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Anonyme
Rajan Khosa
Inde
1997
Pallavi est une chanteuse de chant classique indien dont le maître/guru n'est autre que sa mère, une dame qui commence à être âgée et malade mais qui continu à lui enseigner l'art du chant.
Mais elle décède brusquement avec comme répercussion presque immédiate que Pallavi ne peut plus chanter. Comment va-t-elle retrouver sa voix?
Cela ressemble un peu à un conte et l'idée est vraiment chouette, seulement au milieu du film c'est un peu le cafouillage et on se perd un peu. Le film se fini et j'ai l'impression d'avoir raté un truc.
L'actrice principale tient bien son rôle.
Techniquement ce n'est pas exceptionnel mais il y a deux ou trois plans assez courts que j'ai vraiment trouvé chouettes.
J'ai bien aimé la photo et la lumière qui sont loin d'être tape à l'oeil tout comme les décors plutôt simples, ce qui donne une image réaliste de l'Inde.
La musique est très belle aussi et tout de suite après la visionnage j'ai attrapé ma guitare et me suis repassé quelques scènes pour repiquer deux ou trois phrases vraiment jolie dans le raga Shivranjani.
Un film bien mais sans plus, peut-être à regarder une seconde fois.
[ Dernière édition du message le 29/04/2011 à 09:58:52 ]
Pictocube
The Tourist
Tant qu'il y aura des couilles en or, il y aura des lames en acier
Pere Founasse
Pictocube
Anonyme
za-goAt
La musique adoucit les meurtres...
j-master
Citation de : za-goAt
Ils auraient pas confondu Angelina avec Johnny ? ou bien inversé les noms exprès
T'as pas remarqué ? C'est systématique, sur les affiches, dans 99% des cas les noms ne sont pas en face de la personne correspondante sur la photo. Ça et les titres gardés en anglais ("the tourist", qu'est ce que ça les aurait fait chier de mettre "le touriste"...), si tu savais ce que je trouve ça ridicule !!!
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus
Anonyme
C'est systématique, sur les affiches, dans 99% des cas les noms ne sont pas en face de la personne correspondante sur la photo.
J'ai jamais compris pourquoi non plus
Javier Guante Hermoso
Pictocube
Javier Guante Hermoso
Pictocube
za-goAt
La musique adoucit les meurtres...
j-master
Citation de : za-goAt
j-master: ah j'avais jamais fait à vrai dire, je mourrai moins bête
Si au moins les marketeux pouvaient prendre conscience de la bêtise du truc, et pouvaient rectifier leurs affiches, c'est surtout eux qui pourraient mourir moins bêtes... 
"L'Homme est la nature prenant conscience d'elle même." - Elisée Reclus
Javier Guante Hermoso
ferdinand
Tomboy de Céline Sciamma:
Laure, une pré-ado "garçon manqué" déménage dans une nouvelle ville et en profite pour se créer un alter ego, Mickaël.
Le sujet est joliment traité, la langueur de l'été finissant colle parfaitement avec cette période de l'enfance... C'est donc un peu lent, un peu tâtonnant, un peu contemplatif mais pas tout merdeux comme S.Coppola.
Les acteurs sont bons en général, Laure et sa petite sœur Jeanne, en particulier, sont bluffantes! 
La BO est inexistante mais le morceaux central (de Para One et Tacteel) est excellent et surprenant!
Un bon moment de cinéma français.C'est à souligner.
Dans un monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux. G.Debord.
[ Dernière édition du message le 29/04/2011 à 23:58:49 ]
Pere Founasse
ferdinand
oryjen
Un film étrange, très étrange, d'un abord lisse et un peu vide, sous lequel se cachent les abysses des faux semblants et des habituelles irrépressibles pulsions humaines. Le passé, le présent, les rêveries obsessionnelles, la hantise des échecs et les faits quotidiens apparemment banals s'emboîtent l'air de rien avec une perfection terrible.
Superbe!
En famille:
Harry Potter et la Coupe de Feu et Harry Potter et les Reliques de la Mort
On a raté Le Prince de Sang Mêlé, alors le dernier fait un peu drôle, mais le raccourci finalement déchire bien sa mémé!
Bon vous allez sans doute me brûler haut et court, mais je trouve que pour du cinéma grand public ces productions tiennent le haut du pompon! Il y a un vrai boulot de cinéaste, commencé avec Le Prisonnier d'Azkaban, sur la définition des personnages, la finesse allusive des ambiances, la photo crépusculaire sans donner dans la caricature (300 ou Sin City, qui n'hésitent pas à en mettre un seau là où une louche suffirait déjà amplement
).Juste que les méchants sont un peu con-cons, mais n'oublions pas que l'on s'adresse aussi au jeune public.
Pas mal du tout.
J'ai moins aimé l'Ordre du Phénix, un peu monotone pour pas dire grand chose...
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L'artiste entrouvre une fenêtre sur le réel; le "réaliste pragmatique" s'éclaire donc avec une vessie.
[ Dernière édition du message le 30/04/2011 à 12:50:52 ]
le reverend
le reverend
Anonyme
greggreg
Djardin
Pere Founasse
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