas prise de qualité pour le conjoint survivant ou pour l'héritier.
Il peut soit désigner un indivisaire comme administrateur en l'obligeant s'il y a lieu à donner caution, soit nommer un séquestre.
Les articles 1873-5 à 1873-9 du présent code s'appliquent en tant que de raison aux pouvoirs et aux obligations de l'administrateur, s'ils ne sont autrement définis par le juge.
par exemple pour autoriser le versement des fonds successoraux.
C) Pour désigner un indivisaire mandataire ad hoc chargé de gérer l'indivision
article 815-4 alinéa 2 du code civil et 815-6 alinéa 3 du code civil
D) Pour autoriser une vente immobilière après saisine des indivisaires représentant au moins 2/3 des droits indivis: article 815-1 du code civil.
La procédure sera spécifique. Rappelons le texte in extenso:
"Sauf en cas de démembrement de la propriété du bien ou si l'un des indivisaires se trouve dans l'un des cas prévus à l'article 836, l'aliénation d'un bien indivis peut être autorisée par le tribunal de grande instance, à la demande de l'un ou des indivisaires titulaires d'au moins deux tiers des droits indivis, suivant les conditions et modalités définies aux alinéas suivants.
Le ou les indivisaires titulaires d'au moins deux tiers des droits indivis expriment devant un notaire, à cette majorité, leur intention de procéder à l'aliénation du bien indivis.
Dans le délai d'un mois suivant son recueil, le notaire fait signifier cette intention aux autres indivisaires.
Si l'un ou plusieurs des indivisaires s'opposent à l'aliénation du bien indivis ou ne se manifestent pas dans un délai de trois mois à compter de la signification, le notaire le constate par procès-verbal.
Dans ce cas, le tribunal de grande instance peut autoriser l'aliénation du bien indivis si celle-ci ne porte pas une atteinte excessive aux droits des autres indivisaires.
Cette aliénation s'effectue par licitation. Les sommes qui en sont retirées ne peuvent faire l'objet d'un remploi sauf pour payer les dettes et charges de l'indivision.
L'aliénation effectuée dans les conditions fixées par l'autorisation du tribunal de grande instance est opposable à l'indivisaire dont le consentement a fait défaut, sauf si l'intention d'aliéner le bien du ou des indivisaires titulaires d'au moins deux tiers des droits indivis ne lui avait pas été signifiée selon les modalités prévues au troisième alinéa."
E) Pour ordonner une sortie judiciaire de l'indivision
Il conviendra alors de sortir de cette indivision et de partager l’actif, L'article 815 du code civil disposant :
" Nul ne peut être contraint à demeurer dans l'indivision et le partage peut être toujours provoqué, à moins qu'il n'y ait été sursis par jugement (pour deux années au plus si une vente risquerait de porter atteinte à la valeur des biens indivis) ou convention."
Lorsque un héritier aura accepté la succession, s’il continue à s’opposer à l'indivision ( ex par un refus de délivrance de fonds), ses cohéritiers envisageront l’action en partage judiciaire, prévue à l’article 840 du code civil devant le tribunal de grande instance par l’intermédiaire d’un avocat obligatoire.
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
k.sir
merci pour ta réponse aussi complète que indigeste, il va me falloir du temps pour la décrypter.
mais je crois que je préférais que quelqu'un s'occupe de tout ça.
quand j'ai un problème avec ma voiture je la mène chez un pro,
la je vois les chose de la même façon, il me faut un pro.
K-sir : je passe dans la drôme dans une dizaine de jour. T'y es ? On peut en discuter. Je peux te recommander quelqu'un pas loin de chez toi autant...
et oui je suis soit vers chez moi, donc passe quand tu veux.
Le savoir est la seule matière qui s'accroit quand on la partage (Socrate)
Pictocube
Je te tiens au jus quand je suis pas loin.
Pour qu'un avocat t'explique ce que j'ai posté et qui est indigeste (mais nooooon), il te suffit de prendre un premier rendez vous. Le premier rendez vous pour des affaires de ce genre est généralement gratuit là où nous vivons (et pratiquement partout). Ensuite, tu peux tout a fait demander à l'avocat une estimation du coût de chaque stratégie disponible (je t'invite à prendre aussi en compte les délais). Par contre, d'expérience, ne jamais laisser un avocat ou un notaire faire les trucs dans son coin avec toutes la confiance cadeau, c'est un risque énorme et ils sont loin d'être tous honnêtes, tu me diras que c'est comme les garagistes mais ... non ![]()
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
dugenou
D'un coté, les avocats honnetes
De l'autre, les avocats compétents
Anonyme
Il y a des informations sur le site de la DGCCRF ici plus précisémment : https://www.economie.gouv.fr/dgccrf/Publications/Vie-pratique/Fiches-pratiques/Vehicule-neuf-achat-chez-un-professionnel
Avec particulièrement ceci :
Les véhicules en vente ou exposés en vue de la vente doivent être munis d'un étiquetage apposé sur le véhicule, ou à proximité, et portant, en caractères apparents et de mêmes dimensions, les mentions obligatoires suivantes :
la "dénomination de vente" : la marque, le type, le modèle, la version et le cas échéant la variante du modèle ;
le prix de vente TTC, qui doit obligatoirement inclure tous les frais de mise à la route, de préparation et de mise à disposition du véhicule, que le professionnel fait payer ;
l'étiquetage précisant la consommation de carburant et les émissions de dioxyde de carbone.
le prix de vente TTC : cette somme inclut obligatoirement les frais de préparation du véhicule (transport, préparation à la route, fourniture d'un jeu de plaques définitives) ; la pratique consistant à facturer des frais ou forfaits de mise à la route en supplément est interdite ;
Bien... Donc tout cela me parrait pas super légal, car d'une ce "service" n'est pas clairement définie dans le contrat où dans la facture, de deux à priori les différents frais doivent être compris dans le prix de vente TTC du véhicule.
Mais justement à propos de ce dernier point je me demande une chose :
Qu'est ce qui est entendu par "prix de vente TTC" ? Est ce que c'est le prix total du véhicule sur la facture qui comprends :
-Le prix brut de l'auto
-Les remises commerciales (promo / reprises)
-Les options
-Le certificat d'immatriculation
Ou alors est ce que c'est uniquement le prix brut du véhicule ?
Anonyme
Sinon, à moins que t'achètes ta voiture chez un concessionnaire lancia, demande la gratuité de ça, et si réponse négative, hop chez la concurrence (en sachant que 2 concessionnaires d'une même marque sont des concurrents)
Anonyme
Sur, d'après elle, une délation, on lui a supprimé l'alloc (elle a pas le pti' handicap et elle est au taquet), sans auyre forme de procès. Bon, finalement on lui a remis le mois suivant (avec rattrapage du mois précédent), mais là elle reçoit un courrier officiel de la CAF lui disant qu'elle aura visite tel jour d'une personne assermentée.
Elle doit donc présenter divers documents tels que CI, justificatifs de domicile, etc, bref le truc habituel et compréhensible, mais aussi quelque chose qui l'a faite tiquer, et moi aussi, tellement c'est ahurissant et sans rapport : les relevés de compte des 3 mois écoulés.
Je pensais qu'il y avait mauvaise compréhension de sa part, et qu'on lui demandait juste un justificatif bancaire, normal pour une vérif' totale d'identité. Bah non, l'autre greluche de la CAF va bien examiner ses comptes bancaires à la loupe.
D'où ma question : quelqu'un a déjà été confronté à ça ici ? C'est légal un truc pareil ?
En sachant que dans le cadre d'un quintuple homicide volontaire avec viol et barbarie post mortem, un commissaire divisionnaire n'a pas le moindre droit d'examen des comptes bancaires du gusse pris sur le fait, sans la délivrance d'une commission rogatoire par le magistrat compétent.
Et là, un random de la CAF aurait des droits supérieurs à un officier de police, dans le cadre d'une petite enquête de merde ?
[ Dernière édition du message le 18/01/2018 à 14:21:35 ]
Anonyme
Donc oui, la CAF a totalement le droit factuel de mater les comptes bancaires.
Le délire du truc, c'est qu'en réalité elle n'a aucun droit et a besoin de l'autorisation expresse de coupable (avec l'administration, inutile de parler de présumé, on est juridiquement coupable d'office et les procédures sont inquisitoires). Mais en cas de refus du coupable, c'est juridiquement l'aveu explicite de sa culpabilité, les sanctions maximales sont appliquées, et hop les prestations sont supprimées, et là en revanche c'est totalement légal.
En farfouillant le net, j'ai découvert que dans le 68, les comptes bancaires des rmistes étaient examinés à la loupe pour l'attribution du RSA, par ex.
j'ai une montée subite de rage.
[ Dernière édition du message le 18/01/2018 à 14:35:22 ]
Urban Koala
Ca m'est arrivé alors que j'étais au RSA, et que je venais(enfin) de trouver un boulot rémunéré décemment (alors qu'auparavant, j'ai travaillé à perte pendant 6 mois à 150km de chez moi pour "avoir de l'expérience"). La CAF ne me versait plus que 10 euros au titre du RSA (apparemment, j'y avais encore droit). Moi, grand prince, j'ai cherché à savoir comment y renoncer, au motif "j'ai de quoi vivre, donnez les à ceux qui en ont vraiment besoin".
Ni une ni deux, alors que j'étais dans ma famille loin de Toulouse durant les fêtes de fin d'année, j'ai reçu une convocation pour le 26 décembre (genre, il était clair que j'allais être disponible à ce moment là, hein!), m'imposant de venir séance tenante avec tous mes relevés de compte (courant, LDD, épargne, placements, TOUT. Bon, à part un compte courant et un LDD, j'avais pas grand chose, et de toutes façons, j'étais et suis toujours loin d'être millionaire), mais aussi... Ceux de mon ex compagne, alors étudiante boursière au dernier degré...
Je les ai appelé en mode incendiaire, en leur disant que je ne pourrai répondre à ce moment là, car j'avais une famille, c'était les fêtes, toussa, et qu'ils étaient quand même gonflés de me contrôler alors que j'avais l'honnêteté de leur demander de me couper le RSA en prévision de ma prise de poste.
"Ah, mais c'est la procédure, on fait des contrôles en tirant les gens au sort, c'est tombé sur vous, dommage!"
Bref, le matin même de ma pris de poste (qui n'était plus qu'à 100km de chez moi, confort), à 9h, j'ai du débarquer dans les bureaux de la CAF avec tous mes relevés, ceux de ma compagne,ma compagne, pour 1h30 d'épluchage de feuillets, de photocopies et de questions cons, face à quelqu'un de plus embarrassé que moi, saisissant bien l'absurde de la situation, mais contrainte d'appliquer une procédure absurde...
C'était en janvier 2012.
Anonyme
Je confirme: la CAF peut faire des inquisitions bancaires (sur TOUS les comptes), pour les bénéficiaires des allocs, mais aussi sur les comptes... De son/sa conjoint(e).
Non non c'est plus vicelard : la CAF n'a aucun droit d'enquête unilatérale. Mais le refus du prestataire équivaut à l'aveu de sa culpabilité.
Bon level quand même de nawak juridico-moral.
Rappelons encore une fois que la législation est incroyablement plus raide concernant la réalité d'examen des comptes bancaires dans le cadre d'une enquête sur sur du terrorisme, pédophilie, ou homicide avec viol et barbarie, que pour des handicapés ou moitié clodots.
[ Dernière édition du message le 19/01/2018 à 11:26:41 ]
karloguan
mes parents on loué une bagnole pour la semaine prochaine, prépayée intégralement (ce qui est une connerie, bref..)
https://www.europcar-guadeloupe.com/cgl/paiement-en-ligne
Finalement ils en ont pas besoin.
Annulation à J-30* et au delà : remboursement intégral du total prépayé, minoré de frais de dossier (50 € TTC)
Annulation entre J-29* et J-15* : remboursement de 50% du total prépayé
Annulation entre J-14* et J-3* : remboursement de 25% du total prépayé
Annulation entre J-2* et J* : aucun remboursement
S'ils annulent purement et simplement, ils seront remboursés de 25%
En lisant ces CGV, on se demande si il n'y aurait pas moyen de modifier la réservation (genre décaler de 2 mois), puis d'annuler. Et hop remboursement intégral, moins 50€)
Bon la ficelle est un peu grosse mais en lisant et relisant, je vois rien qui s'y oppose.
Des avis ??
Et s'il le faut j'emploierai de moyens légos !
[ Dernière édition du message le 29/01/2018 à 19:55:05 ]
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