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Vu After the dark  : pas pu regarder plus de 15mn. Cause : débile (le film, pas moi hein ).

Je m'attendais à un énième film catastrophe, mais même pas : l'intrigue, c'est un prof de philo qui demande à ses éleves comment ils réagiraient en cas de fin du monde, livrés à eux même.

Bon, en fin de compte, le prof c'est Jack Brelle, et la classe des péteux. Le reste à l'avenant.

Je comprends même pas comment un tel film a pu se monter et être distribué.

Citation :

sans parler de la consanguinité qui règne dans le milieu du doublage fr

 Y en aurait beaucoup à dire là dessus.

Cette association est un bel exemple de lobbying anti-djeuns (sauf si ce sont des enfants de) : https://lesvoix.fr/

Pour la plupart, les membres sont des gens payant l'ISF qui s'entendent entre eux pour pas passer de castings et se répartir les doublages de films et d'institutionnel (les doublages de film sont relativement peu payés mais font une vitrine imparable pour les pubs/gros contrats genre voix Orange/SNCF, payant parfois quant à elles plusieurs centaines de milliers d'€/an).

Sans compter les tirages dans les pattes de n'importe quel djeuns débutant et doué, avec coups de fil aux décideurs à la clé, et imposant aux autres de s'enregistrer avec un micro U47 et une cabine de chant à 12 000e alors qu'eux travaillent sur un dictaphone.

Et la plupart sont archi nuls, mention spéciale à Patrick Poivey, voix officielle de Bruce Willis mais dont la diction n'a rien à voir avec l'original, qui en rajoute des tonnes et à qui personne n'ose rien dire alors qu'il sabote tout.

Les anciens de la voix off, je veux dire, les types devenus millionnaires dans les 90's, pas des vieux de la vieille comme Roger Carel ou même G.Hernandez (si si) sont comme des vieux chats mâles tapant sur la gueule des jeunes matous : ils se rendent compte que la situation de monopole  et d'entente totale de la concurrence leur échappe, et qu'ils ont parfois du mal à caser leurs fils/filles/neveux ; et là ils sont prêts à tout pour défendre leur bout de gras.

Je citerai aucun nom,  mais je connais quelques jeunes prodigues de la voix off ayant été menacés professionnellement et pour un, physiquement.

C'est un milieu totalement à part, la voix off, les budgets en France y étant totalement délirants et sans réelle mesure avec les autres pays européens...

Citation :

Tout ça pour un résultat très souvent plus que moyen...

 Oui : l’absence de casting réel + le placement obligatoire de la famille, ça donne pas vraiment de bons résultats.

Mais bon, d'un autre côté les choses semblent bouger, les décideurs (qui sont aussi les payeurs !) se rendant compte qu'isl paient souvent de l'or pour obtenir de la merde de chien en échange.

Y a vraiment que pour les pubs que là on continue d'entendre encore et encore les mêmes voix.